Six arbres

Six arbres

À propos du livre

Une femme timide se découvre un courage inattendu pour défendre son sapin face au bûcheron ; un vieil homme se réfugie dans un orme pour échapper à l’hospice ; la floraison d’un pommier apporte la joie dans une famille pauvre ; un amoureux éconduit se console en écoutant le vent dans les feuilles…

Six arbres est un recueil dont l’originalité tient au rapport entre les personnages et des arbres qui auront une influence profonde sur leur existence. Qu’il soit refuge, confident ou protecteur, chaque arbre est traité comme un individu à part entière.
Pour Mary E. Wilkins Freeman, la nature, dans toute sa beauté, permet à celui qui sait la voir de retrouver dignité et sérénité. C’est en tout cas au service de cet espoir qu’elle met sa plume vive, espiègle et acérée.

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Le dernier des communistes

Le dernier des communistes

À propos du livre

Son grand-père, Maurice-le-Rouge, figure du syndicalisme, avait été de toutes les luttes avec ses camarades sidérurgistes de l’Ardoise, dans le Gard.
Son père, Claude, fut le représentant du Parti Com­muniste français aux élections locales.
À la maison, on écoutait Jean Ferrat ; à Noël, on recevait les cadeaux du Comité d’Établissement ; le sport du mercredi devait forcément être collectif, et les week-ends servir à distribuer les tracts…
Autant dire que Stéphane a grandi à l’ombre du Parti, qu’il avait toutes les cartes en main pour mener une vie d’enga­gement, une vie épanouie grâce à l’action politique et syndicale. Alors pourquoi a-t-il choisi les Beaux-Arts plutôt que l’usine ? Pourquoi la graine du militantisme n’a-t-elle jamais voulu germer en lui ?

Avec un humour teinté de tendresse, Stéphane Bonnefoi porte un regard mélancolique sur son enfance et son récit touche en plein cœur.

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Développement personnel

Développement personnel

À propos du livre

« J’ai la chance de gagner ma vie en racontant des histoires. Du moins jusqu’à présent. Car j’ai un problème, un problème de taille : je n’ai plus d’imagination. Je ne comprends pas ­pourquoi, je ne sais pas comment cela est arrivé mais j’ai beau froncer les sourcils, serrer mes petits poings, rien ne vient. Alors j’ai décidé de parler de moi.
Selon des chercheurs de Harvard, nous passerions soixante pour cent de notre temps à parler de nous. Parler de soi stimulerait les mêmes zones du cerveau que la cocaïne, le sexe ou un bon plat. Et si Harvard dit que ça fait du bien, je n’ai aucune raison d’en douter. Après tout, Mark Zuckerberg en est diplômé et il a toujours su, mieux que tout le monde, ce qui est bon pour l’humanité… »

Avec une franchise pleine d’autodérision, Olivier Bourdeaut revient sur son enfance compliquée, sa courte et chaotique scolarité et le périlleux apprentissage du métier d’écrivain. L’auteur d’En attendant Bojangles se dévoile, et sa vulnéra­bilité nous touche.

Presse

Développement personnel est plein d’autodérision et d’humour, très touchant. C’est très beau.
Nicolas Carreau, Europe 1.

Un petit bonheur de lecture.
Frédéric Pommier, France Inter.

Un récit hilarant qui comporte aussi quelques conseils d’écriture originaux.
Simon Bentolila, Lire Magazine littéraire.

Il y a du Nourissier dans cette détestation de soi, mais aussi du Jerome K. Jerome dans la manière, burlesque, de faire sourire à ses dépens et de glisser de l’absurde dans le désarroi.
Jérôme Garcin, L’Obs.

Un autoportrait aussi hilarant qu’émouvant.
Alice Develey, Le Figaro.

Olivier Bourdeaut est un virtuose de l’autodérision. Le récit de ses ratages frôle le génie.
Bernard Lehut, RTL.

On est souvent très ému mais on rit aussi beaucoup dans ce récit qui se dévore comme une fiction.
Sandrine Bajos, Le Parisien.

Un real good book !
Sandrine Mariette, ELLE.

Olivier Bourdeaut révèle ses faiblesses et ses ratages. Tout est grinçant, follement drôle. Il a peut-être écrit là son meilleur livre.
Olivier Mony, Livres Hebdo.

Un texte hautement réjouissant qui ne manquera pas de surprendre, d’amuser, de toucher.
Alexandre Fillon, Sud Ouest.

Un autoportrait drôle et sans concession, un livre qui se laisse dévorer avec enthousiasme.
Céline O’Clin, Qwertz (RTS).

Un récit drôle et tendre qui nous émeut.
Philippe Manche, Le Vif.

Olivier Bourdeaut surprend autant qu’il séduit dans cette drôle d’autobiographie attendrissante.
Héloïse Rocca, Version Femina.

Tendre, absurde, grinçant.
Gala.

À travers son hilarante confession en mode jeu de massacre, Olivier Bourdeaut fait de a vie un roman.
Thierry Boillot, L’Alsace.

Voici la preuve qu’Olivier Bourdeaut a le sens britannique de l’autodérision et qu’il est capable, après avoir beaucoup triché, de sincérité. Rappelons que la sincérité est un art, aussi.
Jérôme Garcin, La Provence.

Il y a dans Développement personnel une certaine poésie du ratage.
Isabelle Chenu, RFI.

Un récit autobiographique d’une belle sincérité, d’une écriture maîtrisée, sensible et drôle, qui ose coucher noir sur blanc ce que beaucoup préfèrent garder secrètement en eux.
Laurence Bertels, La Libre Belgique.

Un message d’espoir à tous les ratés.
Matthieu Marin, Ouest France.

Très drôle, sans fioriture. Cash.
Martin Boujol, RTS. 

Un texte aussi honnête que drôle.
Élise Comte, Télé Loisirs. 

Une leçon d’optimisme.
Voici. 

Une bonne dose d’ironie.
Jimmy Boursicot, Var Matin. 

Ce livre se lit avec plaisir et avec le sourire.
Anne-Charlotte Pannier, La Voix du Nord. 

Un livre plein d’autodérision.
Sophie Trébern, Presse Océan. 

Les libraires

J’ai adoré Développement personnel. J’ai découvert comment une larve devient chenille puis papillon de nuit, attiré par la lumière et les spotlight au point parfois de se brûler les ailes et de perdre le génie créatif. C’est avec un immense humour, une autodérision à son paroxysme et une honnêteté sans faille qu’Olivier Bourdeaut se livre à nous sans détour. 
Jérôme, Librairie Entrée livres, Verdun.

Déboires et malheurs d’un auteur en mal d’inspiration et de succès ! Olivier Bourdeaut se dévoile et nous surprend. Drôle et réussi !
Simon, Librairie Atout Livre, Paris.

Lorsqu’un auteur se prend comme sujet de son propre livre, ça peut être intéressant, ennuyant ou génial. Ici, c’est délicieusement drôle, cyniquement drôle même. De l’enfance à l’adolescence, en passant par les débuts de l’âge adulte, l’auteur se met à nu au travers d’anecdotes piquantes. Développement personnel est un récit qui ne prône ni ne défend rien, mais présente juste un homme tel qu’il est, et c’est bien.
Maggy, Librairie Mots et merveilles, Saint-Omer.

Olivier Bourdeaut se met à nu dans son nouvel ouvrage. Un autoportrait plein d’autodérision, grinçant et touchant à la fois.
Chloë, Librairie Clareton des Sources, Béziers.

Olivier Bourdeaut signe un roman aussi sincère que touchant avec en prime un humour décapant et une autodérision à toute épreuve. Un véritable coup de coeur !
Juliette, Librairie de Paris, Paris.

Olivier Bourdeaut ressemble à ses personnages : il est touchant, fantasque, sensible… Il nous raconte des histoires et c’est encore un plaisir de lecture ! 
Ellen, Librairie Auréole, Auray.

Nous retrouvons Olivier Bourdeaut avec un roman beaucoup plus personnel, d’une franchise désarmante et d’un humour irrésistible ! Un anti-héros très décomplexant et rafraîchissant. 
Lucille, Fnac de Bordeaux.

En panne d’inspiration, Olivier Bourdeaut décide d’être le sujet de son nouveau roman. S’il nous raconte ses déboires et ses aventures avec énormément d’humour, on ressent malgré tout une douleur à être différent. Douleur ressentie aussi, et surtout, par son entourage. Mais le côté tragicomique est assez irrésistible !
Valérie, Librairie Ravy, Quimper.

C’est drôle, touchant et on apprécie tout particulièrement l’autodérision présente dans ce récit très intime.
Librairie L’établi des mots, Rennes.

Olivier Bourdeaut devient le personnage de son propre roman. Un livre qui fait du bien : on peut rater sa scolarité, être en panne d’inspiration une fois devenu écrivain populaire, et réussir le pari de nous faire rire avec un livre centré sur soi ! Quelle autodérision, quel sens de la formule ! Un moment de lecture bien agréable.
Librairie Les mots du zèbre, Eysines.

Olivier Bourdeaut nous livre un récit/roman extrêmement personnel et touchant. Il revient sur son parcours scolaire tortueux, son envie de paresse, son désir d’écriture qui mène au succès. Mais que se passe-t-il quand l’imagination accouche d’une page blanche ? Cela pourrait donner Développement personnel.
Stéphanie, Librairie Les Lucettes, Saint-Luce-sur-Loire.

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Stella et l’Amérique

Stella et l’Amérique

À propos du livre

Stella fait des miracles. Au sens propre. Elle guérit malades et paralytiques, comme dans la Bible. Le Vatican est aux anges, pensez donc, une sainte, une vraie, en plein vingt et unième siècle ! Le seul hic, c’est le modus operandi : Stella guérit ceux avec qui elle couche. Et Stella couche beaucoup, c’est même son métier…
Pour Luis Molina, du Savannah News, c’est sûr, cette histoire sent le Pulitzer. Pour le Vatican, ça sentirait plutôt les emmerdements. Une sainte-putain, ça n’est pas très présentable. En revanche, une sainte-martyre dont on pourrait réécrire le passé…
Voilà un travail sur mesure pour les affreux jumeaux Bronski, les meilleurs pour faire de bons martyrs. À condition, bien sûr, de réussir à mettre la main sur l’innocente Stella. C’est grand, l’Amérique.

Avec sa galerie de personnages excentriques tout droit sortis d’un pulp à la Tarantino et ses dialogues jubilatoires dignes des frères Coen, Joseph Incardona fait son cinéma.

 

Finaliste Grand Prix RTL-Lire Magazine littéraire
Sélection Prix de l’Instant
Sélection Prix Sade
Sélection Prix Evok
Sélection Prix du roman Marie-Claire
Sélection Grand Prix des Lectrices ELLE
Sélection Prix du roman France Télévisions
Sélection Prix Adam de l’Académie romande

 

Presse

C’est fou, c’est vif, hyper réjouissant, c’est génial. Le meilleur roman de Joseph Incardona.
Nicolas Carreau, Europe 1.

C’est finement écrit et il a un talent immense pour raconter des histoires.
Christine Ferniot, France Inter.

Un roman mystique et burlesque, tout à fait désopilant.
Virginie François, Le Monde.

C’est un bouquin complètement cinglé, qui cavale à fond de train, politiquement incorrect au dernier degré, très très drôle : c’est un petit bijou.
Bernard Poirette, LCI.

Le polar le plus original et jubilatoire du moment.
Bernard Lehut, RTL.

Un livre réjouissant. On pense au grand Harry Crews.
Mauvais Genres, France Culture.

Un roman original et audacieux, à l’humour irrésistible, qui brille par sa vivacité d’esprit !
La Librairie Francophone, France Inter.

Joseph Incardona s’amuse à faire des miracles avec une sainte prostituée que ne renierait pas Quentin Tarantino.
Libération.

Une comédie sautillante et surprenante.
Louis-Henri de La Rochefoucauld, L’Express.

Personnages hauts en couleur et atypiques, récit jubilatoire et un tantinet provocateur, plume belle et alerte, ce livre est juste génial.
Le Parisien.

Une sympathique comédie burlesque mâtinée de polar.
Bernard Quiriny, Lire.

Une course-poursuite jubilatoire, un festival de surprises et d’émotions. Joseph Incardona est la malice incarnée.
Hubert Artus, Le Parisien Magazine.

Une petite merveille. Tarantino aurait aimé écrire ce livre.
Sandrine Mariette, ELLE.

Une critique sociale, un polar incroyable, une écriture jouissive. C’est formidable !
Thierry Bellefroid, RTBF

Un petit bijou de style et d’ironie.
Isabelle Potel, Madame Figaro.

Totalement déjanté, ce roman est un petit bijou d’humour noir.
Isabelle Bourgeois, Avantages.

On en sort à la fois ému, avec des rires plein la tête.
Valérie Rodrigue, Marie France.

Incardona actionne avec une jubilation communicative les ressorts narratifs de la tragi-comédie, commente l’action, interpelle le lecteur et dessine une galerie de portraits inoubliables, le chapelet dans une main, le flingue dans l’autre.
Véronique Cassarin-Grand, L’Obs.

Une plume iconoclaste, un roman ébouriffant !
Marie-Claire Suisse.

Un polar jubilatoire digne des riches heures du pulp. Les personnages sont inoubliables et le récit virtuose, c’est remarquable.
Marc Bertin, Sud Ouest.

C’est drôle, culotté, irrévérencieux, un brin déjanté et formidablement bien écrit. Ne passez pas à côté de ce roman qui va vous redonner de l’énergie et de la bonne humeur.
Jean-Philippe Blondel, L’Est éclair.

Joseph Incardona s’en donne à coeur joie dans un livre bien débridé.
Laurence Bertels, La Libre Belgique.

C’est caustique, abrasif. L’auteur s’en donne à coeur joie, mais toujours avec subtilité et délicatesse.
Gilbert Chevalier, France Info.

En un mot comme en cent, ce roman qui parle de miracle est une petite merveille. À déguster avec un sourire complice et une immense gratitude envers un écrivain qui sait se renouveler à chaque livre tout en préservant l’intime cohérence de son oeuvre. 
Mireille Descombes, Le Temps.

Une jubilatoire comédie noire, des personnages truculents. Un plaisir de lecture !
Caroline Rieder, 24 Heures.

Une épopée frénétique servie par une écriture drôle et fantasque.
Laurence Hilaire, RCF.

Joseph Incardona s’amuse, et quelle imagination ! A rendre Dieu jaloux…
Anne Pitteloud, Le Courrier.

Le pitch est décapant et le plaisir de style est au rendez-vous. […] Joseph Incardona est un incroyable raconteur d’histoires. 
Alain Lallemand, Le Soir.

Un passionnant polar.
Éric Naulleau, JDD.

L’Amérique fantasmée avec ses westerns et ses films de gangsters sont le décor parfait pour cette histoire qui ne vous laissera reprendre votre souffle que longtemps après avoir refermé la dernière page.
Var Matin.

Joseph Incardona nous embarque dans une histoire hilarante, rocambolesque et tendre. 
Francesco Biamonte, RTS.

Joseph Incardona, le marionnettiste qui tire les ficelles de cette comédie noire, de cette fable pour enfants dissipés, s’en donne à coeur joie.
Olivier Mony, Livres Hebdo.

Stella et l’Amérique se lit d’une traite, comme un roman graphique survitaminé ou un scénario des frères Coen. Joseph Incardona s’amuse à plonger ses personnages dans des situations absurdes, et nous avec. 
Mohamed Berkani, France Info Culture.

Stella et l’Amérique est un livre qui pose la question du bon et du mauvais miracle.
Céline Argento, Léman Bleu TV.

Tout roule à cent à l’heure pour le plus grand bonheur du lecteur.
Laurent Greusard, K-Libre.

Les Libraires

Déchaîné, Joseph Incardona revient plus drôle que jamais au bras de Stella, prostituée miraculeuse qui « guérit ses clients ». Le Vatican ne semble pas apprécier ces miracles et cette nouvelle sainte ! Épique, endiablé, irrévérencieux, le roman parfait !
Simon, Atout livre, Paris.

Stella et l’Amérique, c’est un ballon poussiéreux gonflé d’azote et de tendresse abrasive au pays des rednecks, ça voltige et ça claque, des images plein la caboche qui filent à vive allure, des gueules et des secousses, l’écume pimentée d’un shaker brillamment dosé. Un de ces road-trips déjantés mitonnés aux néons du pulp et du noir, aux humanités saltimbanques qui craquent les coutures du vernis. Diablement jouissif, délicieusement excessif et malicieux, Joseph Incardona bouffe les cadres fantasmés de l’oncle Sam et c’est un petit miracle aussi grinçant que jubilatoire.
Mathieu, Librairie Decitre, Grenoble.

Quand le Harry Crews suisse nous raconte son Amérique fantasmée, ça castagne, ça manipule, ça éructe, ça fait l’amour aussi, bref ça tente de survivre… Et on en redemande.
Renaud, Librairie Lucioles, Vienne.

On prend un plaisir énorme à suivre ces personnages plus déjantés les uns que les autres, un road-movie inoubliable par un auteur qui vise toujours aussi juste.
Sébastien, Librairie Page et Plume, Limoges.

Absolument jubilatoire ! Un road trip détonnant, corrosif à souhait et furieusement drôle.
Espace Culturel Leclerc, Blois.

Un roman réjouissant, irrévérencieux et fantasque qui emprunte ses codes au roman noir. Jubilatoire !
Librairie Le Vrai lieu, Gradignan.

Surprenant, irrévérencieux, une vraie pépite qui déménage ! Un énorme coup de coeur.
Christine, Librairie Payot, Genève.

Quel que soit le point de départ, le lecture des romans de Joseph Incardona est toujours une aventure, un voyage, une expérience. Stella est tout bonnement une splendeur, un roman à la croisée des univers de Tarantino, des frères Coen et donc, du grand Incardona. C’est touchant et cynique, déjanté, drôle et cruel à souhait.
Librairie La Carline, Forcalquier.

Du Tarantino libertaire en roman, mené avec un immense brio.
Librairie La Flibuste, Fontenay-sous-Bois.

