Feu et flammes

Feu et flammes

À propos du livre

C’est un beau dimanche, la forêt est écrasée de chaleur. Après leur pique-nique, Suzanne et Louis ont goûté aux plaisirs de l’amour champêtre avant de s’assoupir, repus. Une odeur de fumée les réveille, le feu a pris, un mégot mal éteint sans doute. S’ils donnent l’alerte au village le plus proche, on les accusera, c’est sûr. Alors ils choisissent de s’enfoncer discrètement dans les bois, il y aura bien une route de l’autre côté…
À mesure que les flammes montent, que le feu les talonne, les reproches fusent et la tension fait ressortir les vieilles rancœurs au sein du couple. Et lorsque le vent se lève, l’incendie redouble, l’inquiétude se change en panique. Où est-elle donc cette foutue route ?
Avec une économie de moyens remarquable, Maurice Raphaël donne à son récit l’ampleur d’une tragédie grecque. Pas moins.

Presse

C’est un huit clos, mais à ciel ouvert, à ciel rougeoyant. Raphaël maintient un tempo fascinant à chaque page tandis que montent les périls, que grandit la peur.
Olivier Mony, Livres Hebdo.

Une curiosité littéraire incandescente.
Jérôme Dupuis, L’Express.

« Ce livre est l’un des plus originaux que j’ai lu cette année. C’est palpitant, il y a un rythme absolu, l’angoisse monte au fil des pages. »
Xavier de Marchis, Télématin.

Feu et flammes se situe dans une veine sobre, presque sèche, qui évoque Hemingway. Le style de Raphaël, impeccable, n’a pas pris une ride.
Arnaud Gonzague, L’Obs.

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Poèmes américains

Poèmes américains

À propos du livre

À travers ce recueil de poèmes, Christian Garcin paie son tribut à la littérature américaine. Il invoque Melville, Poe, Cassady, Thoreau, Cummings, Kerouac, Marianne Moore et bien d’autres, il marche dans leurs pas, de Manhattan à Cape Cod, de Concord à Lowell. En quelques mots, en quelques vers, il ressuscite un Neal Cassady plus vrai que nature, nous fait toucher les briques de la maison d’Edgar Poe, nous fait partager un matin pluvieux sur l’Hudson River. Un vrai regard de poète sur l’Amérique d’hier et d’aujourd’hui.
Entre le récit de voyage poétique et la poétique du voyage. Sac au dos, livre en main.

Presse

Cette traversée d’une certaine poésie américaine est en soi un vrai plaisir pour le lecteur.
Thierry Romagné, La Nouvelle Quinzaine littéraire.

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Ângelo

Ângelo

À propos du livre

De Lisbonne à Porto, en passant par le Mozambique, Gilles Ortlieb part en quête des traces incertaines laissées par Ângelo de Lima, poète remarqué par Fernando Pessoa et un temps associé à l’avant-garde, mais surtout classé dans la rubrique bien commode des « fous littéraires » – sa mort prématurée dans un hôpital psychiatrique en 1921 n’ayant rien arrangé à l’affaire.

Presse

Ângelo est un livre à l’étrange beauté, à la fois récit, rêverie, roman, biographie.
Sébastien Lapaque, Le Figaro littéraire.

Gilles Ortlieb édifie un magnifique « tombeau » pour un poète « de la marge »: on se souviendra d’Ângelo.
Monique Petillon, Le Monde des livres.

Avec la figure tremblée d’Ângelo de Lima, vouée à l’insaisissable, ce que le livre révèle en creux, c’est le caractère irrationnel et suffisant de sa propre raison d’être. Ne serait-il pas, lui aussi, l’une de ces « petites folies » merveilleuses « auxquelles se livrent parfois les êtres raisonnants » ?
Camille Thomine, Le Nouveau Magazine Littéraire.

Gilles Ortlieb, écrivain des marges, au sens où il préfère l’ombre, le silence, le creux, l’insignifiant, parce qu’il sait en rendre la lumière, la sonorité la plus juste, le contraste, la puissance.
Norbert Czarny, En attendant Nadeau.

C’est le « portrait d’un fou », d’un « frère inconnu » que Gilles Ortlieb peint avec une attention remarquable. Avec cette densité qu’on trouve dans tous ses écrits, qu’ils fussent de prose ou de poésie. Une densité qui ne pèse jamais mais cherche, attend, désire.
Patrick Kéchichian, La Croix.

Où qu’il se trouve, l’enquêteur Ortlieb a dans sa façon de faire quelque chose de ces retoucheurs qu’on aperçoit dans les vitrines des bouclages de Lisboa : « Reprises, ravaudages, rempiècements,  raccommodages : la boutique de retoucherie, métaphore acceptable ou définition possible de la poésie. »
Anthony Dufraisse, Le Matricule des anges.

À chaque découverte concrète sur la vie du poète Ângelo de Lima, sa silhouette semble s’éloigner d’autant. Comme s’il jouait au chat et à la souris dans les brumes du temps et de la folie.
Frédérique Fanchette, Libération.

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Pactum salis

Pactum salis

À propos du livre

Très improbable, cette amitié entre un paludier misanthrope, ex-Parisien installé près de Guérande, et un agent immobilier ambitieux, prêt à tout pour « réussir ». Le premier mène une vie quasi monacale, déconnecté avec bonheur de toute technologie, tandis que le second gare avec fierté sa Porsche devant les boîtes de nuit.

