PRIX JULES RIMET

À propos du livre

Richard est un gamin de Portland, maladroit et un peu fantasque. Comme tous les adolescents de l’Amérique triomphante du début des années 60, il se doit de pratiquer un sport. Richard est grand, très grand même pour son âge, alors pourquoi pas le saut en hauteur ?

Face au sautoir, il s’élance. Au lieu de passer la barre en ciseaux, comme tout le monde, il la passe sur le dos. Stupéfaction générale.

Cette singularité lui vaut le surnom d’Hurluberlu. Il s’en fiche, tout ce qu’il demande, c’est qu’on le laisse suivre sa voie. Sans le vouloir, n’obéissant qu’à son instinct, il vient d’inventer un saut qui va révolutionner sa discipline.

Les entraîneurs timorés, les amitiés et les filles, la menace de la guerre du Vietnam, rien ne détournera Richard de cette certitude absolue : il fera de son saut un mouvement parfait, et l’accomplissement de sa vie.

« Il n’a rien prémédité, il a laissé faire, c’est comme si son mouvement avait pensé pour lui. »


Prix Jules Rimet
1er prix Sportlivre / Coup de cœur
Prix des Lycéens de Sceaux
Prix du premier roman de l’Estuaire de Vilaine
Prix des lecteurs Atout Sud


Sélection Grand Prix Sport et Littérature
Sélection Prix Senghor du premier roman francophone
Sélection Prix des lecteurs de la ville de Brives
Sélection Prix Lire en Pays d’Ancenis
Sélection Prix Etincelles
Sélection Prix Sport Scriptum

 

Presse

Un singulier et envoûtant premier roman. […] Ce parcours imaginaire d’un « hurluberlu » sympathique et touchant donne une histoire originale, forte, belle, qu’on aime le sport ou pas.
Bruno Corty, Le Figaro.

Les phrases rythmées et sobrement charnelles fusionnent avec l’élan enivrant du livre. […] On est émerveillé.
Sandrine Mariette, ELLE.

Vous ne mesurez pas combien ce livre est retournant.
Augustin Trapenard, 21 cm.

Un récit d’initiation à la grâce, un premier roman très réussi.
Philippe Collin, L’Oeil du tigre (France Inter).

Fanny Wallendorf nous offre quelques pages d’anthologie sur le sport et la création. Jubilatoire.
Philippe Blanchet, Rolling Stone.

Un premier roman réjouissant qui oppose rêves et envies.
Isabelle de Montvert-Chaussy, Sud-Ouest.

Un roman extrêmement touchant écrit avec finesse et psychologie, un personnage authentique et sincère qui nous laisse une impression très forte. 
France Bleu.

Le premier roman de Fanny Wallendorf séduit par l’originalité de son sujet, une biographie totalement romancée de Richard Fosbury, qui a révolutionné le saut en hauteur. Une romancière à suivre. 
Adeline Fleury, Le Parisien.

Une très belle philosophie de vie. 
Nice matin.

L’appel de Fanny Wallendorf livre le récit fasciné de la vocation d’un jeune sportif déterminé à tracer sa propre voie,  […] envers et contre tous, sur fond de guerre du Vietnam et d’amours de jeunesse.
Nicolas Turcev, Livres Hebdo.

 

Les libraires

Un roman solaire qui nous fait penser à l’écriture généreuse de Sylvain Prudhomme et à la précision de La petite communiste qui ne souriait jamais de Lola Lafon. Ce livre est un enchantement total, une profonde joie de lecture. C’est un texte accessible, profondément attachant, une écriture rare, une plume bien à part dans le paysage littéraire actuel. 
Librairie La vie devant soi, Nantes.

Librement inspiré de la vie de Dick Fosbury, le premier roman de Fanny Wallendorf est un récit d’apprentissage sur le dépassement de soi et la différence. Un livre qui vous fera prendre de la hauteur.
Librairie Millepages, Vincennes.