C’est un ouvrage absolument divertissant, à la fois drôle et profond. Les dialogues y sont savoureux, l’histoire dingue, les personnages très incarnés, les plans résolument cinématographiques, le rythme maîtrisé. […] On sent vraiment que l’auteur aime ses personnages, creuse leurs failles, leurs fragilités. […] Quand se côtoie ce que l’humanité a fait de meilleur et de pire, ça percute, ça fait vibrer et réfléchir. C’est beau, émouvant.
Laure, La Petite Librairie, Sommières.

Un roman jubilatoire et fin. Maniant à la perfection les clichés américains, Joseph Incardona nous embarque dans une histoire, à l’humour vif et en décalage absolu avec le politiquement correct littéraire. On ADORE ! (et c’est bien écrit).
Benjamin, Librairie Les mots & les choses, Boulogne-Billancourt.

Comme si Tarantino écrivait un livre. Rythmé, dialogues cinglants avec l’humour de l’auteur qui jaillit à chaque page. Ce roman est plein d’humour, captivant et passionnant.
Librairie Atmosphère, Genève.

Héroïne volage et dévouée ou le diable incarné ? Qui qu’elle soit, Stella est terriblement attachante et, telle une star d’Hollywood, son aventure est haletante. Bon visionnage ! 
Amandine, Librairie Folies d’encre, Noisy-le-Grand.

Si vous avez aimé les films de Tarantino, que Weeds et Breaking Bad font partie de vos séries cultes, ce livre va vous ravir. Il est drôle, délicieusement irrévérencieux, totalement décalé, avec des phrases qui font mouche. L’auteur nous régale d’un bout à l’autre !
Librairie Entrée livres, Verdun.

Un plaisir irrévérencieux. Avec des références toutes plus jouissives les unes que les autres.
Librairie Les Sandales d’Empédocle, Besançon.

Jubilatoire ! Un joyeux mélange entre Tarantino et Pennac ! En même temps, quand l’héroïne est une sainte-putain, que le Vatican embauche deux frères diaboliques pour en faire une martyre, qu’un prêtre ancien Navy Seal joue les anges gardiens, ça ne peut que donner un livre décalé, burlesque et explosif, signé Incardona ! 
Charlotte, Librairie Fnac, Annecy.

Une prostituée sainte, un prêtre ancien Navy, des jumeaux psychopathes et autres bikers susceptibles ou ecclésiastiques sans scrupules Voici quelques-uns des personnages que vous croiserez dans Stella et l’Amérique. Joseph Incardona s’amuse et nous offre un roman jubilatoire à la Tarantino, bourré de malice, et qui nous rend aussi compte de nos travers, de nos défauts, mais, surtout, de notre besoin d’amour. Jouissif !
Librairie L’établi des mots, Rennes.

Si Stella Thibodeaux guérit les infirmes en couchant avec eux, Joseph Incardona illumine l’hiver avec ce voyage dans les bas-fonds glauques des Etats-Unis, dans le side-car de deux affreux tueurs à gages à la botte du Vatican. Un roman déjanté digne des meilleurs scénarios américains, jouissif, addictif et remarquablement réalisé. On en redemande ! Tout de suite !
Simon, Librairie Millepages, Vincennes.

Road trip, chasse à la femme, western urbain, roman d’amour, tentative de résurrection, lutte entre le bien et le mal… Tout ça, et surtout un style incroyable !
Sophie, La Nouvelle Librairie Sétoise, Sète.

Imaginez une jeune prostituée au coeur d’or qui accomplit des miracles dans le fin fond de l’Amérique puritaine. Accolez-lui un prêtre ancien GI qui se prend de passion pour sa cause, et vous obtiendrez la folie furieuse qu’est ce roman. Entre courses poursuites et fusillades, aucun risque de pouvoir reprendre votre souffle avant la dernière page.
Céline, Librairie Massena, Nice.

Attachez vos ceintures pour suivre avec jubilation les personnages de cette course poursuite effrénée et pleine de rebondissements : du grand Incardona !
Sylvie, Librairie Bisey, Mulhouse.

Un road-movie lancé à 88 miles à l’heure à travers une Amérique de cinéma, façon frères Coen. On rit, on jubile, (Stella, quel formidable personnage !), et on se délecte des dialogues… Quel pied !
Brice, Librairie L’Angle rouge, Douarnenez.

C’est le livre parfait pour la rentrée. Pas un gros livre, une super histoire, beaucoup d’humour, des clins d’oeil à des gens qu’on aime bien, des sacrées nanas, voir là une nana sacrée, un auteur qui ne se prend pas au sérieux, un livre qu’on n’a pas déjà lu. Un livre magnifique.
Librairie L’Oiseau-Vigie, Saint-Pierre-des-Corps.

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Retour de Barbarie

Retour de Barbarie

À propos du livre

En décembre 1943, l’écrivain Raymond Guérin (1905-1955) est libéré du stalag où il vient de passer plus de trois ans. De retour à Paris, il découvre la France de l’Occupation, bien différente de celle qu’il avait laissée en 1940. « La sottise bat son plein », écrit-il dans son journal, en constatant que la vie culturelle continue comme si de rien n’était et combien les Parisiens se sont habitués à l’occupant et au marché noir.
Piloté par Jean Paulhan ou Gaston Gallimard, il reprend contact avec le petit monde littéraire. Il rend visite à Camus, Sartre, Queneau, Chardonne, à son compagnon de détention Henri Cartier-Bresson. Mais à son ami Henri Calet, il écrit: « Je me fais l’effet d’un revenant, d’un fantôme. Je n’ai plus ma place dans ce monde étouffant et fascisé. » Épuisé, écœuré, Guérin rentre chez lui, dans le Sud-Ouest.
Quelques mois plus tard, c’est avec un enthousiasme ému qu’il commente la Libération de la France. Mais l’euphorie des premiers jours ne dure pas. Dans des pages décapantes, il commente la veulerie des procès d’épuration auxquels il assiste. C’est alors un homme désabusé qui met un point final à son journal..

Presse

Dans Retour de Barbarie, Raymond Guérin se révèle caustique, sceptique et doué d’angoisse comique, […] mais jamais méchant.
Sébastien Lapaque, Le Figaro.

Ce texte bref, comme brûlé de l’intérieur, est saisissant. Outre le document exceptionnel qu’il constitue sur le Paris des belles-lettres occupé, Retour de Barbarie est un concentré de Guérin. Sa souffrance inapaisable, sa révolte inextinguible, son orgueil de romancier, son talent d’entomologiste, ce mélange de masochisme et de vanité, sa haine des lâches, se bousculent dans ce grand petit livre qui fait, soixante ans après, un bruit d’enfer.
Jérôme Garcin, Le Nouvel Observateur.

Mi-témoignage, mi-introspection, Retour de Barbarie constitue un précieux document sur les derniers mois de l’Occupation.
Bernard Quiriny, Lire.

Raymond Guérin à nu.
Marine Laval, Télérama.

Raymond Guérin est un entomologiste désenchanté.
Philippe Lançon, Charlie Hebdo.

Guérin, c’est le sombre ingénu nerveux. Il peine à ne pas s’emporter dans il se sent furieux ou mal à l’aise. Ensuite, il a honte de ses tirades.
Valérie Cadet , Le Monde.

Retour de Barbarie se lit comme une description eberluée du monde littéraire.
Jean-Claude Raspiengeas, La Croix.

Suprêmement émouvant.
Yves Harté , Sud Ouest.

Les libraires

Un grand livre brûlant, intransigeant, inoubliable !
Jean-Pierre, Librairie Actes Sud, Arles.

Raymond Guérin raconte avec rage et dégoût une France qui voit approcher la fin de la guerre. 1943-1944 : c’est le temps des règlements de compte ! Après quatre ans au stalag, il retrouve Paris, le milieu littéraire, sa femme Sonia, Bordeaux, la liberté … mais rien n’apaise sa douleur. Un témoignage littéraire énervé et honnête sur la France des salauds.
Librairie L’Astragale, Lyon.

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Du côté de chez Malaparte

Du côté de chez Malaparte

À propos du livre

Au printemps 1950, Raymond Guérin passe trois semaines chez Curzio Malaparte, dans sa célèbre maison surplombant la Méditerranée, la Casa « Come me », qui n’a pas encore été immortalisée par Godard.
Du côté de chez Malaparte est le récit de ce séjour. Guérin y consigne ses impressions, les conversations avec son hôte, le récit des soirées avec les nombreux artistes qui habitent l’île.
Le portrait qu’il dresse de Malaparte dessine, en creux, un Raymond Guérin émerveillé par la personnalité solaire et complexe de l’écrivain italien.
Et puis il y a la villa. Elle enthousiasme Guérin, qui la décrit, la jauge, la photographie, faisant de ce petit livre un témoignage unique sur cette maison qui, aujourd’hui encore, fascine les architectes du monde entier.

Édition augmentée de fragments inédits et illustrée de nombreuses photographies prises par Raymond Guérin lors de son séjour à Capri.

Presse

Un document émouvant, une manière de retour à la vie pour l’écrivain qui a traversé dix ans de malheur avant de revoir la baie de Naples.
Sébastien Lapaque, Le Figaro.

Un lumineux petit livre.
Pierre Assouline, La République des livres.

Les deux hommes n’ont a priori pas grand-chose en commun. […] Mais tous deux ont un sens aigu de la dérision, ils n’aiment pas leur époque, ils ne sont d’aucune coterie.
Emmanuel Hecht, Les Echos.

Du côté de chez Malaparte n’est pas seulement le compte rendu d’un séjour de trois semaines passé dans la célèbre maison de Capri […]. C’est aussi une introduction jouissive au génie de Malaparte.
Jacques de Saint Victor, Le Figaro littéraire.

Livre poignant que ce récit solaire […]. Cette réédition est remarquable par la qualité des photos et le raffinement de la fabrication qui en font un objet rare et poétique.
Jean-Paul Kauffmann, Sud Ouest.

Le maître italien évoque pêle-mêle ses livres, sa légende, ses femmes, son engagement. Rien de tel pour aller faire un tour Du côté de chez Malaparte.
Augustin Trapenard, Elle.

Un savoureux portrait intime du grand Curzio.
Jérôme Dupuis, L’Express.

A la casa « Come me », chez Curzio, entre caroubiers et lauriers roses, on découvre un autre univers que le piteux salmigondis de certains loquedus de la plume qui oscillent entre nombrilisme et misérabilisme.
François Cérésa, Service littéraire.

Les libraires

Ce livre, c’est la rencontre entre deux monuments de la littérature ! Ce livre, c’est la découverte de la maison Malaparte, « la casa con me » immortalisée plus tard par Godard. Ce livre, c’est l’admiration de Raymond Guérin pour la personnalité hors norme de Malaparte. Ce livre est tout simplement un pur bijou littéraire !
Librairie Delamain, Paris.

Passionnant témoignage historique qui raconte la rencontre entre Malaparte et Guérin. Fasciné par Capri, par la villa et par son hôte, celui-ci décrit minutieusement son environnement pour construire un document littéraire et photographique passionné, manifestation précieuse de son enthousiasme débordant.
Librairie Gallimard, Paris.

Un texte rare enfin réédité.
Librairie La Forme d’un livre, Villeneuve-lez-Avignon.

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L’irrésistible appel de la vengeance

L’irrésistible appel de la vengeance

À propos du livre

Amanda n’est pas au mieux de sa forme : auteure de polar has been, malheureuse en amour et un peu trop portée sur le gin, elle s’aperçoit avec dépit qu’il est difficile de se remettre en selle à cinquante ans. En attendant des jours meilleurs, elle anime un atelier d’écriture.
Sous sa direction, un petit groupe de prétendants à la gloire littéraire s’exerce à l’art du crime parfait. Parmi eux, Rutger, le beau tennisman, Vanessa, la MILF tirée à quatre épingles, Giovanni, le romantique octogénaire, et Ludovica, l’insupportable agent littéraire d’Amanda. Chapitre après chapitre, professeur et élèves se plongent dans les mécanismes subtils d’une intrigue romanesque, mais aussi dans ceux, plus insidieux, des passions qui les lient les uns aux autres.
L’ironie irrévérencieuse de Rosa Mogliasso fait mouche. Et tandis qu’elle nous montre les règles de construction du plus infaillible des polars, elle s’amuse à les saboter. Jusqu’à l’imprévisible coup de théâtre final. Mais attention, un roman peut parfois en cacher un autre…

Un roman malin comme un coup de billard à trois bandes.

Presse

Une intrigue habile, entre lucidité désespérée et humour grinçant, qui démystifie le travail et la figure de l’écrivain. 
Virginie François, Le Monde.

Une comédie italienne à l’ironie ravageuse.
Yoann Labroux Satabin, Télérama.

Une comédie à l’italienne au style léger et décalé, parodie gourmande de la bassesse humaine, qui se lit comme un manuel d’écriture à l’américaine.
Olivier Darrioumerle, Sud Ouest.

Un livre drôle et léger qui rappelle les livres d’Agatha Christie.
Ambre Chalumeau, Quotidien (TMC).

Truffé de bons conseils, ce roman est malicieux. Délicieux.
Valérie Rodrigue, Marie France.

Avec ce livre drôle et bien ficelé, l’écrivaine italienne livre un roman gigogne ludique dont les protagonistes sont à la fois écrivains et personnages. […] Entre intrigue policière et manuel d’écriture, le pari était audacieux et le résultat est irrésistible.
Anne-Charlotte Pannier, La Voix du Nord. 

Brillant d’ingéniosité, stupéfiant de maîtrise.
Le Midi Libre.

Une maestria. Ça se dévore comme un quatre-heures sous un plaid.
Simon Antony, La République du Centre.

Une délicieuse histoire à tiroirs. C’est touchant, amusant et très bien construit.
Matthieu Marin, Ouest France.

L’exercice ne manque ni de virtuosité, ni de cet humour à l’italienne qu’on adore, surtout lorsqu’il se nourrit de références britanniques. Mais comme Amanda (ou Rosa) rime avec Agatha, tout s’explique !
Thierry Boillot, L’Alsace.

Entre suspense et cours d’écriture, ce roman séduit par sa légèreté, son jeu avec les attentes et sa manière d’alterner les intrigues. Original et savoureux.
Anne Pitteloud, Le Courrier.

C’est plein d’ironie et d’humour et les personnages sont géniaux. 
Audrey Verbist, L’Avenir.

Rosa Mogliasso, maligne et douée, mêle dans un même roman drôle un atelier d’écriture, le polar qu’il fait naître et le b.a.-ba du métier ! Instructif et bluffant. 
Olivier Van Vaerenbergh, Focus Le Vif.

D’apparence dérisoire et léger, ce roman gigogne dévoile ses richesses au fil de l’intrigue. […] Rosa Mogliasso mène de front une intrigue policière et un manuel d’écriture. Avec humour et irrévérence. 
Laurence Bertels, La Libre Belgique.

Avec cette ironie irrévérencieuse qui nous avait tant plu dans si belle, mais si morte, l’écrivaine italienne met en scène une autrice de polars déchue qui anime un atelier d’écriture pour se remettre en selle… entraînant toute une série de rebondissements rocambolesques.
Laila Maalouf, La Presse.

Les libraires

Brillant d’ingéniosité, stupéfiant de maîtrise, ce roman est un double roman, où deux histoires, intimement liées, se répondent et se nourrissent. […] En marionnettiste malicieuse, Rosa Mogliasso bouleverse les attentes, multiplie les pistes, infléchit son style pour donner vie et voix à chacun de ses personnages. 
Florian, La Petite librairie, Sommières.

Avec un humour noir décapant et un art de la narration affuté, Rosa Mogliasso vous invite à assister à l’écriture d’un roman policier ! Drôle, intelligent et addictif.
Librairie Vivement dimanche, Lyon.

Une autrice de polars dans le creux de la vague décide de donner des cours d’écriture… enquêtes, mystères et conseils d’écriture sont au rendez-vous dans ce polar qui n’en est pas un ! Un très bon moment de lecture.
Librairie de l’escalier, Melun.

Amanda, piètre autrice de polar, tente de retrouver l’inspiration dans le gin et l’animation d’un atelier d’écriture pour de vains aspirants auteurs. Le lecteur, assis autour de cette loufoque tablée, apprend avec eux toutes les règles d’un polar bien ficelé. Mais l’espiègle Rosa Mogliasso s’ingénie dans une intrigue gigogne à bien toutes les transgresser. Irrésistible en effet !
Aurore, Librairie La Louve, Saint-Sever.

Un polar très agréable à lire, intelligent et plein d’humour.
Camille, Librairie Garin, Chambéry.

Drôle et haletant, un polar qui va vous donner envie d’écrire pour assouvir votre soif de vengeance. 
Virginie, Les Lisières, Villeneuve-d’Ascq.

J’ai beaucoup aimé ce texte que j’ai trouvé avant tout drôle, que ce soit grâce à la galerie de personnages hauts en couleur et les dialogues mordants du club d’écriture. Je me suis laissé porter par la « double » histoire et j’avais hâte de connaître le dénouement de l’histoire écrite par le club d’écriture, et j’ai trouvé cette alternance rafraîchissante. 
Marianne, Librairie Des Gens qui lisent, Sartrouville.

Une petite pépite d’humour et un vade-mecum des techniques et rouages pour écrire un bon polar.
Julie, Le Pavé dans la marge, Mérignac.

Auteure en manque de succès et légèrement alcoolique, Amanda donne des cours d’écriture pour tenter de reprendre pied. Un roman drôle, charmant, qui joue habilement avec les codes du polar. Tout simplement irrésistible !
Lisa, Le Square, Grenoble.

Cette poupée russe sous forme de polar ravira tous les lecteurs en quête de suspense sans trop d’hémoglobine et beaucoup d’humour.
Le Vrai Lieu, Gradignan.

Quand un auteur se joue des codes du polar pour en écrire un, ça donne un savoureux mélange de suspense et d’humour. […] Saurez-vous déjouer les énigmes et fausses pistes d’Amanda et de l’auteure Rosa Mogliasso ? 
Librairie Les yeux qui pétillent, Valenciennes.

Autrice sur le retour, Amanda anime des ateliers d’écriture dans une librairie, une fois par semaine. Avec ses participants, ils vont écrire un polar. Ce sera une histoire de femmes bafouées, une histoire de meurtre sur un bateau de croisière. Rosa Mogliasso se joue des codes du genre et écrit un roman dans le roman. 
Librairie imaginaire, Annecy.

