Le monde est fatigué
À propos du livre
« Il y a tellement de bruit alors qu’il faudrait du silence, canaliser l’émotion, poser une compresse fraîche sur la folie du monde. »
Êve est une sirène professionnelle qui nage dans les plus grands aquariums du monde. Mais personne n’imagine la femme brisée, fracassée, que cache sa queue en silicone. Quelqu’un lui a fait du mal, tellement de mal, et il faudra un jour rééquilibrer les comptes.
En attendant, de Genève à Tokyo, de Brisbane à Dubaï, elle sillonne la planète, icône glamour et artificielle d’un monde fatigué par le trop-plein des désirs.
À travers un destin singulier, Joseph Incardona revisite le mythe de la sirène et nous donne à voir une humanité en passe de perdre son âme.
Prix littéraires
- Prix des Deux Magots
- Sélection Prix Femina
- Sélection Prix Femina des Lycéens
- Sélection du Grand Prix des lectrices ELLE
- Sélection Prix Vanity Fair
- Sélection Prix Wepler – Fondation La Poste
- Sélection Prix Maison Rouge
- Sélection Prix littéraire des Écrivains de marine
- Sélection Prix de la Fleur
La presse en parle …
C’est vif, c’est prenant, c’est génial! Nicolas Carreau, Europe 1.
Dans un style concis et poétique, une relecture en négatif de La Petite Sirène d’Andersen. Virginie François, Le Monde.
Entre la fable moderne et le roman noir. Yoann Labroux Satabin, Télérama.
Une prose magnifique, simple et jubilatoire. Il suffit de le dire : l’un des meilleurs romans du moment. Étienne de Montety, Le Figaro.
Une fable merveilleuse et tragique. On en sort essoré. Alexandra Schwartzbrod, Libération.
Le monde est fatigué, mais ce livre fait du bien. Une réussite ! Christine Ferniot, France Inter.
Un des meilleurs romans de la rentrée. Bernard Quiriny, Lire.
Un Monte-Cristo au féminin qui dissèque avec brio les fléaux de la modernité. Magistral! Delphine Peras, L’Express.
Un roman très original et plein d’humour. Lilia Hassaine, France Inter
Incardona sait faire monter la tension, jusqu’à un final époustouflant. Véronique Cassarin-Grand, L’Obs.
Une plongée en apnée singulière et mélancolique. Philippe Blanchet, Rolling Stone.
Une bouffée d’air frais dans cette rentrée littéraire. Léonard Desbrières, Le Parisien.
Un livre poétique sur la vengeance. Hubert Artus, Le Masque et la Plume, France Inter.
Disney n’a rien compris : les sirènes ne chantent pas, elles pleurent. Emilien Bernard, Le Canard Enchaîné.
Dans une relecture noire et postmoderne du conte d’Andersen, Joseph Incardona fait vaciller sa sirène et redonne une voix implacable à celle qu’on a voulu faire taire. Clément Solym, Actualitté.
Relecture postmoderne du mythe de Monte-Cristo, Le monde est fatigué est un magnifique et puissant portrait de femme. Olivier Mony, Livres Hebdo.
D’une puissante originalité et d’une parfaite maestria. Minh Tran Huy, Madame Figaro.
Avec brio, l’écrivain suisse esquisse dans une fable jubilatoire un monde en perdition; sa plume est abrasive, irrévérencieuse, jouissive. David Lelait-Helo, Femme Actuelle.
Formidablement glaçant. Isabelle Bourgeois, Avantages.
Le génial Joseph Incardona signe l’un des grands romans de cette rentrée. Prima.
Le monde est fatigué est peut-être l’un des meilleurs romans d’Incardona. Alain Lallemand, Le Soir.
Joseph Incardona nous ensorcelle avec ses histoires si particulières. Héloïse Goy, Télé 7 jours.
Son écriture aussi tendue que poétique nous tient en haleine à chaque page. Adélaïde de Clermont-Tonnerre, Point de Vue.
L’auteur nous épate et son livre ensorcèle jusqu’à la dernière page. Héloïse Rocca, Version Fémina.
Joseph Incardona confirme qu’il est l’un des maîtres du roman noir francophone et un grand styliste. Jean-Marie Félix, Le Temps.
Les romans de vengeance sont souvent jouissifs. C’est le cas ici. Isabelle Raepsaet, La Voix du Nord.
Un magnifique portrait de femme. Caroline Rieder, 24 H.
Un roman où violence, humour, mélancolie et poésie s’entrechoquent. Anne Laure Ganac, RTS.
Joseph Incardona à son meilleur. Julie Vasa, ELLE Suisse.
Une fresque à la noirceur féroce et jubilatoire. Maxime Maillard, Le Courrier.
Une tragédie veinée d’humour sarcastique. Thierry Reboud, La Liberté.
Joseph Incardona soigne son intrigue et tient son lecteur en haleine. Laurence Bertels, La Libre Belgique.
Un livre à la narration brillante à lire d’urgence. Le Vif.