Liés à la fois par une promesse absurde et par une fascination réciproque, ils vont passer une semaine à tenter de s‘apprivoiser, au cœur des marais salants.

Presse

Bien ficelé et parfaitement assaisonné.
Augustin Trapenard, Boomerang (France Inter).

Olivier Bourdeaut nous offre une fantaisie polardeuse ou un polar fantaisiste.
François Busnel, La Grande Librairie (France 5).

Olivier Bourdeaut possède l’art de la mise en scène.
Sébastien Lapaque, Le Figaro.

On ne lâche pas ce western guérandais de l’imprévisible, cette passerelle de mots qui raillent, pétillent, arrachent des pesanteurs, et requinquent les ego à marée basse.
Sandrine Mariette, Elle.

Avec Pactum salis, Olivier Bourdeaut franchit brillamment l’obstacle toujours redoutable du deuxième roman. C’est la première bonne nouvelle de ce début d’année en librairie !
Bernard Lehut, RTL.

Un roman qui le fait entrer dans la cour des grands.
Journal de 13h, TF1.

Bonne nouvelle : si ce nouvel opus est tout aussi bourré de charme que son grand frère, En attendant Bojangles, il est radicalement différent.
Sophie Pujas, Le Point.

Olivier Bourdeaut affiche un certain attachement pour la cruauté tamisée.
Christine Ferniot, Lire.

Olivier Bourdeaut revient avec un nouveau roman dont l’écriture est encore plus affirmée, plus raffinée.
Valérie Trierweiler, Paris Match.

Après le triomphe de son premier roman, Olivier Bourdeaut utilise son expérience de paludier pour tricoter une fiction, encore plus réussie.
VSD.

Il y a du Olivier Bourdeaut dans les deux personnages qui traversent avec légèreté Pactum salis.
Philippe Douroux, Libération.

Autant l’intrigue à suspense que le cadre, tout est original dans cet affrontement brutal et insolite. Olivier Bourdeaut confirme qu’il est un écrivain et non un phénomène saisonnier.
Jean-Claude Raspiengeas, La Croix.

Olivier Bourdeaut sait mettre en scène des personnages plein d’humanité, avec le charme de cette écriture qui suscite tour à tour le sourire, le rire ou l’émotion vraie.
Jean-François Cadet, RFI.

Dans un style vif jusqu’à la cruauté, Olivier Bourdeaut pousse ses personnages dans leurs derniers retranchements. […] On ne peut s’empêcher de songer à l’inoubliable Singe en hiver d’Antoine Blondin.
Olivier Mony, Livres Hebdo.

Les dialogues de ce roman sont terriblement caustiques et offrent un décalage réjouissant entre le piquant de la réflexion et la trivialité des situations.
Anne Berthod, La Vie.

Les marais salants, la toile de fond idéale pour ce roman inattendu.
Le Grand Soir 3, France 3.

Olivier Bourdeaut signe un second roman plus classique, plus calme, rythmé par les marées et baigné des lumières des marais, dans lequel il installe un suspense latent, qui tient le lecteur en haleine jusqu’au bout.
Laurence Houot, Culturebox.

Un sens du dialogue, une dérision presque désespérée, des personnages attachants. Et, avec ça, une plume joliment surannée.
Isabelle Brunisset, Sud Ouest.

Une langue très travaillée et un humour caustique.
Florence Pitard, Ouest-France.

La cocasserie des situations rappellera aux amoureux de Blondin (et aux cinéphiles) les mémorables beuveries et joutes verbales d’un Singe en hiver.
Isabelle Bourgeois, Avantages.

On se délecte de ce récit enlevé aux dialogues brillants et inévitablement cruels. 
Version Femina.

Ce roman offre un répit fort bienvenu dans la banalité du quotidien.
Anne-Frédérique Hébert-Dolbec, Le Devoir.

Une écriture fantaisiste et rafraîchissante.
Flavie Gauthier, Le Soir.

Pactum salis renvoie la beauté des paysages de Guérande, la quiétude des marais au coeur de l’été, en pleine saison de la délicate cueillette de la fleur de sel.
Chantal Livolant, Le Télégramme.

Une amitié qu’Olivier Bourdeaut narre avec délice, maniant l’humour des mots et des situations avec délicatesse et tendresse.
Blandine Hutin-Mercier, La Montagne.

Un roman maîtrisé, plus âpre voire rugueux, masculin et serré.
Laurence Bertels, La Libre Belgique.

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Que les étoiles contemplent mes larmes

Que les étoiles contemplent mes larmes

À propos du livre

Italie, été 1822. Le poète Percy Shelley traverse le golfe de Livourne à bord de l’Ariel, un petit voilier qu’il vient d’acheter. La mer est agitée, fait chavirer l’embarcation et emporte le jeune écrivain. Sa veuve, Mary Shelley, auteur du mystérieux Frankenstein, n’a pas encore vingt-cinq ans.
La douleur soudaine, brutale, anéantit la jeune femme qui entame alors l’écriture d’un journal, son Journal d’affliction, qu’elle tiendra jusqu’en 1844. C’est une œuvre bouleversante, élégiaque et exaltée, écrite par une femme brisée qui consigne au jour le jour les souvenirs de son amour, sa souffrance et sa solitude. Ces pages, mi-journal de deuil mi-lettres d’amour, sont parmi les plus belles de la littérature romantique.