À la fois manuel d’écriture et roman policier, ce roman est un texte exquis, une comédie italienne pas si légère que ça, une comédie/parodie touchante qui questionne les instincts humains dont mère Nature nous a dotés. La double narration, malicieuse, drôle et tranchante est conduite avec maestria et les personnages gravitent au gré de leur imagination dans ce jeu où la réalité rattrape la fiction et vice versa. Un roman espiègle et intelligent à découvrir de toute urgence !  
Bénédicte, Librairie L’Armitière, Rouen.

Amanda, auteure frustrée dans sa vie intime et par son manque de succès littéraire, mène un atelier d’écriture d’une main de maître. Chapitre après chapitre, elle initie un groupe d’aspirants écrivains à l’art du crime parfait. Ne manquez pas de vous régaler avec cette ingénieuse comédie à l’italienne légère et piquante !
Odile, Librairie Charlemagne, La Seyne-sur-Mer.

Le livre joue entre la fiction et la réalité et utilise les codes du genre pour mieux s’en extraire. Rosa Mogliasso mène de front une intrigue policière et un manuel d’écriture, le tout avec humour et irrévérence. Une lecture idéale.
Elisabeth, Librairie Arborescence, Massy.

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Vie et mort de Vernon Sullivan

Vie et mort de Vernon Sullivan

À propos du livre

« Je vais te le faire, moi, ton best-seller ! Et sûr de son coup, il parie qu’il peut boucler ça en dix jours.
On sait Boris loufoque et un peu porté sur l’exagération. Ce n’est pas la première fois qu’il s’emballe. Mais son idée n’a rien d’un gag, jure-t-il. Il a même une vision assez précise de ce qu’il conviendrait de faire.
Il suffirait d’inventer de toutes pièces un auteur américain à scandale. Noir et alcoolique de préférence. Et victime de la censure de son pays, bien sûr.
Aux fins de parfaire le subterfuge et de ne négliger ni l’absurde ni l’ironie de la manœuvre, Boris, dans un sourire, propose même d’endosser le rôle de traducteur.
On se serre la main, s’embrasse ; on n’ira pas jusqu’à ouvrir le champagne, il n’est que 10h30. Mais le pari est lancé. »

Dans un jeu de miroirs, entre fiction et réalité, Dimitri Kantcheloff donne vie à un de ces discrets drames intimes de l’histoire littéraire. Il offre à Boris Vian, écrivain dévoré vivant par son double Vernon Sullivan, un hommage à sa mesure, élégant, virevoltant et poignant.

 

Sélection Prix Renaudot
Sélection Prix Maison Rouge
Sélection Prix Privat
Sélection Prix Pampelonne Ramatuelle
Sélection Prix de l’Instant

 

 

Presse

Sélection 10 romans coups de coeur de la rentrée littéraire de L’Express

 

Ça va vite, c’est joyeux, c’est inventif, c’est délicieux ! Ce roman m’a emballé, c’est jubilatoire.
Augustin Trapenard, La Grande Librairie, France 5.

À rebours de ces exofictions qui déforment grossièrement des figures artistiques du passé, Kantcheloff rend avec beaucoup de justesse la personnalité profonde de Vian, dans un roman lucide et touchant.
Louis-Henri de La Rochefoucauld, L’Express.

À la fois léger et poignant, ça swingue, avec un brin de mélancolie, ça s’avale en un rien de temps, on y pense longtemps, « c’est épatant », comme aurait dit Boris.
Nicolas Carreau, Europe 1.

Dimitri Kantcheloff imprime un fougueux tempo be-bop à son récit. 
Denis Cosnard, Le Monde.

Dimitri Kantcheloff restitue fidèlement l’atmosphère du Saint-Germain-des-Prés de l’après-guerre. […] Tendre et revigorant.
Frédéric Beigbeder, Le Figaro Magazine.

Le Quartier latin enfiévré de l’époque revit derrière l’étrange drame par la grâce d’une langue qui swingue, élégante et imprévisible. 
Antoine Faure, Lire Magazine littéraire.

Un superbe roman délicieusement écrit.
Alex Dutilh, Open Jazz, France Culture.

Une évocation émouvante et inédite, entre biographie et (discrète) fiction. […] À lire sur fond de “Mood Indigo”.
Philippe Blanchet, Rolling Stone.

D’un style malicieux à la Queneau, on revient ici sur le subterfuge littéraire qui pourrit la carrière de Boris Vian. […] Un hommage poignant à un écrivain génial dévoré par son double. 
Madame Figaro.

Le récit de Dimitri Kantcheloff, vif, désinvolte, colle élégamment à son sujet. Heureux brassage de réalité et de fiction, le cocktail est épatant.
Nathalie Peyrebonne, Le Canard enchaîné.

Un roman aussi swinguant qu’envoûtant. […] Une aisance d’écriture qui frôle la grâce.
Martine Laval, Siné Mensuel.

Ce roman fait penser, par son ironie bienvenue, son élégance discrète, à la trilogie biographique de Jean Echenoz.
Olivier Mony, Livres Hebdo.

Un bref roman plein d’une ironie fraternelle.
Isabelle de Montvert-Chaussy, Sud Ouest.

Il y a dans cette écriture douce-amère une véritable tendresse, mais une tendresse qui peut être dure. Et puis il y a une mélodie nostalgique qui donne envie de replonger dans cette époque, d’écouter un disque de jazz, et de relire Boris Vian, quel que soit le nom de plume employé par ce diable de pataphysicien. Une bien belle réussite. 
Julien Védrenne, K-Libre.

Dimitri Kantcheloff fait revivre le Saint-Germain-des-Prés de Boris Vian. Un régal.
Laurence Rémila, Technikart.

Loin d’une simple biographie, Kantcheloff mêle réalité et fiction avec style.
Olivier Bousquet, VSD.

Émouvant et nerveux, ce roman, court et épatant, alterne judicieusement entre distance, proximité et élégance. Un vrai plaisir de lecture. 
Laurence Bertels, La Libre Belgique.

Dimitri Kantcheloff transforme cette affaire Sullivan en un roman passionnant, jouant, à la fois sur le côté pittoresque de la reconstruction historique, sur la notoriété des personnages secondaires, et surtout sur la vitesse, la pulsation, les acrobaties de la phrase, les irruptions de l’auteur dans l’action, qu’il assaisonne de petits commentaires sarcastiques – le style, en somme, qui est remarquable.
Bernard Quiriny, L’Opinion.

Un roman au style élégant et concis.
Laure Albernhe, TSF Jazz.

Attention pépite ! Il y a du feu à chacune des 162 pages, de l’audace littéraire, de la tension addictive, et autant d’humeurs expressives qui créent un véritable plaisir à suivre la mécanique d’une supercherie éditoriale.
Florence Millioud, La Tribune de Genève.

Écriture enlevée, fausse légèreté et douce ironie instaurent avec cette biographie romancée une distance délicate, une pudeur nécessaire. […]Vie et mort de Vernon Sullivan est un swing, endiablé, qui révèle avec élégance le drame intime d’un écrivain confronté à l’échec de ses propres romans.
Anne Pitteloud, Le Courrier.

Un bref roman aussi effervescent que son sujet. Exaltant !
Thierry Raboud, La Liberté.

Le roman de Dimitri Kantcheloff pétille de détails réjouissants.
Pierre Maury, Le Soir.

Un original et ludique roman qui nous plonge dans l’ambiance virevoltante du Saint-Germain-des-Prés de Vian.
Audrey Verbist, L’Avenir.

Avec ses chapitres courts, ses phrases saccadées et son tempo endiablé, ce texte tient le lecteur en haleine de bout en bout. On le termine en quelques heures, abasourdi et émerveillé par le voyage temporel et littéraire que l’on vient d’effectuer. Très chaudement recommandé.
Jean-Philippe Blondel, L’Est éclair.

Ce roman, ébouriffant, vif et drôle, nous entraîne dans la ronde aux rythmes jazzy de Boris Vian avec ses mensonges, ses désirs, son insatiable soif d’écriture et de reconnaissance. 
Blandine Hutin-Mercier, Le Populaire du Centre.

Par une écriture d’une brillante vivacité et à la désinvolture maîtrisée, Dimitri Kantcheloff revient sur un de ces discrets drames intimes de l’histoire littéraire.
Marie-Aimée Bonnefoy, La Charente libre.

Une écriture légère qui s’imprègne du rythme endiablé qu’avait la vie de Boris Vian.
Florian Simeoni, Var Matin.

Rapide, léger, fluide. […] Un hommage plaisant à Boris Vian.
Robert Colonna D’Istria, Corse Matin.

 

 

Les libraires

Les Germanopratins invétérés auront repéré dans ce titre le double légendaire de Boris Vian, à qui ce texte entraînant et inventif rend un hommage digne de ce nom, pour que l’écume des jours continue d’irriguer nos rivages. 
Guillaume, Librairie L’Écume des pages, Paris.

Rock, tendre, subversif, le livre fait de Boris un ami que l’on (ré)apprend à (re)connaître. L’ombre derrière les grands mots de ses livres et le coeur battant, malade à chair et à vif de la poésie de ses propres oeuvres. Homme double, inspiré et tourmenté… Vernon est mort, vive Boris !
Zoraïde, Librairie des Fables, Château-Thierry.

Un excellent roman sur les riches heures de Saint-Germain-des-Prés et sur la vie d’un jeune auteur et musicien fantasque traqué par la mort et sans cesse à la recherche du succès.
Guillaume, Librairie Charlemagne, Toulon.

Vous rêviez de sentir l’atmosphère du St Germain des Prés de l’entre-deux guerres ? C’est chose faite avec ce roman immersif qui nous rappelle la facétie et l’ambition de Boris Vian, écrivain prolifique qu’on a tout de suite envie de relire…
Émilie, Librairie Pantagruel, Marseille.

Un vibrant hommage sous forme de jeu de miroirs entre fiction et réalité, Boris Vian et son double : Vernon Sullivan.
Céline, librairie l’Armitière, Rouen.

Un bon roman qui revient sur un des plus gros scandales d’après-guerre en France, et sur la vie d’un auteur aujourd’hui culte. Un texte bien documenté qui nous plonge dans cette époque pleine de tourments.
Thomas, Librairie du Marais, Mayenne.

Comment et pourquoi Boris Vian, qui peinait à atteindre la célébrité et la prospérité, crée son alias Vernon Sullivan, écrivain fictif noir américain, sulfureux et maudit ? C’est ce que propose de découvrir Dimitri Kantcheloff dans ce roman passionnant, qui ressuscite la vie littéraire des années 40 et le caractère fantasque de l’écrivain. Un très bon roman !
Marion, Librairie Le Vrai Lieu, Gradignan.

Une fiction/non-fiction sur l’auteur « Vernon Sullivan » imaginé de toutes pièces par Boris Vian : une plongée dans la France de l’après Seconde Guerre mondiale.
Christophe, Librairie Les Nouveautés, Paris.

Cet excellent roman fait revivre l’affaire du sulfureux Vernon Sullivan (alias Boris Vian) et rend un vibrant hommage à cet écrivain de génie dont la vie est digne d’un roman.
Cécile, Librairie Le Passeur, Bordeaux.

Un récit documenté tout en justesse […] Une très belle lecture, une revisite pointilliste et jazzistique. Libératrice, à sa façon. Fascinante et touchante, en tout cas.
Margot, Librairie Les Vinzelles, Volvic.

L’une des plus fameuses supercheries littéraires racontée avec un panache digne de Boris Vian lui-même. Une réussite !
Roxanne, Librairie L’Oiseau Tempête, Saint-Nazaire.

La vie romancée de ce jeune prodige que fut Boris Vian. On y découvre, dans le Paris d’après-guerre, un auteur qui a la fureur de vivre, quitte à brûler la chandelle par les deux bouts, les petites guerres intestines du milieu de l’édition et les caves « bath » de l’époque. Un roman qui swingue !
Jennifer, Librairie Dinali, Strasbourg.

Un hommage virevoltant à Boris Vian et à sa créature, Vernon Sullivan, dans le Quartier Latin survolté des boîtes de jazz. Ça swingue, ça pétille dans un tempo endiablé, à l’image de la vie du Bison Ravi !
Antoine, Librairie Le Tumulte, Vouvray-sur-Loire.

Par ce portrait enlevé de quelques années de Boris Vian, Kantcheloff nous plonge dans le Paris de l’existentialisme, à la rencontre de Beauvoir, de Sartre, mais aussi Raymond Queneau, l’abbé et poète Jean Grosjean. […] Histoire et fiction se confondent dans cette brève fresque d’une vie fulgurante.
Raphaël, Librairie La Procure, Versailles. 

Un petit bijou de littérature, un texte audacieux et intelligent. 
Marie-Adélaïde, Librairie Doucet, Le Mans.

Un très beau livre sur la figure de Boris Vian.
Camille et Simon, Librairie La Bicyclette Bleue, Paris.

Une écriture incisive, des chapitres courts, une rythmique intense à l’image de la vie de cet artiste fascinant.
Emilie, Fnac Orly.

Fiction et réalité se mêlent dans ce très beau livre en un hommage au génie et aux travers du grand écrivain.
Alexia, La Galerne, Le Havre.

Un roman-hommage poignant sur Boris Vian, mis en scène par un habile jeu de miroirs entre la fiction et la réalité, c’est virevoltant, échenozien, rock et subversif, tout cela à la fois !
Josée-Anne Paradis, Les Libraires.

Dimitri Kantcheloff nous offre un récit à la hauteur de la fantaisie de Boris Vian. […] C’est drôle, bien écrit, fantasque comme un livre de Vian.
Rémy, Librairie Au Temps Lire, Lambersart.

Le livre nous plonge en quelques mots dans le bouillonnant Paris de Saint-Germain-des-prés. […] C’est à la fois léger, passionnant, poétique et dramatique ! Un roman que nous avons hâte de pouvoir défendre durant cette rentrée.
François, Librairie Passage Culturel, Cholet.

Dans une fougue digne de Boris Vian, Dimitri Kantcheloff retrace le parcours d’une oeuvre, d’un pseudo, d’un homme, ce surdoué à qui Vernon Sullivan a parfois fait de l’ombre et nous fait regretter de ne pas avoir croisé la route de cet être inclassable, libre, inspiré, excessif et si attachant.
Max, Librairie Vaux Livres, Vaux-le-Pénil

L’histoire incroyable du roman J’irai cracher sur vos tombes. C’est aussi une tranche de vie de Boris Vian qui nous est contée dans cette fiction-non-fiction entraînante.
Frédérique, Librairie Mots et images, Guingamp.

Une écriture énergique, joviale qui nous embarque dans le Paris du XXème siècle à la rencontre de Boris Vian et surtout de son double sulfureux. Un roman dansant qui se dévore avec un grand sourire.
Julian, Librairie Privat, Toulouse.

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Tant que durera la guerre

Tant que durera la guerre

À propos du livre

Lettres à sa mère pendant la guerre de Sécession

En 1862, Walt Whitman part à la recherche de son frère, porté disparu sur les champs de bataille de la guerre de Sécession. Il découvre la situation épouvantable des hôpitaux militaires et refuse de rester indifférent. Poète engagé, humaniste, Whitman va mettre ses idéaux en application. Il décide de se consacrer aux blessés, d’accompagner les mourants, plaçant sa vie entre parenthèses durant trois ans.
Quels que soient leur camp ou leur couleur, il apporte amitié, écoute et réconfort à ceux qui en ont besoin. Le soir, il écrit : des carnets pour se libérer, des articles pour témoigner, des lettres à sa mère pour s’épancher. Ces trois sources se complètent pour faire de Tant que durera la guerre un document intime, littéraire et historique unique.

INÉDIT

Extrait :
«Les blessés gisent à même le sol et il y a parfois de la neige. Je vais de l’un à l’autre. Je n’ai pas l’impression de servir à grand-chose, mais je ne peux pas les laisser tomber. De temps à autre, un jeune garçon s’accroche à moi de façon convulsive, je fais alors ce que je peux pour lui ; à tout le moins, je m’arrête et je reste assis à son chevet, pendant des heures s’il le souhaite

 

Presse

La correspondance du poète américain avec sa mère montre son engagement absolu auprès des blessés de la guerre de Sécession, expérience qui a marqué son oeuvre.
Frédérique Roussel, Libération.

Un volume précieux qui regroupe les écrits de Whitman sur la guerre de Sécession. Le lecteur se trouve sur le terrain, en direct. C’est passionnant.
Christophe Mercier, Le Figaro.

Walt Whitman compose un tableau unique de la guerre de Sécession.
Anne Crignon, L’Obs.

Une matière unique proprement inestimable, […] des lettres bouleversantes et l’humanité, la vraie.
Marc Bertin, Sud Ouest.

Tandis qu’il s’efforce de rassurer sa mère, Walt Whitman raconte ses états d’âme et relate, en écrivain doté d’une formidable acuité, ce qu’il vit et voit. À travers lettres, extraits de carnets ou articles, on mesure la violence ordinaire de cette guerre où l’on a comptabilisé plus de 600000 morts. Il offre un témoignage de première force, où l’on croise le général Grant, Abraham Lincoln ou de simples conscrits en détresse.  
Jean-Luc Germain, Le Télégramme.

Un puissant témoignage sur la violence d’un conflit qui fut peut-être la première grande guerre industrielle moderne.
Bernard Quiriny, Trois Couleurs.

Le témoignage de Walt Whitman dévoile les réalités brutales de la guerre, certes, mais il met en évidence aussi la lumière des sentiments, l’humanité qui peut briller même dans les pires circonstances. 
Gaëlle Obiégly, FloriLettres.

On devine dans ce recueil la tendresse, l’intarissable générosité du poète, et l’importance de cette expérience qui nourrira jusqu’à sa mort l’écriture de son recueil Feuilles d’herbes
Les Notes.

Les libraires

Évocation d’une période trouble par un des plus grands poètes américains, voici les lettres de Walt Whitman adressées à sa mère lors de la guerre de Sécession dans lesquelles l’homme engagé, humaniste et plein d’idéaux souligne l’absurde et le tragique du conflit et témoigne de la situation épouvantable des hôpitaux militaires. 
Carole, Librairie du Bon Marché, Paris.

