Journal V, janvier à août 1851

Henry David Thoreau

À propos du livre

« Une relation constante avec la nature et la contemplation des phénomènes naturels sont indispensables à la préservation de la santé morale & intellectuelle. Ni la discipline des écoles, ni celle des affaires, ne pourront jamais procurer pareille sérénité à l’esprit. »
En 1851, à trente-quatre ans, Thoreau comprend que son Journal sera son œuvre la plus importante. D’un lever de lune à la flore d’une prairie, de la forme d’un coquillage à un chant d’oiseau, tout est sujet à étude. Ses observations de la nature et les réflexions, tant philosophiques que poétiques, qu’elle lui inspire gagnent en profondeur. À travers sa connaissance de la Nature qui l’environne, Thoreau cherche à définir l’homme et sa place dans le monde.

Poète et philosophe, ethnologue et naturaliste, marcheur contemplatif et observateur sans concession de l’âme humaine et des petits travers de ses voisins, Thoreau, au jour le jour, dans son grenier ou dans sa cabane, note dans son Journal toutes les pensées d’un esprit profondément original et d’une exceptionnelle acuité..

Inédit

Presse

Question radicalisme, celui qu’on considère comme un des pères de l’écologie pourrait en remontrer à ses descendants.
Mathieu Lindon, Libération.

L’amour de la nature de Thoreau le renforce dans son désir de comprendre, d’admirer.
Michel Crépu, NRF.

Traduit, présenté et annoté par Thierry Gillybœuf

2020

15,5 x 22 cm

320 pages

isbn 978-2-36339-141-4

24 euros