Engeland

Pierre Cendors

Prix Alain-Fournier 2011

À propos du livre

Berlin 1930. Fausta K., une jeune photographe, se lance à la recherche d’un ami d’enfance disparu sans laisser de traces. Par hasard, dans la vitrine d’un galeriste, elle découvre ses traits sur un tableau dont la signature, Engel, sera le point de départ d’une quête dans les milieux de l’avant-garde artistique berlinoise, le point de départ aussi d’un long voyage intérieur qui nourrira son propre travail de photographe, bientôt admiré et reconnu.
Fausta traverse le vingtième siècle et ses drames, elle est le pivot d’une intrigue terriblement efficace, au terme de laquelle la survivance de l’espoir, malgré la perte des illusions, donnera un sens à sa vie.

Bande Annonce

Presse

La construction du roman, qui mêle biographie imaginaire et texte romanesque, fonctionne plutôt bien, et on se laisse prendre par le mystère de Fausta, par le vide énigmatique de la disparition de Houdini et la déflagration de cette absence dans la vie de la photographe. […] On se surprend à désirer voir les photographies de Fausta, et c’est sûrement une des habiletés de Pierre Cendors de réussir ce pari: nous faire véritablement croire à l’existence de ses personnages.
Delphine Descaves, Le Matricule des anges.

Lire Engeland est un pur enchantement. Les mots de Pierre Cendors dépouillent le visible et saturent l’invisible dans une écriture précise, douce et dense comme de “la neige qui tombre dans le silence”.
Isabelle Viéville Degeorges, La Revue littéraire.

Roman

2010

12 x 17

224 pages

isbn 978-2-912667-77-9

17 euros

Épuisé