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Martel en tête

Martel en tête

À propos du livre

« Il lui fallait bien se rendre à l’évidence, il était vieux maintenant, même sa femme le lui rappelait sans prendre de gants. Jusqu’à son malheur, le Bricou n’avait pas eu conscience de son âge, pas conscience d’avoir changé. Les saisons en se suivant avaient usé sa vie sans qu’il y prenne garde. »
Mais quel est ce malheur qui a pu à ce point changer le Bricou ? En vérité pas grand-chose, un événement banal, presque insignifiant, pourtant cela a suffi pour qu’il se mette martel en tête. Sa vie a basculé. Et si tous les autres riaient de lui, s’il n’était plus bon à rien, et si sa femme le trompait, peut-être même a-t-il la gale…
On rit beaucoup à la lecture de Martel en tête, et comment ne pas s’émouvoir de la fragilité de celui qui se sent devenir inutile, obsolète ? Qui vieillit, tout simplement. Le livre refermé, on se dit qu’on est tous un peu des Bricou.

Presse

Un petit livre richement modeste ou modestement riche, dont l’apparente simplicité cache un art consommé de la narration et, surtout, une manière de regarder le monde qui le rend profondément attachant.
Bernard Quiriny, Chronic’art.

C’est ce qu’on appelle de la belle ouvrage.
Le Figaro littéraire.

Martel en tête est une belle découverte, un vrai bonheur de lecture.
L’Humanité dimanche.

Ce qui nous est dit dans ce texte, avec un charme qui fait parfois penser à une chanson de Brassens, est si vrai qu’il ne peut que nous accompagner longtemps.
Le Revue Littéraire.

Une heureuse redécouverte.
Livres Hebdo.

Portrait d’un désespéré, à la fois naïf, ridicule et poignant, Martel en tête est un superbe petit roman, plein de caractère. Ne le manquez pas.
L’Opinion.

Les libraires

Écrit en 67 par un copain de Georges Brassens, ce récit villageois tendre et drôle nous rappelle que la vie vaut d’être vécue.
Sylvie, librairie Mollat, Bordeaux.

Les émotions sont brutes. Et la simplicité fait loi.
Librairie Les carnets d’Albert, Sallanches.

Rien de ce qui sort aujourd’hui en librairie ne ressemble à ce texte. […] On trouve dans cet ouvrage plein de malice, d’humour, de tendresse, d’amour, du bon sens paysan, des petites phrases géniales de pilier de comptoir. […] Si vous avez envie de changer d’air, de décor, d’époque, lisez Martel en tête. C’est que du bonheur !!!
Laure, La Petite Librairie, Sommières.

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J’habite près de mon silence

J’habite près de mon silence

À propos du livre

Georges Perros était poète et, comme la plupart des poètes, il se souciait fort peu de recenser ses œuvres. Il les donnait à des revues, les envoyait à ses amis ou les offrait pour la fête des mouettes de Douarnenez…
Nous avons rassemblé tous ces poèmes, oubliés ici ou là. Plusieurs sont reproduits en fac-similé.

Presse

Poignant.
Bruno Corty, Le Figaro.

Les libraires

Quand on a goûté un jour à l’écriture de Georges Parros, on y revient toujours ! Il y a souvent de la mélancolie, mais aussi beaucoup de tendresse, et c’est tellement beau !
Librairie Vivement Dimanche, Lyon.

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Accès direct à la plage

Accès direct à la plage

À propos du livre

Chaque année, on reloue au bord de la mer. Une maison, un appartement. Les voisins ? On les entend, on les regarde. Les enfants s’amusent sur la plage, les parents s’aiment ou se déchirent, les adolescents rêvent d’ailleurs. On se croise par hasard un soir d’été et les destins s’entremêlent.
Peu à peu, les fils qui relient cette humanité en vacances révèlent la géographie souterraine de ce roman sensible, à la fois puzzle et kaléidoscope. Sous la plume tendre et nostalgique de Jean-Philippe Blondel, la vie suit son cours entre petits bonheurs et grands drames..

 

Presse

Quatre étés, des émotions mises à nu, un charme fin.
Olivia de Lamberterie, ELLE.

Un enchantement. […] Accès direct à la plage n’a pas pris une ride, lesté de son lot de charme et de nostalgie.
Marianne Payot, L’Express.

Ce roman est une chanson. […] Chaque histoire, en lien avec la suivante, faisant une boucle, raconte la famille, les désirs, les rencontres. 
Valérie Rodrigue, Marie France.

Avec finesse et acuité, Jean-Philippe Blondel impose un ton, une patte. Il a un don naturel pour magnifier le quotidien.
Alexandre Fillon, Les Echos.

Sous les parasols, la comédie humaine bat son plein.
Femme actuelle.

Un roman très réussi.
Minh Tran Huy, Madame Figaro.

Sur ce roman plane une nostalgie, comme une carte postale vintage qui nous donnerait des nouvelles douces-amères de la fin du siècle.
Thomas Jean, Marie Claire.

Un ouvrage formidable d’intelligence et de sensibilité.
Psychologie Magazine.

Quel grand bonheur de retrouver le premier livre de Jean-Philippe Blondel !
Valérie Lexpert, Sud Radio.

Un roman qui dégage une joie de vivre féroce.
Olivier Darrioumerle, Sud Ouest.

Un excellent livre. 
Christophe Henning, RCF.

Une écriture joliment tendre et nostalgique qui raconte les petits bonheurs de ce kaléidoscope de personnages attachants.
Audrey Verbist, L’Avenir.

Il y a un air de Rohmer dans ces récits de bords de mer.
Laurence Bertels, La Libre Belgique.

Un merveilleux roman sur les grains de sable qui rendent la vie plus vraie que nature. 
Thierry Boillot, L’Alsace.

Un roman tout simplement irrésistible.
Valérie Susset, L’Est Républicain.

L’originalité de ce roman qui avait rencontré un joli succès à sa sortie en 2003 justifie amplement sa réédition.
Chantal Livolant, Le Télégramme.

Un petit bijou de finesse et de littérature.
Claude Lévy, IDFM radio.

Des petits bouts de vie qui forment un roman attachant.
Karine Leroy, Paris-Normandie.

Avec une sensibilité à fleur de peau dorée par le soleil, ce roman dessine une humanité bouleversée bouleversante. 
L’Écho Républicain.

On comprend ce qui voici dix ans avait séduit Eric Holder à la lecture de ce texte. La même délicatesse, le même regard à hauteur d’homme, signent la parenté entre ces deux écrivains.
Frédérique Bréhaut, Presse Océan.

Un texte ensoleillé et authentique.
Thierry Grillet, L’Indépendant.

Quelques histoires d’amour prennent forme, pour quelques jours ou une vie entière. 
Jimmy Boursicot, Var Matin.

Les libraires

Un vrai plaisir de lecture, je n’ai pas pu m’en détacher ! J’ai aimé les personnages décrits avec tant de finesse, la construction du roman et l’écriture fluide et sensible.
Nicole, Librairie Le Phare, Paris.

Ce livre est un petit joyau aux mots simples et à la construction habile qui célèbre autant les vacances d’été et le charme des locations balnéaires que les émois du coeur et la nostalgie du temps qui passe.
Catherine, Librairie Lajarrige, La Baule.

Un trésor de justesse à (re)découvrir absolument.
Librairie Au Saut du livre, Joigny.

Que vient-on chercher l’été en bord de mer ? On reloue le même appartement, on observe les voisins, on tente des rencontres ou au contraire on s’enferre dans des habitudes, on garde le souvenir d’un amour adolescent, on ne montre qu’une facette de soi… Sur les plages des Landes, de Bretagne, du Sud-Est ou de Normandie, à 4 époques différentes de leurs vies, les heurts et bonheurs d’une vingtaine de personnages au fil du temps. Petit plaisir désenchanté que ces vies multiples qui ne brillent pas plus au soleil ! Touchant, drôle parfois. 
Inès, Librairie Bookstore, Biarritz.

Dans un bar ou sur une plage, Jean-Philippe Blondel nous observe avec acuité, perspicacité mais toujours avec humanité.
Eric, Librairie La Grande Ourse, Hautot-sur-Mer.

Une merveille, une pépite, un avant goût d’été.
Christelle, Librairie Rue de Verneuil, Annecy.

Une comédie humaine totalement touchante qu’on lit avidement et avec un sourire aux lèvres.
Evelyne, La petite librairie, Ars-sur-Moselle.

Instantanés de vie sur fond d’océan, entre écran total et drames silencieux, Blondel parcourt trente années de vacances en bord de mer en donnant la parole aux habitants d’immeuble de station balnéaire. Un roman choral sensible qui tisse une histoire émouvante et délicate. 
Clémentine, Librairie Au chat lent, Challans.

De la délicatesse, de la sensibilité, et une belle pointe d’humanité.
Librairie du Voyage, Rennes.

J’ai beaucoup aimé ce roman choral où chacun trouve sa place. On ressent entre chaque individu, l’odeur de la crème solaire, le sable qui colle aux pieds et les enfants qui chahutent. Un goût de « reviens-y » comme quand on était petit. Assurément le roman de l’été à glisser dans son sac de plage !
Sophie, Les Cahiers Lamartine, Les Sables D’Olonne.

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Lonely Betty

Lonely Betty

À propos du livre

Dans une petite ville du Maine, la veille de Noël, toute la communauté s’apprête à célébrer les cent ans de Betty Holmes, l’ancienne institutrice. À la stupeur générale, en ce jour de fête, Miss Holmes fait des révélations surprenantes sur une mystérieuse disparition vieille de soixante ans et sur un de ses anciens élèves devenu célèbre. Betty ne verra pas Noël…
Joseph Incardona pastiche le roman noir, s’amuse de tous les clichés du genre et, par une habile pirouette, cette parodie devient ­hommage.

 

Illustrations de Thomas OTT.

 

              

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Presse

Ce court roman de Joseph Incardona saute, virevolte, gambade.
Denis Cosnard, Le Monde.

Un polar parfait. Un génie, ce Joseph Incardona. Je lui donne le Prix Nicolas Carreau !
Nicolas Carreau, Europe 1.

Brillant et drôle !
C’est encore nous, France Inter.

Ce petit roman noir, qui pastiche les grands, est réjouissant de finesse. Lonely Betty est un pastiche de roman américain qui joue avec dextérité et subtilité des codes et des clichés. […] Souvent les textes parodiques réjouissent l’esprit mais ne touchent pas les cœurs. Ce n’est pas le cas ici. Incardona force le trait en finesse.
Astrid de Larminat, Le Figaro.

Un irrésistible petit roman, hilarant pastiche de roman noir et hommage complètement tordu à un auteur célèbre, magnifiquement illustré.
Philippe Blanchet, Rolling Stones.

La surprise est totale, excellente. 
Julie Malaure, Le Point.

Un réjouissant petit pastiche de roman noir.
Fabrice Colin, Le Canard enchaîné.

On entre d’emblée dans ce petit univers aux personnages très en verve et aux réparties qui claquent.
Lisbeth Koutchoumoff, Le Temps.

On le sait, Joseph Incardona est de la trempe de grands raconteurs, et l’on se plaît à en retrouver l’efficace verve en format court et noir.
Thierry Raboud, La Liberté.

Entre pastiche et hommage, une ambiance noire où l’éclat de rire n’est jamais loin. Jubilatoire.
Caroline Rieder, 24 heures.

Drôle et désabusé, ce récit connaît une nouvelle édition sobrement et magnifiquement illustrée par Thomas Ott, dont les images participent à transformer la parodie en hommage.
Frédéric Hojlo, ActuaBD.

À travers Lonely Betty, Joseph Incardona ne cherche pas seulement à divertir. Il nous dit aussi toute son admiration pour la littérature noire américaine laquelle a sur son travail une influence indéniable. Il en résulte une petite lecture apéritive qui donne envie de se replonger dans les classiques du genre.
J.-Cl. Lalumière, k-libre.

 

Les libraires

Les dessins hantés de Thomas Ott illustrent à merveille ce texte insolent, entre pastiche décomplexé du roman noir américain et hommage à un certain S.K., LE grand maître de l’angoisse littéraire… Réjouissant !
Librairie Passages, Lyon.

C’est noir, trash, original, moqueur. Énorme coup de coeur.
Ilona, Cultura, Tours.

Un peu de vulgarité dans un monde de brutes ! Voilà Incardona qui revisite le roman noir en pulvérisant les codes, son ironie mordante en bandoulière. On vous défie de ne pas sourire quand vous saurez qui a fait le coup !
Morgane, Librairie L’Utopie, Paris.

C’est truculent, c’est noir, c’est drôle, c’est l’Amérique, c’est… il faut le lire.
Librairie L’Esprit vif, Vif.

Étrange, drôle, cynique, acerbe, ce Lonely Betty est un petit roman pas comme les autres mais qui se dévore avec appétit. Entre humour noir, enquête et fable un brin fantasque…
Emilie, Librairie FNAC, Orly.

Un bon petit roman noir, politiquement incorrect, en hommage à …
Elodie, Librairie de Paris, Saint-Etienne.

Parodiant les meilleurs romans noirs américains, Lonely Betty nous entraîne dans une enquête hors norme, superbement illustrée à la carte à gratter par Thomas Ott.
Librairie L’Usage du papier, Trouville-sur-Mer.

Les éditions Finitude nous livrent un petit joyau. Incardona et Ott, un duo que j’ai adoré lire ! Avec ce texte simple, efficace, drôle et juste, Incardona démontre encore une fois que son style vaut le détour et toujours dans la bonne mesure. Et les illustrations de Thomas Ott…que dire ? Pas beaucoup, car une image vaut plus que mille mots. Mais rajoutons tout de même que c’est magnifique. Bravo à tous les deux !
Marcos, Librairie La Manoeuvre, Paris.

Incardona nous offre un mini-roman plein d’humour et de terreur. Pour les amateurs de littérature de genre qui veulent se faire un petit plaisir avec cette gourmandise sucrée-salée.
Vincent, Librairie Dédicaces, Reuil-Malmaison.

Un pastiche plein de vitalité, une lecture à l’humour noir réjouissante.
Librairie Garin, Chambéry.

A la veille du réveillon de Noël, les révélations pleuvent à Durham (Maine). Qu’est-il arrivé aux frères Harry à l’été 58 ? Un vrai-faux roman à suspens, où chaque détail contribue à cette ambiance désopilante, très américaine ! Tordant !
Librairie Le Divan, Paris.

Un formidable pastiche des romans noirs américains, drôle et caustique, magnifiquement illustré par Thomas Ott. Un bon moment de détente.
Agnès, La Nouvelle Librairie Sétoise, Sète.

Un roman qui se révèle être en réalité une lettre d’amour à un grand écrivain.
Librairie L’Instant, Paris.

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Les bracelets d’amour

Les bracelets d’amour

À propos du livre

La maternité n’est pas une mince affaire.
Emmanuelle Pol s’amuse à en explorer les marges, les franges sombres, à travers neuf histoires qui rendent compte de la complexité de ces étranges relations qui unissent parents et enfants, pour le meilleur ou pour le pire. Ici, pas de tendres portraits de famille, mais une exploration au scalpel des liens du sang.

Grâce à une écriture incisive et une subtile ironie, Emmanuelle Pol maltraite avec intelligence bon nombre de clichés autour de l’enfance et de la filiation.

Sélection Prix Boccace

 

Presse

Les Bracelets d’amour détonne par son insolence, sa liberté, son ton décalé et provocateur. […] Intelligent, grinçant, il se distingue par l’absence de tout jugement et par l’art du pas de côté. Jouant avec le sentiment de malaise, il caresse le pire, sans s’y attarder, pour interroger subtilement les limites de la morale ordinaire.
Virginie François, Le Monde.

Le tout est tendre, écorché, grinçant, subtil et provocant.
Hubert Artus, Le Parisien.

Emmanuelle Pol étudie les liens d’attachement et de filiation, entre ironie et tendresse.
Mathias Enard, L’Entretien littéraire de Mathias Enard (France Inter).

Avec son écriture mordante, Emmanuelle Pol dissèque avec plaisir les petits clichés de famille. Vivisection de l’amour filial ou maternel.
Olivier Darrioumerle, Sud-Ouest.

Des textes marquants qui nous interrogent, très drôles et très cruels à la fois.
Isabelle Raepsaet, La Voix du Nord.

Mère, amante, fille ou petite-fille, femme avant tout, au XXIème siècle : Emmanuelle Pol propose une puissante photographie de notre époque, où les clichés sont bien présents, mais où elle leur tord le cou. Une lecture revigorante : à ces situations convenues battues en brèche s’ajoute une subtile ironie.
Marie-Anne Georges, La Libre Belgique.

D’une écriture fluide mais sans concession, Emmanuelle Pol dissèque les rapports humains avec une précision chirurgicale.
Julie Huon, Le Soir.

Ironique, caustique, grinçant.
Thierry Bellefroid, Sous couverture (RTBF).

Subtiles, acérées et justes, les nouvelles d’Emmanuelle Pol dévoilent le relief derrière les photos de famille toujours trop lisses.
Anne Pitteloud, Le Courrier.

Un style tout d’élégance et d’économie. 
Olivier Barrot, Pleine Vie.

Un recueil plein de saveur. Drôle, ironique et juste.
David Courier, Le Courier recommandé, BX1.

Ce recueil est à mettre entre toutes les mains, que l’on soit parent, ou pas.
Charlotte Saric, Bordeaux Madame.

Un recueil drôle et corrosif.
Blandine Hutin-Mercier, Le Populaire du Centre.

De sa plume vive, elle fait mouche dans ces fables aux accents plus vrais que vrais, nous tendant un miroir dans lequel nous croisons tôt ou tard notre propre visage.
Thierry Detienne, Le Carnet et les Instants.

Les libraires

Époustouflant de maîtrise narrative, brillant et corrosif à souhait, ce recueil de neuf textes offre une vision acérée des relations humaines. Qu’elles soient parentales ou conjugales, ces histoires révèlent ce qu’on ne dit pas mais que l’on pense dans un silence pudiquement imposé. Mais nous ne sommes pas dupes, car dans au moins une de ces nouvelles, c’est un miroir qu’Emmanuelle Pol nous tend.
Brindha, Librairie Millepages, Vincennes.

