De quelques amoureux des livres

Philippe Claudel

À propos du livre

Il y a tant de raisons possibles pour qu’un livre ne voie jamais le jour, qu’il semble quasi miraculeux qu’un beau matin quelqu’un ait pris la plume et soit parvenu à en écrire un.

Avec une délicieuse fantaisie, Philippe Claudel passe en revue une litanie d’écrivains en devenir, de malheureuses victimes de la littérature, soumises à de pathétiques aléas, à des imprévus aussi cocasses que farfelus.

 

Presse

Une merveille de malice, de profondeur, de poésie. Un délice.
Augustin Trapenard, Boomerang (France Inter).

Un livre drôle, ironique, délicieusement fantaisiste. Je le place très haut dans ce que vous avez écrit.
François Busnel, La Grande Librairie (France 5).

Un petit ovni dont le titre est tout un poème. Lisez-le, c’est une merveille.
Augustin Trapenard, Le Grand Journal (Canal+).

Dans ce recueil drôle et délicat, Ph. Claudel rend hommage avec humour et tendresse aux victimes de la page blanche. […] Borges n’est pas loin, Alberto Manguel non plus...
Christine Ferniot, Télérama.

Le plus drôle et sans aucun doute le plus audacieux des livres de Philippe Claudel. […] Il se régale, et nous aussi.
Olivier Mony, Livres Hebdo.

C’est Borges égaré au pays de Woody Allen. Un ouvrage enlevé, cruel, beau, profond et fantaisiste.
François Busnel, L’Express.

Ce livre, brillant, ne manque pas de panache ni de cocasserie.
Baptiste Liger, Lire.

Là, la littérature se déploie en creux, à travers les multiples figures de son impossible naissance.
Jean Birnbaum, Le Monde.

Les «quelques amoureux des livres» de Claudel sont des personnages à la Sempé.
Jérôme Garcin, L’Obs.

Une influence vient vite à l’esprit: Borges.
L.-H. de La Rochefoucauld, Technikart.

Un ouvrage à l’esprit fantasque et souriant.
Mohammed Aïssaoui, Le Figaro.

Ça paraît drôle, et ça l’est. Mais c’est surtout très poétique.
Philibert Humm, Paris-Match.

Avec talent et humour, Ph. Claudel raconte des histoires drôles et tristes de victimes de la littérature.
J.-Cl. Vantroyen, Le Soir.

Un livre réjouissant.
Version femina.

Une sotie follement originale.
J.-Cl. Raspiengeas, La Croix.

Une série de miniatures savoureuses, concentrés d’humour et d’absurde.
Bernard Quiriny, Le Magazine littéraire.

Un exquis petit ouvrage, cocasse et désopilant.
Isabelle Bunisset, Sud Ouest.

Il y a un petit côté Borges chez Claudel qu’on ne soupçonnait pas, mais qu’on découvre avec plaisir dans ce délicieux petit livre.
François-Guillaume Lorrain, Le Point.

A lire d’urgence avant d’ouvrir votre logiciel Word, si par hasard vous étiez tenté(e) par l’écriture.
Thierry Gandillot, Les Echos.

Petit bijou d’humour incongru et de cabrioles littéraires, à mettre dans sa poche, pour rire sous cape et en douce n’importe où.
Guylaine Massoutre, Le Devoir (Québec).

Les libraires

Un formidable petit inventaire d’échecs littéraires. Mais qu’est-ce qu’un échec ? Pour un auteur, et pour une vie ? Tout dépendra de ce qu’on attend. De lui ou d’elle.
On se délecte de cet ouvrage plein d’humour et de passion, pas loin d’un Borges qui se parerait d’un sourire taquin, ou de l’application littérale de la fameuse citation de Beckett: «Essayer. Rater. Essayer encore. Rater encore. Rater mieux.»
Grégoire Courtois, Librairie Obliques à Auxerre.

Un OVNI percutant la biblio du grand Philippe Claudel qui se lit, une fois n’est pas coutume, le sourire aux lèvres ! 
Librairie Vaux-livres.

Histoires cocasses, amusantes, tristes, horribles, très courtes, un petit moment de bonheur.
Le club des incorrigibles lecteurs.

C’est un parfais « livre de toilettes » qui en jette ! mais on le préfère en parfait « livre qui traîne l’air de rien sur la table basse du salon » que les invités vont ouvrir par curiosité.
Blog Animal lecteur.

 

2015

12 x 17 cm

120 pages

isbn 978-2-36339-062-2

13,50 euros