Inédit

Presse

Un passionnant journal qui permet de cerner enfin sa personnalité peu ordinaire.
François Rivière, Le Figaro.

On est ébloui par sa prose sublime qui se lit comme un roman des soeurs Brontë.
Kerenn Elkaïm, Livres Hebdo.

Un immense cri de douleur qui arrache des larmes.
Sandra Basch, Elle.

Sur deux décennies, le journal d’affliction de Mary Shelley illustre son destin d’héroïne romantique.
Elisabeth Miso, Florilettres.

Ce journal permet de mieux comprendre la vie d’une femme libre dans l’Angleterre du XIXème siècle, corsetée et inégalitaire.
Raphaël Brun, Monaco Hebdo.

Au-delà de la valeur biographique et documentaire, ces récits consignés pendant vingt ans, dans une langue splendide, se révèlent tout simplement poignants.
Baptiste Liger, Lire.

Sous la plume d’une auteure romantique comme Mary Shelley, la souffrance prend une ample dimension lyrique.
Eléonore Sulser, Le Temps.

Riche en anecdotes, ce Journal d’affliction dépeint une femme d’une modernité exceptionnelle.
Cécile Lecoultre, La Tribune de Genève.

Un des documents les plus émouvants de l’époque romantique.
Jacques Franck, La Libre Belgique.

Un journal qui nous fait mesurer ce qu’il en coûtait d’être une femme libre dans la société encore inégalitaire, et au fond, misogyne.
Nelly Kaprièlian, Les Inrocks.

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La peau dure

La peau dure

À propos du livre

La peau dure, c’est un roman à trois voix. Celles de trois sœurs : Clara, Jacquotte et Louison. Trois femmes fragiles, ballottées dans un monde trop grand pour elles, trop cruel aussi, un monde régi par les hommes.
La peau dure, c’est un roman extrêmement social, voire même ouvertement féministe. En cela, près de soixante-dix ans après sa première publication, il conserve une grande modernité, une résonance certaine avec notre société contemporaine.
La peau dure, c’est un véritable plaidoyer, âpre et cinglant, pour la cause des petits, des faibles, des laissés-pour-compte.

Presse

Trois femmes qui triment, qui souffrent dans une société faite par et pour les hommes.
Nathalie Peyrebonne, Le Canard enchaîné.

Si quelques rares moments de bonheur et de générosité y fleurissent, ce texte, sec comme un coup de trique, est un poignant témoignage sur la condition des femmes au milieu du XXe siècle. 
Berthold Bies, Le Télégramme.

Un texte de 1948 qui fait écho à notre présent.
Frédérique Roussel, Libération.

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Pourquoi les oiseaux meurent

Pourquoi les oiseaux meurent

À propos du livre

Il est tombé des oiseaux en Haute-Normandie.
Il a plu des oiseaux et manifestement tout le monde s’en fiche. À peine quelques entrefilets dans la presse locale. Seul un jeune Parisien, histoire d’échapper à sa thèse, se passionne pour le phénomène. D’autant que c’est arrivé dans le village où il a grandi.
Il fouille, il cherche, il enquête. Les pistes se multiplient, toutes plus inattendues et extravagantes les unes que les autres. Il descend la Seine à bord d’un bateau de croisière, tombe amoureux, se découvre des alliés, des ennemis, s’invente une famille et tente de mettre un peu d’ordre dans ses notes et dans sa vie.

Victor Pouchet signe un premier roman malicieux, il propose un river-trip normand comme d’autres un road-trip californien.

Presse

Un savoureux, ironique et mélancolique premier roman. […] On ne vous dira pas pourquoi les oiseaux meurent, mais on sait maintenant pourquoi un écrivain est né.
Jérôme Garcin, L’Obs.

Une flânerie brillante, hilarante et incongrue.
Christine Ferniot, Lire.

C’est dans sa simplicité que réside la beauté de ce texte dont on ressort ému et intrigué. 
Leïla Slimani, Le Monde.

Il pleut des plumes dans Pourquoi les oiseaux meurent, et on suit Victor Pouchet jusqu’au bout de son road-trip normand et barré.
Olivia de Lamberterie, Elle.

Ce qui commence comme une enquête ornithologique vire alors au « river trip » cocasse pour finir en quête familiale farfelue.
Glamour.

Chic, léger, drôle, habile. […] Un auteur vient de prendre son envol.
Jean-Christophe Buisson, Le Figaro magazine.

Un des micro-événements de l’année littéraire.
Marianne.

C’est une aventure intrigante à laquelle invite Victor Pouchet, au croisement de l’absurde, de l’enquête et de l’histoire naturelle.
Frédérique Roussel, Libération.

Un roman émaillé de références érudites et délicieusement malicieuses.
Nathalie Peyrebonne, Le Canard enchaîné.

Au rythme des écluses, un jeune homme mène une enquête pour laquelle personne ne l’a mandaté, et découvre précisément ce qu’il ne cherchait pas. Tout ce qu’on aime.
Philibert Humm, Paris Match.

Au fil d’escales et de rencontres burlesques et mystiques, cherchant son rythme entre la terre et les cieux où le poète comme l’oiseau rêve de déployer ses ailes, le personnage de Victor Pouchet essaie d’écrire sa propre histoire et de l’inscrire dans la grande histoire. Magnifique.
Astrid de Larminat, Le Figaro littéraire.