C’est caustique à souhait et très subtil !
Charlotte, La Nouvelle Page, Paris.

Les Bracelets d’amour sont des nouvelles douces-amères sur les diverses relations parents-enfants, sur l’évolution des corps des femmes. Toutes ces nouvelles sont belles et émouvantes !
Béatrice, Les Traversées, Paris.

Merveilleuse Emmanuelle Pol, qui décortique avec une épatante habileté nos travers, nos vices, nos contradictions de mères, d’enfants et autres déboires de nos filiations. Neuf nouvelles qui creusent pile où ça titille, nous happent et nous renversent. Un bonheur de lecture. 
Aurélie, Librairie La Carline, Forcalquier.

 

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Les silences

Les silences

À propos du livre

Se taire, ne jamais se mêler des affaires des autres, voilà la règle qui prime dans ce village au cœur des montagnes, et permet à chacun de cultiver consciencieusement son lot de rancœurs et de préjugés. Quand Emil a disparu, personne n’a rien dit, bien sûr, les langues sont restées liées. Et quand l’orpheline, la jeune Ida, a été placée chez les Hauser, on se doutait bien que la vie serait difficile pour elle.
En butte à la haine de la fermière et aux regards libidineux de son mari, la jeune fille ne peut compter que sur son amitié clandestine avec Noah, un adolescent qui rêve ­d’ailleurs. Il réussit à la convaincre qu’elle aussi a droit à sa part de bonheur, mais il est trop tard. Ils ne parviendront, bien malgré eux, qu’à déclencher malheurs et drames, à faire remonter à la surface toute la boue de secrets et de non-dits du village.

 

Prix Jean Monnet des Jeunes Européens

Sélection Prix des libraires Payot
Sélection Prix du roman Cezam
Sélection Prix du public RTS

 

Presse

Un très grand exercice littéraire, un roman hors du commun.
Laurent Ruquier, Club Première (Paris Première).

Le silence, la montagne, un ciel peint avec la grisaille de la mélancolie.
Nathalie Agogue, Libération.

Un « country noir » où le non-dit règne en maître.
Valérie Rodrigue, Marie France.

Un roman rural puissant
Julie Vasa, ELLE.

Les Silences se lit comme un roman noir sociologique dans lequel la résilience, la résistance au déterminisme social n’est pas un combat facile. […] Un récit bien rythmé, noir et lumineux.
Mohamed Berkani, France TV Info.

Un drame sur fond de montagnes et de rancoeurs qui tient autant du roman noir que du récit d’atmosphère.
Olivier Mony, Livres Hebdo.

Une sonorité franche et vigoureuse éclairée par une poésie sans fioriture, quasi naturaliste, presque terreuse.
Isabelle de Montvert-Chaussy, Sud Ouest.

Ambiance bourrue, taiseuse, aussi énigmatique que touchante.
Matthieu Marin, Ouest France.

Un polar rural saisissant.
Nicolas Julliard, RTS (Quartier livre).

On est soufflé par la justesse de ce livre. C’est vraiment brillant.
Lucile Poulain, RTBF (Sous couvertures).

On se laisse embarquer, séduits à la fois par l’originalité de la structure et par cette plongée dans les sombres années des campagnes helvétiques.  
Anne Pitteloud, Le Courrier.

Grand roman à l’écriture dépouillée et intense, Les Silences touche à une sorte d’universalité que la sensibilité autant que la finesse de l’auteur permettent d’approcher.
Sébastien Colson, Le Dauphiné Libéré.

En plaçant son histoire au milieu du XXème siècle, Luca Brunoni nous plonge dans une réalité où les adolescents étaient amenés à grandir plus vite, pour le meilleur et pour le pire.
Jimmy Boursicot, Var Matin.

Prodigieuse plongée dans la tête d’un enfant et dans une petite communauté fermée sur elle-même. D’une profonde humanité.
Michel Paquot, L’Avenir.

Quand les rêves des uns deviennent les crimes des autres, le roman noir n’est pas loin…
Focus Vif.

Un roman engagé et bien écrit.
Stefano Palombari, L’Italie à Paris.

Un beau roman inspiré de l’histoire des enfants placés.
Albertine Bourget, Arcinfo.

Les libraires

Un village de montagne prisonnier des secrets de ses habitants. Des personnages tour à tour antipathiques, pudiques et touchants. Une atmosphère rurale faite de dur labeur et de violence. Le terrain parfait pour que certaines tensions éclatent, emmenant l’histoire dans un suspense de roman noir. Un sacrément bon livre !
Valérie, Librairie Atout livre, Paris.

Quelle belle surprise ! On se laisse ici tomber dans un piège à l’écriture ciselée. Une jeune fille se retrouve prise dans les mailles d’un petit village suisse isolé, où les silences se multiplient et la vérité nous échappe jusqu’à une révélation finale. Un roman qu’on ne lâche pas !
Clotilde, Librairie Le Vrai Lieu, Gradignan.

Luca Brunoni s’empare, avec Les Silences, de la tradition du roman noir rural. Dans ce paysage âpre, l’auteur dévoile toutes les nuances du non-dit et de la violence sociale. Une fresque grandiose où les taiseux règnent en maître.
Léo et Stéphane, Librairie L’Atelier 9, Paris.

Dans un style clair et épuré, Luca Brunoni raconte Ida, Noah, la dureté et la pauvreté paysanne, la vie d’un village que la tentative de sauvetage des apparences tue à petit feu. C’est un roman sur les désastres que causent les silences, surtout chez des enfants…
Anouk et Maud, Librairie Les Parleuses, Nice.

Suisse, années 1960. Une commune rurale aux multiples secrets. Tout le monde sait. Personne ne sait. D’ailleurs parle-t-on de secrets ou de simples non-dits ? […] Une lecture mystérieuse portée par différents rythmes, une atmosphère propice à un bon moment.
Emilie, Librairie Mots et Images, Guingamp.

Un huis-clos bien mené où les pièces du puzzle finissent par s’imbriquer et dévoiler la vérité.
Marie, Librairie Anagramme, Sèvres.

Ne rien dire, ne pas se mêler des affaires des autres, dans ce silence, on observe, on épie mais on ne parle pas, on ne se confie pas; ainsi rancoeurs et préjugés vont bon train. […] Une jolie construction pour ce roman sur les silences, à la fois surprenante et classique pour nous raconter l’histoire de ces vies dans ces montagnes reculées. Un beau roman.
Nadine, Librairie L’Esprit large, Guérande.

Un très bon roman.
Brice, Librairie Agora, La Roche-sur-Yon.

Un roman rural noir au décor grandiose et à l’atmosphère pesante éclairé par un style d’une grande justesse qui vient sonder les tréfonds de l’âme humaine dans ce qu’elle a de plus bestiale.
Jérôme, Librairie Chroniques, Cachan.

Un roman puissant, un véritable uppercut !
Anne, Librairie Goulard, Aix-en-Provence.

Un roman riche de mystères, de non-dits, de jalousie.
Julie, Librairie Le Passeur, Bordeaux.

Luca Brunoni, dans un décor rural fruste et rustre, petit village reculé dans ces montagnes qui condensent et compactent les mots pour en faire des paquets de silences, trousse une histoire faite de non-dits, de secrets enfouis et de pureté minérale. […] Le village devient le théâtre d’une comédie humaine où surgissent les fantômes d’hier et les malheurs de demain, une comédie de sens qui laisse jouer les taiseux pour mieux extraire l’essence de l’âme humaine. Un très beau texte, surprenant parfois, classique également. Des personnages troublants et justes, un lieu et un temps habités, et du noir aussi. Du noir qui s’effleure, de la paume au psaume, de la terre à la bête, et de l’homme à la bête.
Fabien, Librairie Decitre, Grenoble.

Secrets, mensonges, suspense et non-dits se mêlent au récit.
Thaïs, Librairie Livres in Room, Saint-Pol-de-Léon.

Un roman sombre et rural. Une construction originale, une écriture qui dès les premières page nous happe et laisse deviner un drame.
Lydie, Librairie Le Coureau, Marennes.

La loi des non-dits, des rancoeurs, des jalousies, de ce silence qui règne en maître dans les montagnes dont l’échappée était impossible pour les gens de petit extraction. Très beau.
Librairie Nos années folles, Colombes.

Luca Brunoni manie l’intrigue avec grande finesse, égraine révélation après révélation. Il livre un roman insidieux, révèle la part terrible qui se terre dans chaque secret de famille; résolument sombre, c’est une lecture dont on ne sort pas indemne.
Charlotte, Librairie de Clermont, Clermont-Ferrand.

Il y a du Dickens dans ce roman. […] Dans un style concis, presque lapidaire, fait de phrases courtes et épurées, Luca Brunoni livre un roman noir rural où chacun des personnages a sa part d’ombre !
Fabienne, Librairie Le Bruit des Mots, La Flèche.

Luca Brunoni offre des portraits d’une grande justesse faits de multiples nuances.
Vincent, Librairie Dédicaces, Rueil-Malmaison.

Les Silences, c’est le récit d’un village où tout le monde se connaît. Pourtant vous constaterez rapidement que la loi du silence règne en maître. Un très beau roman rural.
Librairie Librophoros, Fribourg.

 

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Jusqu’au Prodige

Jusqu’au Prodige

À propos du livre

Thérèse est retenue prisonnière par le Chasseur. Elle est chargée de nourrir les animaux qu’il garde captifs avec un plaisir pervers. Un matin, la jeune fille trouve enfin le courage de s’enfuir, de quitter cette sinistre ferme où les hasards de l’Exode l’ont conduite. Elle court, court à perdre haleine à travers la forêt, et la nature se fait complice, apaise sa terreur et la protège de la noirceur des hommes. Sauvage et ardente, elle fuit à travers la montagne, portée pendant trois jours et trois nuits par le désir insensé de retrouver son frère, de tenir la promesse qu’elle lui a faite. Trois jours et trois nuits pour retrouver son passé et son avenir, dans un paysage où bêtes et hommes se cachent pour survivre ou pour tuer.

La poésie de l’écriture de Fanny Wallendorf, toute en émotion, illumine ce roman aux allures de conte.

Prix François Sommer
Sélection Prix Marie Claire

Sélection Prix Fiction L’Express – Écrire la Nature
Sélection Prix Anne Ténès
Sélection Prix Livres à vous

Presse

Une ode à la nature, à la liberté et à la vie qui résiste.
Virginie François, Le Monde des livres.

Un conte aussi exaltant qu’oppressant.
Marianne Payot, L’Express.

Un beau conte noir, une prose poétique de haute tenue.
Muriel Steinmetz, L’Humanité.

Un roman fulgurant.
Yannick Haenel, Charlie Hebdo.

Il y a un souffle, une puissance poétique dans ce beau roman de Fanny Wallendorf, qui laisse sur le flanc. Une lecture en apnée.
Isabelle Bourgeois, Avantages.

Jusqu’au Prodige a la splendeur d’une fable, où tout se tient aux limites du fantastique, mais sans y céder jamais, laissant ainsi le champ libre à nos imaginations.
Thomas Jean, Marie Claire.

Fanny Wallendorf affirme, dès l’ouverture, l’autorité du conte et sa valeur métaphorique, voire spirituelle.
Marie Etienne, En attendant Nadeau.

Un livre poétique et efficace.
Thierry Bellefroid, Sous couverture (RTBF).

Spirituel, onirique, envoûtant et sensuel, en osmose avec son environnement, le récit fait corps avec la forêt, coeur vivant et rédempteur du récit.
Isabelle Falconnier, Le Matin Dimanche

Une écriture ample et tenue, sensuelle, traversée de fulgurances.
Anne Pitteloud, Le Courrier.

Le roman raconte la fuite éperdue de Thérèse à travers une nature sauvage mais magnifiée par la langue sublime de Fanny Wallendorf. Il prend la forme d’un long monologue où se mêlent la confusion et l’espoir (du Chasseur, des Allemands) et l’affirmation de soi. Les amateurs de romans oniriques et de plume poétique auraient tort de ne pas lire ce livre.
Le Midi Libre.

Un conte initiatique original et troublant, […] sublimé par l’écriture lumineuse de Fanny Wallendorf.
Valérie Susset, L’Est républicain.

Mariage réussi de ce que les Américains appellent le « nature writing » et du roman à arrière-plan historique, le récit s’avale en quelques heures et laisse derrière lui un goût de baies sauvages.
Jean-Philippe Blondel, L’Est éclair.

Jusqu’au Prodige est une réussite tant par l’originalité du sujet, la construction de l’histoire et la qualité de l’écriture, belle et sensible, presque onirique.
Philippe Chauveau, Web TV Culture.

Jusqu’au Prodige est un conte partagé entre l’horreur, dont l’homme est responsable, et la beauté de la nature. Court et intense, ce roman ne vous laissera pas reprendre votre souffle. 
Blandine Garot, CNEWS.

Le roman de Fanny Wallendorf est semblable à un long poème, à un conte initiatique, à une profession de foi.
Christophe Henning, RCF.

Une échappée sylvestre, un roman haletant.
Céline Auclin, Qwertz (RTS).

L’écriture inspirée offre de belles descriptions de la nature et s’attache à suivre attentivement les émotions, pensées et états d’esprit bouleversés, ardents de Thérèse. […] L’atmosphère est prenante et le style d’un lyrisme sobre et convaincant.
Les Notes.

Les libraires

Oscillant entre nature writing et profonde introspection, […] Jusqu’au Prodige est un livre immersif et troublant. Sensoriel. Un monologue intérieur baignant dans une atmosphère onirique, irréelle. L’écriture de Fanny Wallendorf, puissante et hypnotique, dépeint de manière touchante la trajectoire de cette femme dont la vie a été bouleversée par la guerre.
Morgan, Librairie Coiffard, Nantes.

Jusqu’au Prodige éblouit de son écriture lumineuse et poétique. Une rencontre fulgurante et fatale entre « La nuit du chasseur » et le conte cruel. Éblouissant!
Librairie Compagnie, Paris.

Dans ce texte court, percutant mais d’une grande poésie, on suit la fuite de Thérèse à travers une nature à la fois menaçante et complice. Une très belle lecture, une évocation particulièrement sensible d’un épisode terrible de l’histoire du massif du Vercors.
Librairie Ouvrir l’oeil, Lyon.

Sous des allures de récit initiatique (et presque de conte fantastique), Fanny Wallendorf dépeint le monde sombre de la guerre des hommes et livre un portrait de femme lumineux.
Mathilde et Julie, Librairie Candide, Ixelles.

Que c’est beau ! Juste ! Fort ! Sensible ! Sans un mot de trop ni de moins, Fanny Wallendorf nous ensorcelle, nous tient en haleine et nous offre un magnifique portrait de femme un peu sauvage.
Coline, Librairie Le Bateau livre, Pénestin.

Un roman de toute beauté. Une écriture poignante et une forêt animale présente tel un personnage accompagnant Thérèse. Découvrez ce fabuleux roman.
Isabelle, Librairie Autres rivages, Buchy.

Un texte court qui m’a fait penser à Un balcon en forêt de Gracq pour la personnification des bois, le lyrisme, cette fuite pendant trois jours d’Ida, pourchassée par un chasseur, pendant la guerre, qui tient en haleine.
David, Cultura, Chambray.

Une course haletante pour la survie, portée par une plume originale et belle.
Romane, Librairie Longtemps, Paris.

Une pépite.
Librairie L’Oiseau Tempête, Saint-Nazaire.

L’écriture de Fanny Wallendorf restitue la course dans la forêt de Thérèse et les pensées qu’elle adresse à son frère qui a rejoint le Maquis. On y lit l’espoir, la tension, la crainte, le désir mais aussi les sons et les odeurs de la forêt, l’apaisement que celle-ci procure et la peur sombre qui englobe parfois les êtes qui la traversent. Jusqu’au Prodige se lit comme un conte hors du temps, récit traversé par une quête de liberté dans cette nature salvatrice, refuge des êtres et des pensées.
Gwendoline, Librairie Le silence de la mer, Vannes.

La fuite de Thérèse c’est la réppropriation du territoire qui l’entoure, la découverte de ce que la guerre fait et laisse derrière elle, la désillusion et l’espoir retrouvé face au Prodige. Fanny Wallendorf nous offre ici un texte court mais intense dans une langue vive et poétique. Un bel hommage à la nature, à l’épreuve de l’humanité.
Laurène, librairie L’Usage du Monde, Paris.

Un conte noir captivant, à l’écriture ciselée, qui offre de très belles pages sur la forêt. Par l’auteure de l’Appel, qu’on avait beaucoup aimé !
Aline, Librairie L’Escampette, Pau.

Fanny Wallendorf excelle dans cette narration faite de temps suspendu, d’images naturalistes, de cruauté et de douceur.
Hélène, La Chouette librairie, Lille.

En quelques mots, Fanny Wallendorf nous ensorcelle et nous offre un roman unique. Un véritable ovni littéraire. Magnifique !
Sophie, Nouvelle librairie Sétoise, Sète.

Une fuite en pleine forêt dans la tête d’une jeune femme pourchassée d’un côté et attendue de l’autre. Une course poursuite haletante avec le style sensitif de l’auteure qui restitue brillamment l’urgence et le suspense… Une roman aux allures de conte.
Librairie Massena, Nice.

Jusqu’au Prodige, c’est l’histoire d’une fuite dans les bois du Vercors à la fin de la deuxième guerre mondiale; une fille devient femme et cherche à échapper au Chasseur, devenant chimère au fil de la lecture pour trouver un frère fantasmé. Une histoire s’approchant du conte dont l’écriture vous ravira. Je suis totalement fan ! »
Richard, Librairie La Chouette qui lit, Marciac.

Une écriture tendue, en alerte permanente, sur un fil, un regard acéré sur la nature. Un roman qui emporte.
Librairie Le Vrai Lieu, Gradignan.

Magnifique hommage à la nature, un conte, une ode… L’écriture se déploie et devient haletante en suivant les pas de Thérèse. C’est beau, c’est simple, c’est magnifique. À lire d’une traite. 
Librairie L’Esprit large, Guérande.

