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Sarcellopolis

Marc BERNARD

À propos du livre

Avant-propos de Stéphane Bonnefoi

Durant l’hiver 1963, le romancier Marc Bernard est envoyé à Sarcelles par son éditeur. Sa mission : s’installer durant trois mois dans cette ville nouvelle, dans ce grand ensemble flambant neuf et en ramener un livre de témoignage.
Ce sera Sarcellopolis. Un essai sociologique ? un traité d’urbanisme ? Non, plutôt un récit de voyage dans un pays étrange, que Marc Bernard découvre à travers ses habitants, Sarcellois de la première heure, croqués avec humour et tendresse. Même si l’auteur entrevoit déjà que l’avenir ne sera pas toujours rose à Sarcelles…

 

« J’essaierai de décrire ce qu’a de fantastique, voire de surréaliste, une ville nouvelle. »

Récit / 2019 / 17€ / 200 pages / 13,5 x 20 cm / 978-2-36339-110-0

La presse en parle …

De la belle ouvrage, à la fois reportage journalistique sur la vraie vie et ses vraies gens, étude sociologique en points d’interrogation, fable cocasse et gouleyante, petit traité d’urbanisme à l’usage des ignorants et chronique douce-amère des temps modernes. […]
Et si l’ovni Sarcellopolis n’était rien qu’une leçon de littérature ? Sur l’art de savoir regarder, écouter, l’art de se remettre en jeu — en «je» — et d’écrire le monde, fût-il à Sarcelles, d’une planète lointaine, d’un temps futur?
Martine Laval, Télérama.

Cette promenade candide dans le meilleur des mondes en dit plus long et mieux que bien des traités de sociologie.
Astrid de Larminat, Le Figaro littéraire.

Lire ou relire cet ouvrage (préfacé par Stéphane Bonnefoi) en 2019 amènera chacun à porter un regard sur la transformation de la ville.
Laurence Allezi, Le Parisien.

Un document irremplaçable, écrit par un véritable écrivain.
Christophe Mercier, Les Lettres françaises.

Sous le titre Sarcellopolis, l’auteur témoigne de sa fidélité à «ceux d’en bas», s’efforçant de comprendre ce qu’on appelle déjà «la sarcellite» — le mal-être des habitants des quartiers périphériques.
Michel Boissard, La Gazette de Nîmes.

Avec une plume drôlatique et tendre, il décrit, comme un explorateur en terre inconnue, la vie à Sarcelles.
Béatrice Mouédine, Radio classique.

La vie n’est pas toujours belle à Sarcelles et Marc Bernard prévoit les lézardes et le chaos dans cette prose chaleureuse, une prose de proximité, qui fait de ce témoin suprême, un voyant au grand cœur.
Guy Darol, Le magazine des livres.