L’arrivée sans crier gare dans notre paysage littéraire de ce jeune agrégé de lettres constitue une magnifique promesse. 
Olivier Mony, Sud Ouest.

Une lettre au père à la Kafka déguisée en toile de Magritte ? Un subtil mélange d’inquiétude et d’humour. Ceci n’est pas une pipe. Mieux: un sacrément bon premier roman.
Louis-Henri de La Rochefoucauld, Technikart.

Un premier roman qui permet à son auteur de poser ses marques et d’esquisser une écriture prometteuse.
Alexandre Mare, Artpress.

Le primo-romancier laisse sa plume tanguer au rythme des rencontres.
Pierre-Edouard Peillon, Le Magazine littéraire.

Victor Pouchet embarque son lecteur pour une gracieuse et fort intelligente glisse aquatique.
Claude Grimal, En attendant Nadeau.

On aime beaucoup. C’est très drôle, mais c’est un mélange d’humour et d’inquiétude.
Coup de cœur de Jérôme Garcin & J.-L. Ezine, Le Masque et la Plume (France Inter).

Victor Pouchet signe un premier roman imaginatif.
Sean Rose, Livres hebdo.

Le récit tangue souvent, hésite entre fiction et réalité, tout en étant bercé par une plume imbibée d’une subtile et ironique mélancolie.
Thierry Delacourt, Paris-Normandie.

Une quête de soi et du sens de la vie.
La Manche libre.

Un premier roman charmant qui devrait assurer à son auteur un déluge d’éloges.
Léonard Billot, Stylist.

Certains auteurs sont des mots de passe, choses précieuses qu’on s’échange sous le manteau dans une même confrérie de sensibilités. Dans celle des spécialistes de «l’insensé minuscule», […] rayonnera désormais Victor Pouchet, expert en oiseaux décédés.
Blandine Rinkel, Le Matricule des anges.

Avec Pourquoi les oiseaux meurent, un écrivain est né.
Christophe Bys, L’Usine Nouvelle.

Une superbe entrée en littérature.
Pierre Maury, Le Soir.

Qu’il est plaisant de se plonger dans cette enquête aussi curieuse qu’attachante.
Sarah Jollien-Fardel, Le Matin.

 

Libraires

Une très jolie plume, un ton très agréable que l’on suit avec beaucoup de plaisir le long de la Seine.
Nelly, Fnac (Paris).

Un texte subtil. Drôle et grave à la fois.
Valérie Barbe, Brouillon de culture (Caen).

Ce roman est à la fois une enquête et un remarquable reportage sur les oiseaux. Mais c’est aussi une intéressante réflexion sur le monde, notre monde, et l’auteur parvient avec brio à faire de sa cause notre cause.
Anaïs Flambart, Espace Culturel Querqueville.

Un premier roman à la fois drôle et émouvant, malicieux et inattendu ! Une vraie belle surprise.
Priscilla, librairie des Batignolles (Paris).

Joyeusement improbable et d’une prose des meilleures compagnies.
L’Arbre à lettres (Paris).

Poétique, amusant, insolite sur fond de douce mélancolie, cette quête initiatique vous ravira.
Célestine, le Divan (Paris).

Une enquête insolite, foisonnante, introspective… au fil de la Seine.
Librairie La Varenne.

Pourquoi les oiseaux meurent ou comment une belle plume vous ouvre les bras d’un avenir littéraire prometteur.
Virginie, Au Temps Lire (Lambersart).

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Le revers de mes rêves

Le revers de mes rêves

À propos du livre

«Le nombre de mes victoires en Grand Chelem contre le mur du garage, je l’évaluerais à une quinzaine, soit un positionnement intermédiaire entre le record de Pete Sampras et celui de Roger Federer, performance fort honorable pour un joueur de onze ans.»

Enfant, Grégory Cingal tapissait les murs de sa chambre de posters de Borg, Becker ou Connors. Un jour, c’est certain, il gagnera Wimbledon. Mais un souffle trop court aura raison de ses rêves. Il est gaucher, s’énerve sur tous les points, et sa ressemblance avec John McEnroe s’arrête là.
La seule vie convenable est dans la lecture des livres, entre les bras des femmes et sur un court de tennis. Quel autre sport a la bonté d’offrir à chaque engagement une deuxième balle ?

Presse

À Grégory Cingal, les souvenirs de tennis permettent de tout dire: les ferveurs de l’enfance, les grands rêves de l’adolescence, la passion des livres, les bras des femmes, le monde comme il va et surtout comme il ne va pas.
Sébastien Lapaque, Le Figaro.

C’est bien une autobiographie restreinte aux dimensions d’un court de tennis que nous propose Grégory Cingal.
Éric Chevillard, Le Monde.

Grégory Cingal est fou de tennis et lui déclare son amour dans cette «Recherche du temps perdu» où les madeleines ont été remplacées par le duvet jaune des balles.
Christophe Ono-dit-Biot, Le Point.

Les anecdotes sont intéressantes, parfois cocasses, et l’adulte n’est pas dénué de lucidité, voire de cynisme, pour examiner le jeune joueur qu’il était.
Libération.

Le Revers de mes rêves est un livre rare, dans lequel des joueurs de tennis oubliés jouent le rôle que, pour Marcel Proust, jouait la madeleine de sa grand-tante.
Christophe Mercier, Les Lettres françaises.