La langue y est forte, par son rythme, par sa sensualité mais aussi par sa brutalité. Dans les moments de grande tension, Fanny Wallendorf emprunte la voix de la poésie. […] Une autrice à découvrir et à suivre. 
Librairie La Loupiote, Gap.

Ce conte teinté de poésie enchante par son écriture ciselée, et par la fureur de vivre qui s’en dégage !
Cécile, Librairie Le Passeur, Bordeaux.

Un roman éminemment troublant […], un monologue haletant qui vous fera vivre 72 heures dans une forêt à la fois hostile et consolatrice… Génial !
Aurore, Librairie La Fabrique, Bar-le-Duc.

Un bel hommage au pouvoir des mots, à la quête de liberté. Ce court roman donne des frissons, c’est de l’émotion pure et la puissance évocatrice de la langue de l’autrice emporte littéralement. Magnétique !
Annette, La Petite Librairie, Sommières.

Avec Thérèse on a peur, on veut se faire tout petit, se terrer et échapper à la violence des Hommes. Avec elle, on s’émerveille de cette forêt dans laquelle la vie continue quoiqu’il arrive. C’est court, certes, mais éprouvant, vif et l’on referme le livre le souffle court.
Blandine, Le Marque Page, Saint-Marcellin.

Nous faisons corps avec la nature et avec le personnage de Thérèse dans ce court texte qui nous laisse exsangues et essoufflés. Bref, puissant et intense.
Librairie Delamain, Paris.

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Les dimanches de Jean Dézert

Les dimanches de Jean Dézert

À propos du livre

L’unique roman d’un écrivain mort à vingt-sept ans. Un chef-d’œuvre intemporel.

L’appartement de Jean Dézert est bas de plafond, son existence aussi. La routine est son mode de vie naturel. Il dîne chaque soir au même endroit, avec son unique ami.
Mais heureusement, il y a les dimanches. Toute la semaine, il attend ce jour merveilleux pour déambuler dans Paris au gré des hasards. Un jour, ou plus exactement un dimanche, le hasard s’appelle Elvire, jeune fille fantasque qui frôle Jean Dézert devant le bassin des otaries du Jardin des Plantes. Ses habitudes s’en trouvent bousculées. Pas trop longtemps, toutefois, parce que l’amour, c’est tout de même beaucoup de chambardements…

 

Illustrations de Christian CAILLEAUX.

 

              

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Presse

C’est le plus moderne des livres d’autrefois. Du Houellebecq, avec un siècle d’avance. […] Un roman désolant et désopilant. […] Lisez « les Dimanches », et faites passer. Merci.
Jérôme Garcin, L’Obs.

Un livre d’une étrange et stupéfiante beauté.
Astrid de Larminat, Le Figaro.

Si l’expression roman culte a un sens, c’est pour des livres tels que celui-là.
Olivier Mony, Livres Hebdo.

Un immense petit bijou. 
Séverine Guillemet, Sud Ouest.

Une oeuvre qui traverse le temps, subtilement illustrée par Christian Cailleaux.
Christine Ferniot, Télérama.

Admirablement illustré par Christian Cailleaux, ce chef-d’oeuvre respire avec élégance un détachement qui ne se prend pas au sérieux. C’est brillant.
Sandrine Mariette, ELLE.

Ce texte singulier reste d’une troublante modernité. 
Philippe Blanchet, Rolling Stone.

On tombe sous le charme de ce texte juvénile, un texte plein d’humour, au charme un peu décalé. […] Christian Cailleaux vient orner ce petit bijou d’illustrations sans ostentation, au plus près de l’esprit de ce très beau livre. 
Thierry Bellefroid, RTBF.

Voici un court roman à glisser sous le sapin. Tout y est charmant, simple, joli. […] Un petit bijou de finesse.
Clete, Nyctalopes.

Après l’avoir croisé, on n’oublie pas ce familier quidam, simple et attachant. […] Un court roman de la solitude, du désenchantement et de la lucidité dans une version finement illustrée par Christian Cailleaux.
Le Télégramme.

Les dimanches de Jean Dézert est un de ces rares livres qui, sans faire de bruit, tisse une communauté de lecteurs à travers les années. […] Les illustrations de Christian Cailleaux se marient parfaitement avec le texte, et sont un écho à l’incroyable modernité de ce roman. […] Un texte qui, l’air de rien, va vous hanter pendant longtemps.
Jean-Philippe Blondel, Est Eclair.

Les libraires

Conte, farce philosophique, ce texte, existentialiste avant la lettre, raconte la vie d’un homme extraordinairement banal. Sans lyrisme, féroce et ironique, ce portrait d’un petit fonctionnaire touché par le néant est aussi un roman de la tragédie humaine.
La Griffe noire, Saint-Maur-des-Fossés.

Jean Dézert porte bien son nom… Rien d’extravagant en lui, rien d’extraordinaire, bref, rien d’extra. On sourit, on soupire et on pleure avec cet humain « raté », digne des plus beaux anti-héros d’Emmanuel Bove. Sublime.
Librairie Delamain, Paris.

Véritable chef-d’oeuvre avant-gardiste, injustement oublié aujourd’hui, ce court roman décrit avec une cruelle acuité, dans un style ironique et grinçant, à la fois navré et amusé, la commune et désolante banalité du quotidien, l’absurdité irrémédiable de l’existence. Un bijou !
Librairie Compagnie, Paris.

Conte, farce philosophique, ce texte, existentialiste avant la lettre, raconte la vie d’un homme extraordinairement banal. Sans lyrisme, féroce et ironique, ce portrait d’un petit fonctionnaire touché par le néant est aussi un roman de la tragédie humaine.
Librairie La Machine à lire, Bordeaux.

Ce bref roman qui tourne en dérision le tragique de l’existence mérite d’être redécouvert. Les belles illustrations de Christian Caillaux rappellent le trait des meilleurs artistes de l’époque.
Sébastien, Librairie des Halles, Niort.

Un nom inoubliable mais injustement oublié, perdu avec les morts de la Grande Guerre. Mauriac savait la saveur de cette dérive d’un rond de cuir dans Paris. Une douce ironie que les dessins de Christian Cailleaux révèlent aujourd’hui.
Librairie Le Square, Grenoble.

 

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La volonté des femmes

La volonté des femmes

À propos du livre

Les héroïnes de Mary Eleanor Wilkins Freeman ont fait courir un souffle de liberté sur les paisibles campagnes américaines de la fin du XIXe siècle. Ces femmes au caractère bien trempé osent prendre leur destin en main et affirmer leur indépendance. Avec pour seules armes leur volonté, leur dignité et pas mal de malice, ces épouses, filles ou mères, refusent toutes de se limiter aux rôles qui leur sont dévolus.

Par leur réunion, ces huit révoltes intimes et discrètes déploient toute leur puissance, annonçant un vent qui, aujourd’hui encore, ne cesse de souffler.

Presse

Écrit à la fin du XIXème siècle par une Américaine féministe avant l’heure, ce réjouissant recueil fait entendre la voix des rebelles de l’époque. C’est décapant, enlevé et (presque) toujours positif.
Isabelle Bourgeois, Avantages.

Une voix oubliée à découvrir.
Clémentine Goldszal, ELLE.

Dans ces huit nouvelles, Mary Eleanor Wilkins Freeman met en scène des femmes dont ni l’éducation ni le statut social ne laissait présager une aptitude à la révolte. […]Des héroïnes du quotidien.
Nathalie Agogue, Libération.

Des textes d’une surprenante modernité.
Gaëlle Valery, Corse Matin.

L’émancipation des femmes aux Etats-Unis a bénéficié d’une littérature spécifique au 19ème siècle et Mary E. Wilkins Freeman en est un des plus remarquables symboles. Privilégiant la lutte au quotidien, dans l’intimité de la famille, elle met en scène de courageuses femmes qui osent s’opposer à l’ordre établi par les hommes depuis des générations.
Jean-Paul Guéry, Le Courrier de l’Ouest.

Les libraires

Huit textes réjouissants, peuplés de femmes en jupons et bonnets, mais aux caractères bien trempés. C’est enjoué et irrévérencieux à souhait ! Une « Petite maison dans la prairie » espiègle et féministe.
Marianne, Librairie L’Astragale, Lyon.

Malicieuses, fortes, déterminées à affirmer leur indépendance et leurs désirs, les héroïnes de Mary Eleanor Wilkins Freeman prouvent qu’en Nouvelle-Angleterre, au 19ème siècle, la voix des femmes sait se faire entendre. Une autrice à découvrir; une plume toute en finesse et légèreté, d’une grande oralité.
Julianne, Librairie La Flibuste, Fontenay-sous-Bois.

Inconnus en France, ses livres ont largement contribué à alimenter le débat sur les droits des femmes, le manque de reconnaissance de leur travail et leur dépendance financière. Un recueil qui dresse de beaux portraits de femmes ingénieuses et combattives.
Hélène, Librairie Gibier, Pithiviers.

Huit nouvelles dont la modernité nous étonne tant elle résonne avec nos questionnements intimes et contemporains. Nul besoin d’actes grandiloquents, ces différentes héroïnes ont en commun une ténacité à toute épreuve. D’une grande finesse, c’est aussi merveilleusement écrit et traduit. On vous le recommande grandement.
Nolwenn, Librairie Hangar à Bananes, Nantes.

J’ai aimé chacune des nouvelles de ce recueil. Elles m’ont surprise de bout en bout (par leur thème et leur traitement) et décrivent, chacune à leur façon, la volonté de ces femmes à vivre comme elles l’entendent, même si cela est contraire aux moeurs de la « bonne société ». Des nouvelles teintées de féminisme portées par une plume accessible et addictive.
Lou, Librairie Folies d’Encre, Noisy-le-Grand.

Belle découverte et grand coup de coeur pour ces nouvelles pleines de force. […] Les femmes de Wilkins Freeman sont vivantes, en chair et en os, en sang, surprenantes, éveillant notre passion, notre compassion, aussi. Mais surtout, notre admiration pour leur trempe, leur révolte, leur capacité de s’affranchir des bornes que l’on essaie de leur imposer. L’écriture de Wilkins Freeman, […] au plus près de ses personnages, dans le réalisme de la description, dans l’expression subtile des émotions, nous tient en haleine, nous amuse, nous émeut. 
Dilamar, Librairie Decitre Bellecour, Lyon.

C’est un vrai plaisir de suivre ces femmes à la vie ordinaire qui nous surprennent par leur détermination et leur capacité à s’affirmer dans une société corsetée, à aller au bout de leurs propres choix. Quel régal de les voir réussir à imposer leur décision avec une tranquille résistance !
Béatrice, Librairie La Cédille, Lamballe.

Chaque nouvelle de Mary Eleanor Wilkins Freeman est l’occasion de rencontrer une héroïne à contre-courant, qui renverse l’ordre établi avec malice et obstination. Bien que classique, sa langue nous entraîne dans un univers singulier, qui ne manque pas d’une petite musique de fantaisie.
Julia, Librairie L’Atelier, Paris.

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D’étranges hauteurs

D’étranges hauteurs

À propos du livre

Jean est seul, caché par quelques pierres sur le flanc de la montagne. La colonne de blessés et les derniers maquisards rescapés ont dû le laisser là. Amputé de la jambe gauche quelques jours plus tôt, il les retardait trop. Il a mal, peur et soif. Alors il se raccroche au souvenir de sa jeune femme, à sa fille qui vient de naître et qu’il ne connaît pas encore. Il ne regrette pas vraiment de s’être engagé, mais quand même, il n’avait pas imaginé ça. La mort, il y a pensé, bien sûr. Mais on fait quoi, estropié, unijambiste à vingt-trois ans ? Jean regarde le soleil se lever, il est si beau sur la montagne ce matin encore.

Cinquante ans après la mort d’un père qu’il a à peine connu, Laurent Seyer lui offre une nouvelle vie et, par le prodige du roman, comble les blancs laissés par la mémoire.

 

Finaliste Prix du livre La Tribune
Sélection Prix Paysages Ecrits

 

 

Presse

Un récit prenant et poignant.
Guillaume Goubert, La Croix.

Un roman parfaitement abouti qui nous incite à croire plus que jamais à la littérature.
François Huguenin, Le Figaro Magazine.

C’est une histoire à la fois forte et simple sur l’engagement dans l’amour, la religion, la guerre. D’étranges hauteurs, une autre façon de dire les hauteurs intérieures. 
Nathalie Agogue, Libération.

Laurent Seyer raconte une famille française, des héros modestes qui ont lutté pour rester à la hauteur de leurs engagements, des gens de bien qu’il aime et s’attache à nous faire aimer. 
Yves Viollier, La Vie.

Un beau texte, très tenu, à la langue altière.
Effervescence, RCF.

Un puissant témoignage d’un épisode réel de la Résistance. 
Jean-Paul Guéry, Le Courrier de l’Ouest.

De nobles sentiments et des actes courageux servis par une écriture simplement belle.
La Voix du Nord.

L’auteur nous embarque grâce à son écriture précise, ciselée, détaillée, sans effet de manches.
Charles-Henri d’Andigné, Famille chrétienne.

Résistance, fraternité, courage et amour sont au coeur de ce livre marquant. 
Michèle Caron, France Bleu Isère.

Un récit poignant autour d’une histoire d’amour et d’une plongée dans l’histoire de la Résistance.
Télé Grenoble.

À travers ce roman prenant où l’auteur flirte avec les codes de l’autofiction et réinvente la figure d’un père, se nouent les destins d’un homme et d’une femme marqués du sceau de la guerre.
Caroline Audibert, L’Alpe.

Une chronique familiale s’étendant sur près d’un demi-siècle, avec ses secrets et ses retournements.
Damien Lamoril, Réforme.

Des héros modestes qui ont lutté pour rester à la hauteur de leurs engagements, des gens de bien.
Yves Viallier, RCF Vendée.

Quelle plus belle fonction pour la littérature que celle d’offrir une nouvelle vie à qui l’a perdue ?
Émile Magazine.

Laurent Seyer nous offre un très beau roman où il redonne vie avec beaucoup de pudeur et de respect à ses deux parents. Un très gros coup de coeur.
Bernard Gravelat, RCF Limousin.

Les libraires

Voilà un roman construit comme l’escalier de Chambord. Voilà Jean, jeune résistant du maquis de l’Oisans qui nous entraîne au plus près de l’engagement nécessaire et d’un héroïsme discret. Nous sommes en juillet et août 1944. Et voilà Odette, dans une chronologie à rebours, de 2016 à 1949. Sa très grande rigueur morale et sa foi inébranlable lui auront fait tenir le cap, extraordinaire catholique priant pour que son fils gagne moins d’argent. « Les braves gens ne courent pas les rues », nous dit Flannery O’Connor. Ils sont au centre de ce nouveau roman de Laurent Seyer.
Nathalie, Librairie Détours, Nailloux.

Une très belle écriture.
Librairie Grain de Lire, Lalinde.

Un récit qui relate l’engagement de ces hommes, leur quotidien, la beauté de la montagne, leur solidarité et amitié, […] et qui entremêle les vies d’Odette et Jean en chronologie inversée pour mieux souligner le croisement de ces deux destins marqués par l’histoire. 
Librairie Vaux Livres, Vaux-le-Pénil.

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Les corps solides

Les corps solides

À propos du livre

« Mettez l’humanité dans un alambic, il en sortira l’essence de ce que nous sommes devenus : le jus incolore d’un grand jeu télévisé. »

Anna vend des poulets rôtis sur les marchés pour assurer ­l’essentiel, pour que son fils Léo ne manque de rien. Ou de pas grand-chose. Anna aspire seulement à un peu de tranquillité dans leur mobile-home au bord de l’Atlantique, et Léo à surfer de belles vagues. À vivre libre, tout simplement.
Mais quand elle perd son camion-rôtissoire dans un accident, le fragile équilibre est menacé, les dettes et les ennuis s’accumulent.
Il faut trouver de l’argent.
Il y aurait bien ce « Jeu » dont on parle partout, à la télé, à la radio, auquel Léo incite sa mère à s’inscrire. Gagner les 50.000 euros signifierait la fin de leurs soucis. Pourtant Anna refuse, elle n’est pas prête à vendre son âme dans ce jeu absurde dont la seule règle consiste à toucher une voiture et à ne plus la lâcher.
Mais rattrapée par un monde régi par la cupidité et le voyeurisme médiatique, a-t-elle vraiment le choix ?

Épopée moderne, histoire d’amour filial et maternel, Les corps solides est surtout un roman sur la dignité d’une femme face au cynisme d’une époque où tout s’achète, même les consciences

 

Prix Adam de l’Académie romande
Prix littéraire Gonet
Finaliste prix Libraires en Seine
Sélection prix littéraire Les Inrockuptibles
Sélection prix Le Livre à Metz – Marguerite Puhl-Demange
Sélection Grand prix de la fiction (SGDL)
Sélection Prix Eugène Dabit
Sélection Prix des libraires Payot
Sélection Prix Bibliomedia
Sélection Prix Jean Monnet des Jeunes Européens
Sélection Prix Ancres noires

Presse

Joseph Incardona convoque le rire comme remède au tragique de l’existence, dans une fiction mêlant critique sociale et fable allégorique.
Stéphanie Dupays, Le Monde.

Une écriture sèche et douce à la fois, […] un superbe portrait de femme des temps modernes.
Alexandra Schwarzbrod, Libération.

Terrible, tendre et réussi.
Christine Ferniot, Télérama.

Joseph Incardona écrit avec ses tripes, mais là en plus il y a mis son coeur. Un livre à dévorer.
La Librairie francophone, France Inter.

Romanesque en diable, très émouvant, Les corps solides met en miroir avec éloquence le cynisme du monde et l’authenticité d’une femme qui se bat pour marcher droit.
Delphine Peras, L’Express.

Un suspense véritablement étonnant, un roman très puissant.
Bernard Lehut, RTL.

Un roman mâtiné de fresque sociale et de radicalité politique qui incendie tout ce qui tente de nous carboniser.
Léonard Billot, Les Inrocks.

Joseph Incardona, dans un roman d’un objectivité criante, décrit une société où règne sans vergogne le voyeurisme collectif.
Muriel Steinmetz, L’Humanité.

La méthodique mécanique Incardona – comprendre : le suspense – tourne parfaitement. […] C’est poétique et viscéral comme un surfeur à bout de souffle sortant la tête de l’eau.
Anthony Dufraisse, Le Matricule des Anges.

