Les dimanches de Jean Dézert

Jean de La Ville de Mirmont

À propos du livre

L’unique roman d’un écrivain mort à vingt-sept ans. Un chef-d’œuvre intemporel.

L’appartement de Jean Dézert est bas de plafond, son existence aussi. La routine est son mode de vie naturel. Il dîne chaque soir au même endroit, avec son unique ami.
Mais heureusement, il y a les dimanches. Toute la semaine, il attend ce jour merveilleux pour déambuler dans Paris au gré des hasards. Un jour, ou plus exactement un dimanche, le hasard s’appelle Elvire, jeune fille fantasque qui frôle Jean Dézert devant le bassin des otaries du Jardin des Plantes. Ses habitudes s’en trouvent bousculées. Pas trop longtemps, toutefois, parce que l’amour, c’est tout de même beaucoup de chambardements…

 

Illustrations de Christian CAILLEAUX.

 

              

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Presse

C’est le plus moderne des livres d’autrefois. Du Houellebecq, avec un siècle d’avance. […] Un roman désolant et désopilant. […] Lisez « les Dimanches », et faites passer. Merci.
Jérôme Garcin, L’Obs.

Un livre d’une étrange et stupéfiante beauté.
Astrid de Larminat, Le Figaro.

Si l’expression roman culte a un sens, c’est pour des livres tels que celui-là.
Olivier Mony, Livres Hebdo.

Un immense petit bijou. 
Séverine Guillemet, Sud Ouest.

Une oeuvre qui traverse le temps, subtilement illustrée par Christian Cailleaux.
Christine Ferniot, Télérama.

Admirablement illustré par Christian Cailleaux, ce chef-d’oeuvre respire avec élégance un détachement qui ne se prend pas au sérieux. C’est brillant.
Sandrine Mariette, ELLE.

Ce texte singulier reste d’une troublante modernité. 
Philippe Blanchet, Rolling Stone.

On tombe sous le charme de ce texte juvénile, un texte plein d’humour, au charme un peu décalé. […] Christian Cailleaux vient orner ce petit bijou d’illustrations sans ostentation, au plus près de l’esprit de ce très beau livre. 
Thierry Bellefroid, RTBF.

Voici un court roman à glisser sous le sapin. Tout y est charmant, simple, joli. […] Un petit bijou de finesse.
Clete, Nyctalopes.

Après l’avoir croisé, on n’oublie pas ce familier quidam, simple et attachant. […] Un court roman de la solitude, du désenchantement et de la lucidité dans une version finement illustrée par Christian Cailleaux.
Le Télégramme.

Les dimanches de Jean Dézert est un de ces rares livres qui, sans faire de bruit, tisse une communauté de lecteurs à travers les années. […] Les illustrations de Christian Cailleaux se marient parfaitement avec le texte, et sont un écho à l’incroyable modernité de ce roman. […] Un texte qui, l’air de rien, va vous hanter pendant longtemps.
Jean-Philippe Blondel, Est Eclair.

Les libraires

Conte, farce philosophique, ce texte, existentialiste avant la lettre, raconte la vie d’un homme extraordinairement banal. Sans lyrisme, féroce et ironique, ce portrait d’un petit fonctionnaire touché par le néant est aussi un roman de la tragédie humaine.
La Griffe noire, Saint-Maur-des-Fossés.

Jean Dézert porte bien son nom… Rien d’extravagant en lui, rien d’extraordinaire, bref, rien d’extra. On sourit, on soupire et on pleure avec cet humain « raté », digne des plus beaux anti-héros d’Emmanuel Bove. Sublime.
Librairie Delamain, Paris.

Véritable chef-d’oeuvre avant-gardiste, injustement oublié aujourd’hui, ce court roman décrit avec une cruelle acuité, dans un style ironique et grinçant, à la fois navré et amusé, la commune et désolante banalité du quotidien, l’absurdité irrémédiable de l’existence. Un bijou !
Librairie Compagnie, Paris.

Conte, farce philosophique, ce texte, existentialiste avant la lettre, raconte la vie d’un homme extraordinairement banal. Sans lyrisme, féroce et ironique, ce portrait d’un petit fonctionnaire touché par le néant est aussi un roman de la tragédie humaine.
Librairie La Machine à lire, Bordeaux.

Ce bref roman qui tourne en dérision le tragique de l’existence mérite d’être redécouvert. Les belles illustrations de Christian Caillaux rappellent le trait des meilleurs artistes de l’époque.
Sébastien, Librairie des Halles, Niort.

Un nom inoubliable mais injustement oublié, perdu avec les morts de la Grande Guerre. Mauriac savait la saveur de cette dérive d’un rond de cuir dans Paris. Une douce ironie que les dessins de Christian Cailleaux révèlent aujourd’hui.
Librairie Le Square, Grenoble.

 

Roman

Préface de Marie Boizet Illustrations de Christian Cailleaux

2022

22 x 22 cm

132 pages

isbn 978-2-36339-175-9

23 euros