Une déclaration d’amour pour la balle jaune et ses adeptes, à lire sans modération.
Tennis magazine.

L’humour du merveilleux écrivain qu’est Grégory Cingal se rattache à une certaine veine à l’anglo-saxonne.
Frédéric Verger, La Revue des deux mondes.

Entre ses rêves d’enfant et l’admiration qu’il porte à Federer, Grégory Cingal propose un petit livre épatant.
François Ruffieux, 24 heures.

Un vagabondage inspiré par la passion du tennis.
En jeu, une autre idée du sport.

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Si belle, mais si morte

Si belle, mais si morte

À propos du livre

Un chemin sur la berge d’un fleuve. Ils sont nombreux à l’emprunter chaque matin : une jeune femme y promène son chien, un couple de lycéens s’y cache pour sécher les cours, un clochard y traîne sa folie, un jeune boulanger aime y méditer.
Mais ce jour-là, au bord de l’eau, une femme aux escarpins rouges est allongée. Morte.
Tous passeront devant elle, tous la verront, aucun n’interviendra. Personne n’appellera la police, personne n’en parlera. Ils ont tous d’excellentes raisons de l’ignorer et de tenter de se convaincre qu’un autre s’en chargera.
Mais il n’est pas si facile de vivre avec cette lâcheté, cette indifférence, cet égoïsme. Chez chacun d’eux, la confrontation avec la belle morte causera un séisme intime. Et leur vie s’en trouvera radicalement changée.

Un roman efficace et malin, qui mêle avec naturel réflexion sociologique et comédie à l’italienne.

Presse

Écrit d’une plume leste et détachée, ce court roman plonge avec drôlerie dans les affres de la lâcheté et de la culpabilité au fil de saynètes dans la tradition de la comédie à l’italienne.
Frédéric Potet, Le Monde.

Rosa Mogliasso tend au lecteur un miroir dans lequel il hésite à se regarder.
Véronique Cassarin-Grand, L’Obs.

Un court roman-piège, façon comédie à l’italienne.
Nathalie Peyrebonne, Le Canard enchaîné.

Porté par un style efficace et léger, le récit ne manque pas de nous surprendre.
Yannick Marcoux, Le Devoir.

 

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Capharnaüm n°7

Capharnaüm n°7

Michel Ohl, catastrophe culturelle

Capharnaüm tente de rendre hommage à Michel Ohl, grand méconnu, voire inconnu, dont la légende ne cesse de planer sur les lettres depuis plus de quarante ans. Fou littéraire, pataphysicien, mystificateur, spécialiste de la littérature russe, amateur de rugby, on a souvent essayé de lui coller de belles étiquettes. Rien à faire. Et sa mort en 2014 n’a rien arrangé.
À travers des textes, des lettres, un entretien, et quelques délires littéraires dont il avait le secret, nous avons tenté une approche discrète du bonhomme. Mais il reste insaisissable.

Il n’y a pas d’abonnement à la revue Capharnaüm : vous pouvez la trouver ou la commander en librairie.

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Traversée en eau claire dans une piscine peinte en noir

Traversée en eau claire dans une piscine peinte en noir

À propos du livre

Devant l’objectif des plus grands photographes, des plus grands cinéastes, elle excellait à être simplement Cookie. L’inoubliable, la touchante Cookie Mueller, égérie de l’avant-garde new-yorkaise des années 70 et 80.
Lors de soirées devenues mémorables, elle exerçait ses fabuleux talents de conteuse. Tous se délectaient de ses aventures extraordinaires, de ses souvenirs de l’époque où elle était la bad girl du lycée jusqu’à ses anecdotes de tournage avec John Waters, en passant par les épisodes sa vie californienne, lorsqu’elle côtoyait Janis Joplin ou un certain Jim Morrison.
Et quand un jour, elle s’est enfin décidée à mettre tout ça par écrit, on s’est aperçu qu’un écrivain était né. Quel style, quel naturel, quelle verve, quelle fantaisie !
Lire Cookie Mueller aujourd’hui, c’est retrouver l’insouciance, goûter la liberté, tâter de la sauvagerie, risquer la tendresse. Elle écrit « cash », comme elle a vécu.
On aurait tant aimé la connaître.

Presse

Ces histoires sont à la fois hilarantes, effroyables et, surtout, bien trop barrées pour ne pas être vraies !
Héléna Villovitch, Elle.

À lire Cookie Mueller, grande brûlée du rêve américain, on a l’impression d’écouter du Janis Joplin: rauque, défoncée, poétique.
Gérard Lefort, Les Inrockuptibles.

La vie de Cookie Mueller ressemble à un long road movie déjanté.
Phillipe Blanchet, Rolling Stone.

Ces mémoires, écrites avec un talent de conteuse indéniable, façon Tante Cookie sous LSD, semblent excavées d’une époque révolue, foutraque et subversive.
Johanna Luyssen, Libération.

L’écriture délurée de Cookie Mueller remplit la vie d’oxygène.
Christine Ferniot, Télérama.

Cookie Mueller, c’est une Patti Smith qui ne ferait jamais la gueule. Elle raconte ses souvenirs dans un livre qui brille très fort.
Didier Jacob, L’Obs.

