Le revers de mes rêves
Grégory Cingal
À propos du livre
«Le nombre de mes victoires en Grand Chelem contre le mur du garage, je l’évaluerais à une quinzaine, soit un positionnement intermédiaire entre le record de Pete Sampras et celui de Roger Federer, performance fort honorable pour un joueur de onze ans.»
Enfant, Grégory Cingal tapissait les murs de sa chambre de posters de Borg, Becker ou Connors. Un jour, c’est certain, il gagnera Wimbledon. Mais un souffle trop court aura raison de ses rêves. Il est gaucher, s’énerve sur tous les points, et sa ressemblance avec John McEnroe s’arrête là.
La seule vie convenable est dans la lecture des livres, entre les bras des femmes et sur un court de tennis. Quel autre sport a la bonté d’offrir à chaque engagement une deuxième balle ?
Presse
À Grégory Cingal, les souvenirs de tennis permettent de tout dire: les ferveurs de l’enfance, les grands rêves de l’adolescence, la passion des livres, les bras des femmes, le monde comme il va et surtout comme il ne va pas.
Sébastien Lapaque, Le Figaro.
C’est bien une autobiographie restreinte aux dimensions d’un court de tennis que nous propose Grégory Cingal.
Éric Chevillard, Le Monde.
Grégory Cingal est fou de tennis et lui déclare son amour dans cette «Recherche du temps perdu» où les madeleines ont été remplacées par le duvet jaune des balles.
Christophe Ono-dit-Biot, Le Point.
Les anecdotes sont intéressantes, parfois cocasses, et l’adulte n’est pas dénué de lucidité, voire de cynisme, pour examiner le jeune joueur qu’il était.
Libération.
Le Revers de mes rêves est un livre rare, dans lequel des joueurs de tennis oubliés jouent le rôle que, pour Marcel Proust, jouait la madeleine de sa grand-tante.
Christophe Mercier, Les Lettres françaises.
Une déclaration d’amour pour la balle jaune et ses adeptes, à lire sans modération.
Tennis magazine.
L’humour du merveilleux écrivain qu’est Grégory Cingal se rattache à une certaine veine à l’anglo-saxonne.
Frédéric Verger, La Revue des deux mondes.
Entre ses rêves d’enfant et l’admiration qu’il porte à Federer, Grégory Cingal propose un petit livre épatant.
François Ruffieux, 24 heures.
Un vagabondage inspiré par la passion du tennis.
En jeu, une autre idée du sport.
2017
13,5 x 20 cm
144 pages
isbn 978-2-36339-082-0
15 euros