Fanny Wallendorf passe la barre haut la main pour son premier roman : une biographie évocatrice de Richard Fosbury, le premier sauteur à regarder les étoiles. Un livre magnifique sur les émotions sportives et les passions de jeunesse, évoquées avec beaucoup de délicatesse.
Librairie L’Escampette, Pau.

Richard est un personnage magnifique. Observateur consciencieux, il prend soin de tout ce qu’il fait, de tout ce qu’il touche. Richard trouve de la joie dans la banalité du quotidien, les gestes répétitifs le rassurent, il ne recherche ni la gloire, ni la reconnaissance, simplement la liberté d’exercer son art comme il l’entend. 
Librairie Georges, Talence.

Comment être original dans un monde conformiste? Richard n’est pas très doué en sport mais, n’écoutant que son instinct, il va inventer une nouvelle façon de sauter en hauteur, le ciel pour seule limite… Un très beau roman sur le corps, le plaisir du mouvement et la concentration. 
Librairie Vivement dimanche, Lyon.

C’est un très gros coup de coeur. Tellement bien que j’ai même regardé des vidéos de saut. Pourquoi ? … Comment ? … C’est simple, lisez ce livre !
Librairie La Parenthèse, Annonay.

Fanny Wallendorf s’empare d’un personnage historique pour nous permettre de mieux cerner les tourments et les rêves d’un enfant, d’un adolescent puis d’un adulte, qui toute sa vie devra résister face à la bêtise et l’incompréhension. […] Un merveilleux roman qui sonne comme un appel irrésistible et inaliénable à l’envie de vivre et à la liberté.
Librairie L’Odyssée, Saint-Malo.

Un roman très réussi, très enlevé et très rythmé. On se prend de passion pour ce jeune Richard et on rêve avec lui d’accomplir quelque chose de grandiose.
Librairie Les Grandes Largeurs, Arles.

Un roman magnifiquement lumineux, une ode à la vie, à la fantaisie, à la persévérance. Fanny Wallendorf signe un Appel d’une rare maîtrise pour ce premier roman qui allie passionnante histoire, personnage incroyablement attachant et ambiance reliant corps et coeur. […] Fanny Wallendorf nous porte fort et loin dans un roman qui garde sa flamme bien longtemps après avoir fini la dernière ligne. […] Une lecture indispensable.
Librairie Le Grenier, Dinan.

Richard est attachant, Richard partage son quotidien, sa quête, avec le lecteur et ce au fil des pages. Ce roman est celui d’un jeune homme qui poursuivra, avec toute sa volonté, l’envie d’accomplir ce que personne ne croit capable de le faire. Roman initiatique, L’appel est avant tout un très beau premier roman.
Librairie Anagramme, Sèvres.

Un premier roman génialissime qui réunit ce que j’aime : l’Amérique des années 60 et un roman d’initiation qui m’a fait me passionner pour le saut en hauteur. Une écriture sublime qui porte ce roman qui ne s’arrête pas au sport et sait parler de la concentration et de la méditation avant l’heure comme personne. Je l’ai dévoré en deux jours avec une impatience rare.
Librairie Au Fil des mots, Blagnac.

L’une des pépites de la rentrée littéraire. Quelques 340 pages pour nous raconter l’histoire d’un saut en hauteur… et à aucun moment on ne s’ennuie. Une histoire captivante, comme on les aime. On connait l’histoire puisque pour cette jeune auteure tout part d’une photo de Dick Fosbury aux JO en 1968 , mais c’est la façon dont elle nous raconte, nous explique le destin de ce jeune homme. Aux accents américains, ce premier roman est un réel plaisir de lecture.
Librairie L’Esprit large, Guérande.

Très bien mené, très finement écrit, ce premier roman de Fanny Wallendorf surprend par sa liberté. […] Certes, la figure historique de Dick Fosbery, inventeur du saut en hauteur qui porte son nom, est présente, mais elle ne sert que d’appui à une figure littéraire bien plus aérienne.
Librairie Obliques, Auxerre.

Roman

2019

13,5 x 20

352 pages

isbn 978-2-36339-107-0

22 euros

Épuisé