Ce livre porte un titre génial qui est une définition possible de la vie de Cookie: une série d’emmerdes, d’histoires à dormir debout qui devraient vous démolir mais qui, bien racontées, deviennent des leçons de vie. […] Elle fut un grand écrivain américain, ce pays où la littérature est un ring et où il faut savoir s’y battre.
Philippe Azoury, Grazia.

Une plume à la vivacité sans cesse réjouissante. Avec elle, promis, pas le temps de s’ennuyer !
Alexandre Fillon, Lire.

Un recueil qui nous plonge dans le «cœur nucléaire» de ce que fut la contre-culture américaine, de Jim Morrison à Nan Goldin en passant par John Waters, à l’heure où le sida s’apprête à tirer le rideau pour tout le monde. Cookie Mueller écrit comme on se fait une ligne, sur un coin de table et dans l’urgence. Déjà culte.
Olivier Mony, Livres Hebdo.

L’égérie underground se raconte dans des anecdotes épiques.
Élisabeth Philippe, Vanity Fair.

Pour paraphraser Nan Goldin, Cookie est LA diva, la superstar autour de laquelle toute une famille gravite : les peintres Jean-Michel Basquiat et Keith Haring, les Ramones, Klaus Nomi, Patti Smith, Blondie, Sonic Youth, le photographe Robert Mapplethorpe, et bien sûr Nan Goldin. […] Ce recueil de textes fait figure de livre culte aux États-Unis.
Ira Benfatto, Jalouse.

Une liberté et une insouciance qui sont la marque d’une époque révolue. […] À côté, Courtney Love, c’était rien.
Juliette Goudot, RTBF.

L’une des figures parmi les plus influentes et méconnues de la culture américaine de la fin du XXe siècle.
The New York Times.

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Chaleur

Chaleur

À propos du livre

La Finlande : ses forêts, ses lacs, ses blondes sculpturales… et son Championnat du Monde de Sauna.
Chaque année, des concurrents viennent de l’Europe entière pour s’enfermer dans des cabines chauffées à 110°. Le dernier qui sort a gagné.
Les plus acclamés sont Niko et Igor : le multiple vainqueur et son perpétuel challenger, la star du porno finlandais et l’ancien militaire russe. Opposition de style, de caractère, mais la même volonté de vaincre. D’autant que pour l’un comme pour l’autre, ce championnat sera le dernier. Alors il faut se dépasser. Aller jusqu’au bout.
Aussi dérisoire que soit l’enjeu, au-delà de toute raison, la rivalité peut parfois pousser l’homme à la grandeur. À la fois pathétiques et sublimes, Niko et Igor illustrent avec éclat le désir d’absolu de la nature humaine.

Presse

Glaçant petit bijou de narration sèche et chef-d’œuvre de désespérance grinçante. Tout au long de ce récit, Incardona verse avec un sens redoutable de la mesure et de l’efficacité des rasades d’un humour rafraîchissant.
François Angelier, Le Monde.

Ce bref et sublime roman noir chauffé à blanc sonde l’insensé de la nature humaine: quand la bêtise et l’orgueil confinent à une certaine grandeur. Magnifique et tragique.
Delphine Peras, L’Express.

C’est brûlant, glaçant, effrayant. Un beau bijou noir.
Alexandra Schwartzbrot, Libération.

Chaleur est le roman d’une poignée d’hommes fous d’orgueil et de désir d’absolu. […] On se rapproche de l’Américain Harry Crews avec ses personnages stupides et obsédés, peuplant des chefs-d’œuvre comme la Foire aux serpents. Joseph Incardona est de la même famille.
Christine Ferniot, Lire.

En somme, c’est l’histoire du match le plus débile du monde entre deux abrutis transformés en saucisses grillées.
Didier Jacob, L’Obs.

Avec une belle frontalité, en donnant la part belle à la gravité et en refusant les facilités de l’ironie, Joseph Incardona réussit son coup. […] Il orchestre avec brio cet oratorio pour imbéciles magnifiques.
Olivier Mony, Livres Hebdo.

Le nouveau roman de l’excellent Joseph Incardona, q’on compare à juste titre à Harry Crews, est sans doute son meilleur en date. […] Il a cette capacité à porter les situations et les êtres les plus pathétiques, les plus ridicules, vers un état de grâce qui les magnifie.
Yann Perreau, Les Inrockuptibles.

Au début, on rigole un peu, on ricane, mais au fur et à mesure, on commence à prendre cette compétition au sérieux. Et puis, on ne rit plus du tout. On éprouve avec eux la chaleur intense.
Nicolas Carreau, Europe 1.

Un bijou ciselé. À la fois une histoire d’humour noir très étonnante, et en même temps un grand roman sur le corps, la souffrance, et son exploitation mercantile.
François Angelier, France Culture.

C’est drôle et tragique à la fois, et le récit est, forcément, brûlant !
Nathalie Peyrebonne, le Canard enchaîné.

Un roman brillant, écrit au cordeau. Des personnages attachants, magnifiques et pathétiques à la fois.
Le Parisien Magazine.

Et si Incardona était le Harry Crews francophone ?
Marguerite Baux, Grazia.

Si vous acceptez de suivre Joseph Incardona, je vous fiche mon billet que le sauna pour vous, c’est TERMINÉ.
Bernard Poirette, RTL.

On lit ça la bouche ouverte, de préférence avec un éventail à portée de main.
Muriel Steinmetz, L’Humanité.

L’un des romans les plus drôles, les plus tressautants de ce début d’année.
Christophe Bourseiller, France Musique.