C’est prenant comme une série américaine, malin comme un thriller, profond comme une analyse sociale.
La Dépêche.

Joseph Incardona revient très en forme avec une fable sociale cruelle et tendre à la fois.
Jessica Louise Nelson, Point de Vue.

Entre empathie pour ses personnages et critique acide de la société du spectacle, Joseph Incardona sait comment tenir son lecteur.
Véronique Cassarin-Grand, L’Obs.

Joseph Incardona parvient à montrer toutes les facettes de cette société de consommation et de médiatisation sans limites. Tout simplement saisissant.
Stéphanie Janicot, La Croix.

Trois raisons de lire ce livre : c’est magnifiquement écrit, c’est vu à travers le prisme d’une relation mère-fils qui vous prend aux tripes et enfin c’est un roman avec un suspense complètement dingue qui vous tient en haleine.
Elise Lépine, France Culture.

On retrouve dans Les corps solides le désespoir des marathoniens de la danse de On achève bien les chevaux décrits par Horace McCoy.
Lionel Germain, Sud-Ouest.

Un récit qui prend la forme d’une comédie noire anticapitaliste. 
Lauren Malka, Causette.

Un formidable portrait de femme indépendante et digne. […] Le final est époustouflant. Comme le reste du récit.
Jean-Noël Levavasseur, Ouest France.

Avec Les corps solides, Joseph Incardona questionne la dignité humaine, signe une fresque sociale où l’anecdotique côtoie l’essentiel et dont le personnage d’Anna, magnifique portrait d’une femme fière et indépendante, sort gagnante.
Laurence Bertels, La Libre Belgique.

Ce roman, écrit au scalpel, impossible à lâcher, presque hypnotique, questionne notre époque dans ce qu’elle a de grand et de sordide, de diabolique et de rédempteur. Un livre qui pourrait marquer cette rentrée.
Stéphanie Janicot, Notre Temps.

C’est prenant comme une série télévisée américaine, malin comme un thriller, profond comme une analyse sociale et formidablement jouissif. Coup de coeur absolu. 
Jean-Philippe Blondel, L’Est éclair.

Il y a là-dedans tout ce dont vous pouvez rêver pour un roman : des personnages hyper-attachants, de vraies questions sur les classes sociales, une intrigue super bien ficelée, des rebondissements, de trahisons, des alliances… Ça s’avale vraiment en quelques heures et on en sort ragaillardi. En plus, vous verrez, ça parle de surf, du coup on reste un peu en vacances.
Les coups de coeur des libraires, Sud Radio.

Joseph Incardona signe un roman à la fois caustique et tendre. Une réussite !
Julie Vasa, ELLE Suisse.

Le roman le plus sentimental de Joseph Incardona.
Francesco Biamonte, Qwertz (RTS).

Joseph Incardona se fait percutant, noir et tendre, comme à son habitude. […] Une fois encore, il réussit à nouer avec élégance les fils de son épopée et à nous communiquer sans partage sa passion pour les histoires, les mots et les gens.
Mireille Descombes, Le Temps.

Roman social et beau portrait de femme, Les corps solides suit le combat d’une mère célibataire pour se sortir de la précarité. […] Écriture claire et rapide, phrases percutantes, clins d’oeil au lecteur, goût pour les listes, l’efficacité narrative se met ainsi au service d’une histoire aussi noire que tendre où l’amour maternel et filial finira par triompher.
Anne Pitteloud, Le Courrier.

Une fable brillante d’humanité.
Thierry Raboud, La Liberté.

Des personnages lancés dans le grand bain de la vie, avec mordant et tendresse.
Caroline Rieder, 24 heures.

Une puissance, une intensité, une sobriété, une originalité et une sensualité magnifiques.
Isabelle Falconnier, Le Matin dimanche.

Incardona nous donne à rire de nos petites lâchetés et grandes misères. À la fois lucide et désopilant.
Alain Lallemand, Le Soir.

Un grand roman sur la société contemporaine et son cynisme.
Serge Bressan, Le Quotidien.

Il est de coutume de prétendre que l’on ne fait pas de bonne littérature avec des bons sentiments. Est-ce si sûr ? Avec Les corps solides, Joseph Incardona offre un puissant plaidoyer, à la fois féministe et enténébré de colère, pour les exilés du bonheur.
Olivier Mony, Livres Hebdo.

L’auteur tient en haleine avec la description des petits riens, de la vie qui s’écoule lentement, de la difficulté des gens simples. […] Une écriture manchettienne.
Laurent Greusard, K-Libre.

Les libraires

Après les aspirants aux portes du pouvoir dans La soustraction des possibles, son attachement aux classes populaires et aux mécanismes de domination qu’elles subissent nous touche beaucoup, une fois de plus. Hyper tendu, implacable et avec toujours cette tendresse bourrue qui affleure. […] On est fan !
Ivan et Julien, Librairie L’Esprit livre, Lyon.

Joseph Incardona voit loin, grand angle et son regard aigu balaie d’un revers tranchant l’absurdité, le cynisme et la brutalité de la société du vice et de la consommation. Mais c’est surtout cet oeil tendre qui embrasse l’amour d’une mère pour son fils et d’un fils pour sa mère, que l’ami Jo sublime. On ne lâche jamais un roman de cet auteur sans le sentiment de se redresser et d’entrevoir tout le chemin qu’il reste à parcourir avec pour horizon, un avenir radieux.
Didier, Nouvelle Librairie Baume, Montélimar.

L’auteur dresse le tableau d’une société cruelle, ultra mercantile, où tout s’achète, y compris la dignité humaine. Il dénonce le cynisme des médias, des puissants et des pouvoirs publics alliés dans une collusion coupable. Un roman tendu et oppressant, porté par une colère froide et une écriture habitée. Sidérant et brillant !
Librairie La montée du soir, Paris.

Plus qu’une exploration d’une relation mère-fils, soit dit en passant sublime, Les corps solides ausculte à la loupe les mécanismes de l’obéissance et la fabrique du consentement. Divertir pour dominer, telle est la devise des puissants qui nous gouvernent. Au sommet de son art dans ce roman époustouflant, Joseph Incardona nous enjoint à prendre la déferlante de biais. 
Brindha, Librairie Millepages, Vincennes.

Absolument brillant !
Librairie Goulard, Aix-en-Provence.

À travers un jeu télévisé, ce roman décortique la société actuelle, voyeuriste et consumériste, mais surtout il brosse le portrait touchant d’une mère qui cherche à préserver ses valeurs : une vie simple, autonome et proche de l’océan, avec l’amour du surf comme école de la vie pour son fils. Même si l’écriture de Joseph Incardona est toujours aussi forte, c’est bien le personnage de Anna et de son fils qui nous transporte et nous bouleverse.
Vincent, Librairie Dédicaces, Rueil Malmaison.

Joseph Incardona est un redoutable observateur de la nature humaine, qu’il pousse dans ses retranchements pour mieux en sonder les limites. […] Et sous la satire de la société du spectacle et d’un monde fait par et pour les puissants, un superbe personnage de femme, altier, brille d’un ardent éclat, tandis que nous bouleverse la tendre relation à son fils […]. Avec un sens prodigieux de la dramaturgie, du climax et un final en apothéose, l’auteur nous cueille par la force vive des émotions qu’il suscite. […] Un roman vibrant de révolte et d’intensité, aussi profondément attachant qu’il donne à réfléchir, qui vous habitera longtemps.
Librairie Delamain, Paris.

Un grand roman dans lequel Joseph Incardona manie la narration et le rythme avec brio, construit des personnages authentiques et profondément humains, et pointe une nouvelle fois du doigt les absurdités de notre société gouvernée par des dominants sous couvert d’un jeu stupide auquel le lecteur devient addict.
Cécile, Librairie Le Passeur, Bordeaux.

Enfin un roman social écrit par un auteur qui a éprouvé la précarité, la peur que tout s’effondre, la perte de la dignité, la solidarité entre pauvres, l’enfance inquiète et la perte de l’innocence. Joseph Incarona nous tient fermement par les sentiments dans ce beau roman d’amour filial, anticapitaliste et libertaire.
Librairie L’oiseau tempête, Saint-Nazaire. 

Depuis la Rome antique, le pouvoir a toujours su contrôler la population avec du pain et des jeux. Joseph Incardona reprend ce thème en le modernisant. […] C’est brillant, acide, touchant, cynique et tellement juste. 
Jérôme, Librairie Entrée Livres, Verdun.

Un roman bourré de tendresse et d’humanités qui se débattent sous les néons cupides de la société, sous le vernis du pouvoir et ses fils tissés d’écrans de cynisme. Un art maîtrisé du détail et des gestes d’entre les lignes, une tension qui chemine comme les va-et-vient d’une vague sur l’océan, Les corps solides a les traits secs et envoûtants d’un roman noir, les esquisses subtiles d’un roman social suinté d’amours. Incisif.
Mathieu, Librairie Decitre, Grenoble.

Anna élève seule son fils Léo dans leur mobile-home. L’argent semble bien loin de leurs rivages… Un concours télé et son lot de cynisme sauront-ils leur faire remonter la vague ? Avec sa bienveillance aiguisée, Joseph Incardona ne surfe sur aucune mode, il écrit avec justesse des histoires où derrière des personnages, il y a des Hommes. 
Romain, Librairie Dialogues, Brest.

Merci pour ce roman qui est une claque. Je l’ai dévoré en deux jours, totalement accro ! C’est bien pensé, radical et précis. On ne tourne pas autour du pot, c’est tout à la fois cynique, généreux, humain. J’ai eu les larmes aux yeux en le terminant. […] Un grand livre sur notre société et sur ce que nous devons sauver. Notre humanité.
Christine, Librairie Payot Cornavin, Genève.

Avec sa bienveillance aiguisée, Joseph Incardona ne surfe sur aucune mode, il écrit avec justesse des histoires où derrière des personnages, il y a des Hommes.
Romain, Librairie La Fabrique, Bar-le-Duc.

À travers le récit d’une relation mère-fils intense et belle, l’auteur dresse le portrait d’une femme face à l’absurdité du monde. Un roman porté par ses deux personnages centraux qui, avec leurs failles, sont pleins d’humanité.
Librairie Garin, Chambéry.

J’ai pris un immense plaisir à retrouver la plume de Joseph Incardona qui porte une nouvelle fois son regard acéré sur notre société. Mais le petit truc en plus cette fois-ci, c’est la force de ce duo mère-fils, touche de douceur presque insolite au milieu du malheur et du cynisme ambiants.
Aurélie, Librairie La Pléiade, Nice.

L’adolescence pesante, la vie monoparentale, les grandes plages de l’Atlantique, le surf, les petits boulots et la téléréalité. C’est un récit clair/obscur brillant, entre sujets sociaux et aspirations que nous offre le grand Joseph Incardona. Une lecture forte et juste !
Benjamin, Librairie Les mots et les choses, Boulogne-Billancourt.

Bouleversant !
Librairie Bookstore, Biarritz.

Des personnages denses, attachants, émouvants, réalistes pour une plongée tendue dans la téléréalité, la misère sociale, le mélange toujours détonnant et malsain entre politique, économie et médias, la difficulté de vivre, l’amour filial, l’entraide et la mer et le surf. On le lit d’une traite et on abandonne Anne et Léo à regrets !
Librairie Vaux-Livres, Vaux-le-Pénil.

Joseph Incardona est parfait dans ses incisions de narrateur, super aimant avec ses personnages toujours positifs, parfait dans le rythme donné au roman aussi, avec ce foutu jeu certes, mais aussi dans l’utilisation du surf et des vagues à l’image de l’intensité de l’intrigue. 
Librairie Atout Livre, Paris.

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Je ne déserterai pas ma vie

Je ne déserterai pas ma vie

À propos du livre

Peu après la Première Guerre mondiale, dans les cafés de Montparnasse, une belle Américaine et un jeune artiste français forment un couple libre, moderne. Ils s’appellent Mary Reynolds et Marcel Duchamp. Leur petite maison du 14e arrondissement devient vite le point de ralliement de tout ce que Paris compte de talents : Cocteau, Beckett, Dalí, Brancusi…
Mais quand revient la guerre, Marcel se réfugie aux États-Unis. Mary, elle, « ne déserte pas ». Elle est devenue parisienne et le restera. À tout prix. Elle est prête, pour cela, à tout risquer, même sa vie. Commence alors le temps de la Résistance.

 

Sélection Prix Chadourne

Presse

Son existence parle pour elle : Mary Reynolds est une véritable héroïne de roman. 
Adriano Tiniscopa, Livres Hebdo.

Sébastien Rongier aime chercher ce qui se cache derrière les apparences. Un magnifique roman.
Thierry Bellefroid, Sous couverture (RTBF).

Un court récit sobre, documenté, romancé et très bien rythmé. L’histoire peu connue d’une femme qui n’hésite à aucun moment face à l’Histoire.  
Matthieu Marin, Ouest France.

L’incroyable saga d’une Américaine plus française que les autres. Une petite perle.
Eddy Caekelberghs, Majuscules (RTBF).

Sous la plume de Sébastien Rongier, Mary Reynolds redevient un être de chair et de sang, bouillonnante de passion et de détermination. […] En faisant revivre ces années vingt et trente, l’auteur parvient à nous ramener à nos questionnements présents. Remarquable. 
Jean-Philippe Blondel, L’Est Éclair.

Une formidable plongée dans l’époque surréaliste.
Isabelle Bourgeois, Avantages.

Un très beau portrait et un immense hommage au courage de Mary Reynolds.
RCF.

Un récit dense et intense.
Francis Matthys, La Libre Belgique.

Le portrait éloquent, singulièrement vivant, d’une femme remarquable. 
Apolline Elter, L’Eventail.

En une écriture alerte, souple et visuelle, en suivant un fil narratif chronologique très efficace, la vie intense mais trop peu connue de Mary Reynolds pendant les années d’occupation, Sébastien Rongier donne à cette femme de l’ombre la lumière qu’elle mérite.
Jacques Josse, Remue.net.

Les libraires

Un portrait vivant et intense pour une femme qui l’est tout autant. C’est tout une époque que l’on redécouvre avec émerveillement. Formidable !
Librairie de Paris, Paris.

Si Samuel Beckett est très connu pour avoir attendu Godot, il l’est moins pour ses actes de résistance. Et pourtant, dans les années 40, le milieu artistique parisien prit d’énormes risques afin d’informer les services secrets britanniques. La maison de Mary Reynolds, Américaine installée dans la capitale devint une véritable plaque tournante de mystérieuses boîtes d’allumettes. Sébastien Rongier met en lumière la vie de cette femme fascinante et déterminée, férue d’art et de reliure. Un très joli roman qui rend hommage au courage des résistantes et résistants du réseau Gloria.
Librairie Cheminant, Vannes.

La vie follement romanesque de Mary Reynolds, compagne de Duchamp, figure de la Résistance et bien plus !
Librairie La Manoeuvre, Paris.

Un joli roman qui nous emporte au coeur des années folles, puis de la Résistance. 
Librairie Le Vrai Lieu, Gradignan.

Le portrait d’une époque… Ce roman nous emmène dans les milieux intellectuels des années 1915 jusqu’en 1989. On y côtoie de grands artistes et des écrivains de légende.
Librairie Payot, Morges.

Compagne de Duchamp, Mary Reynolds côtoya l’élite culturelle de l’entre-deux guerre et eut un rôle très actif pendant la Résistance. Un portrait extrêmement intéressant de cette femme de l’ombre.
Librairie Atout Livre, Paris.

Nous croisons derrière les pages de ce roman de nombreuses personnalités artistiques et littéraires du XXème siècle, notamment Mary Reynolds, une femme forte et courageuse qui s’est engagée dans la Résistance. 
Librairie Le Passeur, Bordeaux.

Dans une écriture précise, fluide, l’auteur Sébastien Rongier nous fait découvrir la rencontre de Marie Reynolds et Marcel Duchamp à Montparnasse vers 1919. Entre la liberté d’après-guerre, l’émancipation et l’élan de vivre… J’apprécie beaucoup !
Librairie Île poétique, Villeneuve-de-Berg.

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Fuir l’Eden

Fuir l’Eden

À propos du livre

« Elle a mon âge. Ses yeux clairs ont peu dormi. Elle est jolie, perdue dans sa solitude. Elle doit porter un peu de rouge à lèvres mais c’est discret. Comme elle. Une fille invisible au rouge à lèvres discret. Elle me rappelle ma mère ; des bribes de ma mère. Sa douceur. Sa mélancolie. Sa fragilité. Comme un puzzle, si tu veux, les morceaux du bord. Avec un grand vide au milieu. »

Adam a dix-sept ans et vient de tomber amoureux, là, sur le quai de la gare de Clapham Junction, à deux pas de cet immeuble de la banlieue de Londres où la vie est devenue si sombre. Cette fille aux yeux clairs est comme une promesse, celle d’un ailleurs, d’une vie de l’autre côté de la voie ferrée, du bon côté. Mais comment apprendre à aimer quand depuis son enfance on a connu plus de coups que de caresses ? Comment choisir les mots, comment choisir les gestes ?
Mais avant tout, il faut la retrouver…

 

Prix Louis Guilloux
Prix des Lecteurs de la Maison du Livre
Prix des Jeunes – Alain Spiess
Prix du roman Cezam
Prix des lecteurs Sèvre & Loire

Finaliste Prix Polar Michel Lebrun
Finaliste Prix littéraire du deuxième roman
Finaliste Prix de l’Union interalliée
Sélection Prix du roman Coiffard

Sélection Prix Alain Spiess
Sélection Prix Jésus Paradis

Presse

Fuir l’Eden est un mélange entre les aspirations romantiques d’un grand gosse, un ange à la figure sale, et la terrible altérité du réel, la souffrance sociale, intime, générationnelle.
Olivier Mony, Livres Hebdo.

Ce deuxième roman confirme un écrivain de toute première force. […] C’est la marche du temps actuel qui se donne ainsi à lire à chaque page de ce texte ambitieux et sensible, éclairé par de superbes figures de femmes.
Jean-Claude Lebrun, L’Humanité.