Un irréprochable roman aussi bien construit qu’admirablement écrit. Robert Colonna d’Istria, Corse Matin.
Un roman brillant et original. L’un des meilleurs livres de cette rentrée. Frédérique Bréhaut, Presse Océan.
Les libraires en parlent …
Une lecture qui touche au coeur, en empathie et épiphanies ondulantes, mots simples mais percutants, émotions réelles, même quand insidieuses, une voix qu’on ne peut plus lâcher. Margot, Passages, Lyon.
Une histoire joyeusement bouleversante, à la fois légère et cruelle, lumineuse et impitoyable, qui prend vie sous la plume facétieuse et inventive de Joseph Incardona. Bénédicte, L’Armitière, Rouen.
Un nouveau roman frappant avec une galerie de personnages attachants et implacables. Margaux, Mollat, Bordeaux.
Une héroine inoubliable. Clémentine, Durance, Nantes.
Une lecture ensorcelante, brûlante, dans un monde désespéré. Clémence, La Fleur qui pousse, Dijon.
Un roman à la plume saisissante. Oriane, Mots et images, Guingamp.
Il y a des lectures qui ne se contentent pas de captiver – elles vous happent, vous saisissent à la gorge, vous enveloppent comme une houle lente et sourde. On tourne la première page, sans se douter que le réel va se dissoudre, que les repères vont flancher, que l’émotion va s’immiscer, insidieuse, pour ne plus vous lâcher. À découvrir absolument ! Myriam, FNAC, Nantes.
Toujours aussi cynique, toujours aussi réjouissant à lire, ce nouveau roman de Monsieur Incardona brandit haut l’étendard de l’imagination. Simon, La Vie immédiate, Charenton-le-Pont.
Si le monde est fatigué, de trop de cynisme, de cupidité, de superficialité, de manque de respect à la nature qui nous entoure, l’écriture de Joseph Incardona ne l’est pas, toute tendue de colère et de tendresse, dans cette histoire de vengeance au long cours. L’Instant, Paris.
J’ai adoré ce roman. C’est d’une fluidité incroyable, c’est grinçant, noir bien comme il faut, avec des personnages très attachants. Laure, La Petite Librairie, Sommières.
Joseph Incardona est un grand raconteur d’histoire ! Vivement Dimanche, Lyon.
J’ai plongé avec Êve dans les magnifiques les lignes de ce roman, et j’ai adoré. Quelque chose m’a particulièrement touchée dans le personnage de cette sirène, peut-être son infirmité, peut-être son désespoir. Stéphanie, Payot, Lausanne.
C’est fin, émouvant et juste. Benjamin, Les mots & les choses, Boulogne-Billancourt.
Êve est une femme forte et combative, marquée dans sa chair, qui incarne une puissance rare, une rage contenue dans un monde lui-même à bout de souffle. L’auteur livre un roman fort et troublant, porté par une plume acérée. Inoubliable. Elsa, Develay, Villefranche-sur-Saône.
Cette femme fantasme qui est une femme brisée, ce texte serré, intense et tellement incarné, les incursions de l’auteur qui nous aspire soudainement hors de l’histoire pour faire un grand saut en arrière et ne pas oublier que nous sommes en littérature…. À nouveau du grand Incardona. Christine, Payot Cornavin, Genève.
J’ai dévoré ce livre ! L’écriture de Joseph Incardona est toujours aussi entraînante. Je me suis faite emporter aux côtés d’Êve dans cette histoire de sirène et de vengeance. Un vrai plaisir. Léna, FNAC, Dinard-Pleurtuit.
Magistral et inoubliable. Léa, Forum du livre, Rennes.
Un roman noir et sombre qui peut ensorceler. Avec cette plume percutante, tout en folie, qui cisaille comme toujours. L’Alchemist, Genève.
Magnifique portrait d’une femme brisée dans lequel la superficialité des désirs côtoie la tragédie, la rage et la beauté avec une infinie poésie. Entêtant ! Géraldine, Vents de Terre, Les Rousses.
Le monde est fatigué est un roman social et intelligent, à la narration ingénieuse, par un auteur talentueux et engagé. Tristan, Le Grain des Mots, Montpellier.
Je n’avais pas du tout envie de quitter cette femme sirène magnifique et écorchée. Ce roman est éblouissant, remuant, touchant et porte un regard vif et troublant sur notre époque. Et la fin est grandiose. J’ai adoré ! Delphine, AB, Lunel.
Le Monde est fatigué est un roman saisissant, à la fois sombre et d’une beauté fulgurante, servi par une écriture magistrale. Benoît, Aux Feuilles Volantes, Saint-Paul-lès-Dax.
Incardona a un don pour écrire des personnages inoubliables. Cécile, Le Passeur, Bordeaux.
Un conte noir crépusculaire, mélancolique, saisissant, brillant. Anne, Bluette, Savenay.
Un grand plaisir de lecture ! Elsa, La voie aux chapitres, Lyon.