Ce petit roman bien balancé va bien au-delà de la comédie burlesque: son arrière-fond psychologique le fait osciller entre l’humour et la tragédie.
Bernard Quiriny, Madame Figaro.

Chez Incardona, les hommes sont capables des pires folies.
Véronique Cassarin-Grand, L’Obs.

Un roman noir et torride.
Eléonore Sulser, Le Temps (Suisse).

Dans «Chaleur», le lecteur suffoque, habilement malmené par un style comme asséché par la température qui monte à mesure que de l’eau est versée sur les pierres bouillantes.
Lucas Vuilleumier, Le Matin (Suisse).

L’écriture noire et chaude de Joseph Incardona s’exprime comme jamais dans Chaleur.
Jean-Blaise Besançon, L’illustré (Suisse).

Entre fresque sociale désenchantée et aspirations intimes, Joseph Incardona déroule en conteur expert un roman au rythme maîtrisé. Diablement efficace.
Anne Pitteloud, Le Courrier (Suisse).

Quelque part entre Car de Harry Crews et Snuff de Chuck Palahniuk. C’est drôle, allumé, complètement fou et drôlement bien écrit.
Philippe Manche, Le Soir (Belgique).

Un style à la fois sec et imagé, avec énormément d’humour.
Michel Dufranne, RTBF (Belgique).

Incardona part d’une situation baroque, avec des personnages que rien ni personne ne viendra empêcher d’atteindre leur quête, et en profite pour explorer la puissance de la nature humaine. Une des grandes plumes de la littérature contemporaine.
Christophe Dupuis, Sang-froid.

Redoutablement bien écrit.
Julie Coutu, Le Matricule des Anges.

Certes, on rit de bon cœur, mais cette quête nous ramène inlassablement à notre condition première: le tragique.
Marc Bertin, Junkpage.

 

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Journal IV, 1846-1850

Journal IV, 1846-1850

À propos du livre

« C’est le temps des semailles pour moi ; je suis resté suffisamment longtemps en jachère. »
Henry David Thoreau a presque trente ans et l’expérience de Walden touche à sa fin. Il ne conçoit plus, désormais, de vivre hors de la nature et son Journal se nourrit de ses longues marches. Arpentant la forêt et les collines autour de Concord, il s’intéresse de plus en plus aux origines de son pays et à ses premiers habitants, les Indiens.
Au cours de ces années, sa pensée prend un nouvel essor et c’est en 1846 qu’il rédige son essai le plus célèbre : La désobéissance civile.

Poète et philosophe, ethnologue et naturaliste, marcheur contemplatif et observateur sans concession de l’âme humaine et des petits travers de ses voisins, Thoreau, au jour le jour, dans son grenier ou dans sa cabane, note dans son Journal toutes les pensées d’un esprit profondément original et d’une exceptionnelle acuité..

Inédit

Presse

Des pages magnifiques qui sont comme les prémices du «nature writing» d’aujourd’hui. […] Le Journal de Thoreau est un flux ininterrompu, le miroir moins d’une âme que d’un esprit toujours en réaction vis-à-vis de l’univers qui l’entoure, et c’est cette «interactivité», ce reportage «en direct» sur une intelligence en perpétuelle évolution, qui en fait le prix.
Christophe Mercier, Les Lettres françaises.

Thoreau, une des références de la contre-culture, grand inspirateur  des tenants du retour à la nature, est l’objet d’une fervente adulation. Au-delà de ses idées politiques radicales, sur la désobéissance civile par exemple, la relation profonde, viscérale, exemplaire qu’il entretient avec dame Nature résonne de manière plus puissante que jamais en ces temps bien menaçants pour la planète.
Jean-Luc Germain, Le Télégramme.

 

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Mister Alabama

Mister Alabama

À propos du livre

Mud Creek, Alabama, été 1979.
Alvin Lee Fuqua, ex Mister Alabama, a 28 ans et un rêve : devenir Mister America, pour passer à la télé dans un talk-show & se faire remarquer & devenir acteur & jouer dans des films avec Burt Reynolds. Un bien beau rêve, contrarié par un problème de hanche.
Alors Alvin a changé ses plans – adieu gloire et bodybuilding, cap sur la fortune grâce à la pêche aux moules. C’est bien plus sûr et lucratif que la contrebande de whisky. Alvin plonge dans la rivière et remonte des moules grosses comme le poing.
La vie des plongeurs est paisible à Mud Creek, jusqu’au jour où le meilleur d’entre eux, le plus âgé, le plus futé, le plus costaud, mais aussi le plus solide buveur de la Tennessee River, le mentor d’Alvin, le légendaire Johnny Ray, s’écroule, victime du mal des profondeurs.
Comprendre comment Johnny Ray a pu mourir devient l’obsession d’Alvin. Sa vie bascule. Il se remet à la musculation, invente de nouveaux exercices aussi loufoques que terribles, il prend des stéroïdes, au risque d’y laisser sa peau. Rien ne va plus. La veuve nymphomane de Johnny Ray vient s’installer chez lui avec ses deux enfants. Rien ne va plus. Cliff, vétéran du Vietnam, tombe amoureux d’Alma, la sœur d’Alvin, anorexique, et reine du stand-up. Rien ne va plus. Le shérif découvre les plants de marijuana que Freddy, ancien joueur de baseball, fait pousser sur son bateau. Décidément, rien ne va plus.