Un roman redoutablement habile et subtil, mélancolique et alerte, qui combine le romanesque et le politique avec une remarquable virtuosité d’écriture. 
Xavier Leherpeur, France Inter.

Un roman qui met de la lumière aux endroits où elle peine à apparaître.
TV5 Monde.

Dans ce roman éclairé de bout en bout par des présences féminines, Olivier Dorchamps confirme son talent. Il crée un climat poignant, réaliste mais rarement pesant. À la manière d’un Ken Loach revisité. 
Laurence Bertels, La Libre Belgique.

Fuir l’Eden est un roman d’amour, d’un frère pour une soeur. D’un fils pour une mère. D’un garçon de banlieue pour une fille des beaux quartiers et d’un gamin perdu pour une vieille aveugle irlandaise. Et ce roman questionne : jusqu’où peut-on aller par amour ?
France Bleu Touraine.

Un très beau roman d’initiation près d’un Eden de béton contre lequel tous les rêves ne se brisent pas.
Jean-Philippe Blondel, Est Eclair.

Ce livre, c’est l’histoire d’un gamin qui va finir par croiser les bonnes personnes et mettre ainsi fin au déterminisme social. […] Une vraie réussite, qui nous emporte.
Anne-Charlotte Pannier, La Voix du Nord.

Une histoire d’amour où l’amour fraternel prend une importance capitale. 
Le Courrier.

Un roman lumineux et plein d’espoir.
Audrey Verbist, L’Avenir.

Les libraires

Plus intelligemment émouvant qu’un film de Ken Loach, le dernier livre d’Olivier Dorchamps a en outre su garder les qualités littéraires de Ceux que je suis.
Sauramps, Alès.

Fuir l’Eden est un roman surprenant de justesse et de délicatesse.
Librairie Coiffard, Nantes.

Il n’est jamais facile de sortir un deuxième roman après un succès avec le premier, Ceux que je suis. Ce pari est réussi pour Olivier Dorchamps. […] Avec sa délicatesse, son humanisme, son écriture tout en émotion et compassion, Olivier Dorchamps nous livre un roman solaire sur la rugosité de l’existence et le drame du quotidien. Sublime. À lire absolument, vous en ressortirez bouleversé.
Entrée livres, Verdun.

Après un premier roman remarquable, Olivier Dorchamps revient en force avec un texte qui tient toutes ses promesses. Un roman social qui percute avec des personnages attachants et riche en émotion.
Librairie Clareton, Béziers

Un roman extrêmement touchant et émouvant qui ne tombe ni dans le pathos, ni dans l’apitoiement et encore moins dans les bons sentiments. On fait le plein d’humanité et ça fait du bien !
Librairie des Canuts, Lyon.

L’écriture est tout dans ce roman. Chaque mot compte. La langue est fluide et très travaillée pour restituer la voix d’un ado de 17 ans qui a grandi trop vite. […] Un roman éprouvant, bouleversant, captivant.
La Petite librairie, Sommières.

Ce roman est un très beau texte sur l’Amour, l’amour fraternel, l’amour marital mais surtout sur l’amour parental et ses ravages quand il manque.
Cultura, Creil.

L’écriture d’Olivier Dorchamps nous bouleverse de par sa lumière et son rythme qui nous plongent dans les pensées de son personnage. On a ri (presque) pleuré et surtout vibré au travers des aventures d’Adam.
Librairie Les Parleuses, Nice.

Après Ceux que je suis, qui fut déjà un immense coup de coeur, le nouveau roman d’Olivier Dorchamps est cette fois un vrai choc littéraire. Toujours au plus proche d’une réalité souvent cruelle, il nous livre l’histoire d’un jeune homme qui va devoir lutter pour sa « survie » aussi bien morale que physique dans un environnement toujours plus hostile. Une rencontre risque de changer le cours des choses. Roman absolument bouleversant, de par son histoire mais surtout pour toutes les émotions que l’auteur nous fait vivre et ressentir par son écriture si sensible et juste.
Mille paresses, Le Pradet.

Un petit miracle, ce livre. Quel talent ! Coup de coeur, coup de foudre et coup de maître. C’est pur, c’est beau, c’est juste. Enfin un roman social qui ne manipule pas le lecteur, qui ne moralise pas, qui ne cherche pas à épater mais qui émeut simplement (presque modestement ?), qui retourne franchement et qui « reste ». Des lectures de ce niveau, c’est rare et ça fait vraiment du bien. 
La Belle Histoire, La Tour-du-Pin.

Une histoire d’amour, de famille dysfonctionnelle, de lutte pour s’en sortir… Le ton est juste, le style remarquable, le propos touchant… À lire !
Maupetit, Marseille.

Un roman d’apprentissage aux tonalités sociales. […] Un très bon roman au ton juste.
Cultura, Chambray-lès-Tours.

Olivier Dorchamps place Adam sous vos yeux et fait en sorte que vous ressentiez tout ce qu’il vit de façon très profonde. Préparez-vous à vous sentir amoureux, plein de rage, incroyablement malheureux, sur un petit nuage, désespéré, fou de désir… Ce roman est à la fois un concentré explosif d’émotions et le récit tout en délicatesse d’une vie qui peine à démarrer comme on l’espérerait. Une vraie grande réussite. 
La Pléiade, Cagnes-sur-Mer.

Que d’émotions dans ce livre d’Olivier Dorchamps où l’on découvre la vie d’Adam, ado de 17 ans qui nous bouleverse. […] Olivier Dorchamps nous avait déjà charmés avec Ceux que je suis, on en redemande !
Grain de Lire, Lalinde.

Fuir l’Eden est un magnifique roman d’apprentissage dans lequel la brutalité du quotidien, du quartier et des coups portés par un père même pas nommé mais surnommé « l’autre », côtoie la sensibilité, la profondeur et la beauté des sentiments qui habitent Adam pour sa soeur, et pour une jeune inconnue. […] Olivier Dorchamps nous offre un nouveau roman qui sonne juste, avec ce qu’il faut de rage et de pudeur, de brutalité et de délicatesse. Enfin, l’espoir est au coeur de ce roman social et familial, parfois douloureux certes mais toujours salvateur.
Les 3 souhaits, Morteau.

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Dans la pièce du fond

Dans la pièce du fond

À propos du livre

Le mystère n’est jamais si opaque que lorsqu’il est à portée de main, derrière une porte, dans la chambre voisine ou dans la pièce du fond. William Chambers Morrow, journaliste à San Francisco à la fin du XIXe siècle, prend plaisir à jouer de ce paradoxe. Son goût pour l’étrange et la manière dont il le marie à la modernité, sous l’influence d’Edgar Poe et d’Ambrose Bierce, l’amène à inventer ce que l’on pourrait appeler le fantastique policier. L’un des premiers, il a l’intuition de quelques-uns des grands thèmes qui baliseront la littérature de genre du XXe siècle : l’angoisse urbaine, la folie meurtrière, l’inquiétant comportement d’un proche.

W.C. Morrow pourrait être le grand-père de Stephen King. Les neuf nouvelles rassemblées ici le prouvent.

Presse

Avec ce recueil de neuf histoires, on retrouve toutes les influences de l’auteur, à commencer par Edgar Poe, Maupassant et son ami Ambrose Bierce. Chambres closes, créatures invisibles et maléfiques, animaux fantastiques, automates… W.C. Morrow ne recule devant rien pour nous tenir en haleine. […] Un style d’une redoutable efficacité.
Le Figaro.

Neuf nouvelles qui s’inspirent de situations anodines et flirtent avec l’étrange sans jamais sombrer dans l’angoisse : des maisons grincent dans la pénombre; des pendules lugubres arrêtent le temps… […] Les personnages, bons ou méchants, généreux ou obséquieux, sont tous terrifiants… d’authenticité. Morrow est un conteur subtil d’une joyeuse impertinence.
Télérama.

Morrow est un maître de l’étrange et de l’effroi. […] Un mélange bien senti de macabre, de spiritisme, et de suspense, toujours sur le fil du rasoir entre le crédible, l’extraordinaire et l’incroyable. Le tout enlevé par une écriture chirurgicale, un ton sobre et presque détaché, qui fait qu’on y croit. Et qu’on sursaute au moindre bruit.
Les Inrockuptibles.

C’est à la fois du fantastique, du policier, de l’intrigue et un je-ne-sais-quoi qui transporte le lecteur dans un monde décalé où la banalité du quotidien tisse soudain la trame du mystère. 
Sud Ouest.

Un recueil qui nous montre à quel point Morrow est important dans la littérature fantastique américaine. 
Sous couverture, RTBF.

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Une lune tatouée sur la main gauche

Une lune tatouée sur la main gauche

À propos du livre

«J’ai appris que Sam Shepard tournait une série en Floride et, demain, je m’envole pour Miami. Il m’accordera peut-être une interview. Ma seule certitude est que la décision de débarquer là-bas est de celles qui changent tout. Les livres de Shepard sont pour moi comme des manuels de survie, de liberté ; ses errances sont devenues les miennes. Il est de ces écrivains qui ne s’adressent pas seulement au cœur ou à l’esprit, mais à la moelle épinière.»

Avec une écriture fiévreuse, haletante, Rodolphe Barry s’invite dans l’intimité d’un artiste incandescent, écrivain, musicien, acteur. Mais surtout dans celle d’un homme en quête de vérité et d’absolu.

 


Prix du Livre du réel
Sélection Grand Prix des Lectrices ELLE

Presse

Un récit romanesque passionnant. 
Bernard Babkine, Madame Figaro.

Le livre de Rodolphe Barry décape la légende.[…] Un roman poétique et fiévreux.
Jean-Claude Raspiengeas, La Croix.

Une lune tatouée sur la main gauche tisse un portrait magnétique de Sam Shepard, le poète le plus libre des États-Unis. […] Il donne une nouvelle teinte, une nouvelle portée, à l’un des plus beaux verbes qui soit : admirer.
Flavie Philipon, ELLE.

Le livre regorge de pareils moments, aussi drôles que crève-coeur.
Philippe Garnier, Libération.

Rodolphe Barry signe à travers un texte de toute beauté un vibrant hommage, entre réalité et fiction, à ce personnage fascinant, disparu en 2017.
Philippe Blanchet, Rolling Stone.

Une enquête biographique absolument formidable.
Le Masque et la Plume.

L’évocation romanesque d’un artiste qui allie les bonheurs du vagabondage et la fièvre de la quête. […] Cette rencontre avec Shepard vaut le détour.
Christian Authier, Le Figaro Magazine.

Barry remonte le temps, et dans un délice d’écriture, nous emmène sur les chemins hallucinés de Sam Shepard, cow-boy sombre aux 44 pièces de théâtre, et un prix Pulitzer, trop mal connu en France. 
Séverine Guillemet, Sud Ouest.

Rodolphe Barry nous sert dans une langue nerveuse et lyrique un onctueux road trip ponctué de scènes magiques. […] Un très beau livre.
Stéphane Koechlin, Marianne.

Rodolphe Barry se plonge avec force dans la vie d’un écorché vif.
Geneviève Simon, La Libre Belgique.

Barry nous offre un texte incroyable, d’une sensibilité extrême, d’une beauté irréelle, laissant entrevoir une admiration sans faille pour le personnage.
Le Midi Libre.

Une balade sauvage et onirique sur les traces d’un homme libre et intègre. Une pépite de cette rentrée.
Laurent Raphaël, Le Vif.

Un hommage en forme de déambulation à l’Amérique et à l’âme shepardiennes.
Trends Tendances.

Louons comme il se doit cet hommage made in France à faire pâlir les plus redoutables biographes yankees.
Jean-Philippe Bernard, La Liberté.

Les libraires

Rodolphe Barry nous offre ici un texte incroyable, d’une sensibilité extrême, d’une beauté irréelle, qui laisse entrevoir son admiration sans faille pour le personnage. 
Clareton des Sources, Béziers.

Dans un rythme haletant digne des meilleurs scénarios de cinéma, Rodolphe Barry nous fait partager la vie d’un homme extraordinaire qui n’a rien à envier aux grandes aventures humaines et artistiques du XXème siècle.
Mollat, Bordeaux.

Sous la plume de Rodolphe Barry, Sam Shepard devient l’incarnation de cette lignée d’écrivains pour qui l’art et la vie se confondent dans une recherche perpétuelle de beauté et de justesse. […] Passionnant.
La Manoeuvre, Paris.

Oubliez tout ce que vous pensez savoir sur Sam Shepard, et partez à la découverte d’un artiste aux talents multiples, d’un immense écrivain épris de liberté et d’authenticité. Un magnifique roman plein de passion et d’émotion qui esquisse avec brio le portrait d’un homme complexe, mystérieux, intègre. Superbe !
Le Gang de la clé à Molette, Marmande.

Une plongée fascinante et palpipante dans la vie de Sam Shepard, artiste passionné et passionnant, sous la plume de Rodolphe Barry, qui une fois encore épate par son talent à retracer une vie frénétique en quête d’absolu, menée tambour battant.
Les Traversées, Paris.

Attention au coup de foudre ! Quand Rodolphe Barry s’attèle à Sam Shepard on ne peut être qu’électrisé. Par le parcours de cet homme aux multiples talents et à la sensibilité immense. Par ce destin au milieu des monstres sacrés de la culture américaine. Par la plume de cet auteur toujours aussi juste. De quoi donner envie de (re)lire tout Shepard et tout Barry, ni plus ni moins !
L’Utopie, Paris.

Le portrait magnifique que Barry dresse de Sam Shepard restitue toute la beauté de cet être viril et buté empreint d’une fragilité et d’une délicatesse déconcertantes. Un livre vibrant. 
47° Nord, Mulhouse. 

Rodolphe Barry se glisse dans la vie de Sam Shepard, imagine des rencontres, improvise des conversations avec cet homme dont il veut faire découvrir la profondeur à ses lecteurs. Avec une réelle empathie, il compose une épopée fiévreuse sur un artiste recherchant désespérément la sérénité intérieure, mais sans cesse bouleversé par le bouillonnement créatif de l’oeuvre à venir.
Caractères, Mont-de-Marsan. 

Comment ne pas ressortir bouleversé des romans de Rodolphe Barry qui peint avec virtuosité ces hommes, Carver, Agee, Shepard, têtes brûlées intransigeantes et en même temps d’une vulnérabilité profonde. Une fois encore merci à lui pour ce magnifique portrait de Sam Shepard, insaisissable cow-boy, dramaturge effréné, acteur inoubliable. 
Les schistes bleus, Cherbourg.

Le très beau portrait d’un homme singulier, porté par une écriture belle et fougueuse qui colle parfaitement à son sujet.
Dédicaces, Rueil-Malmaison.

Après Raymond Carver et James Agee, Rodolphe Barry s’attaque à l’immense écrivain et acteur Sam Shepard. C’est toujours aussi brillant ! Un vrai concentré de l’Amérique !
Les Grandes largeurs, Arles.

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L’intégrale des nouvelles

A tout prix

À propos du livre

Herman Melville, tout le monde connaît bien sûr. Mais si on s’aventure au-delà de Moby Dick et de Bartleby, ça devient moins évident pour beaucoup ! Et pourtant, c’est un écrivain qui a laissé une œuvre foisonnante, roman, nouvelles, et enfin poèmes à la fin de sa vie.
En 1845, Melville a 26 ans et vient de passer cinq ans en mer. Définitivement de retour à terre, il commence à écrire des romans relatant ses aventures maritimes et dans les îles. C’est une frénésie d’écriture, sept romans en sept ans, dont l’apothéose est Moby Dick, publié en 1851. Malheureusement, ces romans sont des flops commerciaux et Melville a besoin de trouver un autre moyen de gagner sa vie. À l’époque, il existait aux États-Unis un grand nombre de périodiques qui mêlaient journalisme et littérature. Ces revues ou journaux étaient toujours à la recherche de nouveaux auteurs et les payaient au feuillet, leur assurant un revenu régulier. Melville va donc commencer à écrire des nouvelles pour la presse dès 1853, et écrira la plupart d’entre elles en l’espace de trois ans.

L’édition que nous proposons regroupe l’intégrale des nouvelles de Melville, dans une nouvelle traduction de Christian Garcin & Thierry Gillybœuf, qui signent également les notes et la préface.

À côté des nouvelles proprement dites dont certaines sont disponibles ailleurs dans d’autres traductions, on trouvera quelques inédits. Tout d’abord, des textes de jeunesse ainsi que des articles humoristiques assez enlevés que Melville avait écrits pour le magazine satirique Yankee Doodle, mais aussi une importante nouvelle, Baby Budd, version courte du dernier roman de Melville, Billy Budd, marin. Et enfin, un ensemble des textes, plus tardifs, pour un projet ambitieux intitulé Burgundy Club, retrouvés à l’état de manuscrit dans les papiers de Melville après sa mort.

Prix de traduction de l’Académie française – Prix Jules Janin

Presse

On trouve tout Melville dans ces histoires. Son attrait pour l’insondable. Son goût de l’ailleurs, sa manière de chercher au-delà des apparences. 
Florence Noiville, Le Monde.

Remarquablement traduites par Christian Garcin et Thierry Gillyboeuf, ces nouvelles nous présentent une facette à découvrir absolument, tant les pépites abondent. 
Thierry Clermont, Le Figaro.

En resserrant ses intrigues, en atténuant ses effets, en cherchant la concision, Melville a trouvé une vérité et une justesse nouvelles.
Hubert Prolongeau, Télérama.

Ce gros livre, magnifiquement édité, regroupe l’intégrale de ces textes (parfois rares), assortis de quelques précieux inédits. À commander  au Père Noël.
Philippe Blanchet, Rolling Stone.

Plongez dans les nouvelles de Melville, elles sont excellentes.
Sandrine Mariette, Elle.

Certains textes sont des perles d’humour. […] L’occasion de redécouvrir l’étendue d’un talent longtemps incompris.
Julien Burri, Le Temps.

Il y en a pour des heures de (bonne) lecture.
Jean-Claude Vantroyen, Le Soir.

On y retrouve le goût de Melville pour l’ailleurs et son inquiétude existentielle.
Christian Desmeules, Le Devoir.

C’est de la littérature de très haut vol qui vibre là, dans toutes ces pages habitées par un raconteur-né.
Jean-Luc Germain, Le Télégramme.

 

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