Presse

Cette «foire aux vanités» sudiste, comme écrite sous l’influence «hard boiled» d’un Jim Thompson ou d’un Harry Crews, est convaincante. Pas moyen de s’y tromper, cette voix est celle d’un écrivain.
Olivier Mony, Livres Hebdo.

Ce surprenant roman, tenant aussi bien de la comédie sudiste sauce marinière que du conte aquatique déjanté, est une improbable surprise. Et une belle révélation !
Philippe Blanchet, Rolling Stone.

C’est poisseux, c’est boueux, mais c’est aussi très drôle, mélancolique et génial !
Nicolas Carreau, Europe 1.

Phillip Quinn Morris nous embobine avec style, tendresse, humour, et d’un «rien», on obtient un bouquin qui vous transperce.
Thierry Boillot, L’Alsace.

Comment une telle pépite, lorgnant du côté de Jim Thompson, d’Elmore Leonard, de Harry Crews et de Jim Harrison, a-t-elle pu passer vingt-cinq ans sous le radar ?
Marc Bertin, Sud Ouest.

 

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L’almanach des réfractaires

L’almanach des réfractaires

À propos du livre

Sur le modèle des anciens almanachs, Évelyne Pieiller propose un livre plein d’humour, d’érudition et de surprises. Elle étonne le lecteur par la variété des sujets traités et le réjouit par sa malice.
Son Almanach des réfractaires, à travers onze rubriques récurrentes, accompagne le lecteur de janvier à décembre, lui apprend une multitude d’anecdotes curieuses et inutiles, mais sait aussi le toucher ou le faire réfléchir au moment où il s’y attend le moins.
Par son esprit vif, son écriture brillante, son humour décalé et insolent, Évelyne Pieiller dépoussière définitivement le genre !

« Les digressions ont le charme des départementales : elles vont moins vite que l’autoroute, mais on voit beaucoup mieux le paysage. »

Presse

Indomptée, l’auteur est familière des ombres de l’existence à laquelle elle sait arracher, comme un ciel au crépuscule, des lames de douce lumière. […] Cela s’intitule L’Almanach des réfractaires, comme une résistance indolente et indisciplinée aux séductions et aux mots d’ordres du monde, aux polices du consensus, à l’acquiescement de la fausse rébellion, au conformisme masqué de la dissension raisonnable.
Claudio Magris, Corriere della Sera.

Toujours disposée à rester perplexe, Evelyne Pieiller n’en est pas moins convaincue que les croquants se révoltent toujours, que les poètes sont dignes d’être dingues, que les novateurs ont raison de s’obstiner et que l’Islande a bien fait d’emprisonner les banquiers qui ont propagé la crise financière, bref, que l’indépendance, la révolte, l’imagination et l’esprit critique ne sont pas de vaines capacités.
Eric Dussert, Le Matricule des anges.

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L’Anaconda

L’Anaconda

À propos du livre

Ceylan, 1780. Un homme est traqué par un Anaconda géant, la créature la plus dangereuse de l’île. L’angoisse et la terreur montent parmi ses proches, l’animal semble indestructible. Une lutte impitoyable s’engage.
M.G. Lewis réussit avec brio à exporter le roman gothique anglais dans un décor exotique.  Son récit commence dans un salon feutré entre gens de bonne compagnie, puis bascule vers la sauvagerie de la jungle indienne.
Jamais réédité depuis sa première publication en France en 1822, ce court roman paraît aujourd’hui dans une nouvelle traduction.

Presse

Le pari réussi de Lewis est d’avoir su exporter dans un univers exotique l’atmosphère du très britannique roman gothique.
Florence Noiville, Le Monde.

La menace rampante de l’animal mythique, symbole outrancier d’un inconnu effrayant, devient un prétexte délectable pour se vautrer dans une langue luxuriante, au service d’un art consommé du rythme et de la puissance d’évocation.
Le Télégramme.

 

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Capharnaüm n°6

Capharnaüm n°6

Au sommaire de ce n°6

De grands entretiens avec des écrivains, menés par un journaliste : on pense évidemment à Bernard Pivot, parfois à Pierre Dumayet, depuis peu à François Busnel. Mais bien avant eux, celui qui s’est illustré dans cet exercice délicat s’appelait Frédéric Lefèvre. Entre 1922 et 1940, il publia dans les Nouvelles littéraires près de 400 entretiens avec les plus grandes plumes de son temps, sous le titre « Une heure avec… ». Six volumes de ces entretiens ont été publiés chez Gallimard dans les années 20-30 et trois volumes chez Siloë à la fin des années 90, mais il reste encore de nombreux inédits abandonnés entre les pages du journal ! En voici quelques-uns.

Des entretiens avec Maurice Leblanc, Émile Chautard, Stefan Zweig, Eugène Zamiatine, Jean Giono, Joseph Delteil, Drieu La Rochelle, Irène Némirovsky, Marcel Aymé et George Moore.

Il n’y a pas d’abonnement à la revue Capharnaüm :  vous pouvez la trouver ou la commander en librairie.

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Ma nuit entre tes cils

Ma nuit entre tes cils

À propos du livre

Elle avait des taches de rousseurs et les cheveux longs. Elle aimait le tango et Thomas Bernhard, fouiner chez les brocanteurs et Polnareff. Elle était prof de philo et vivait à Paris.
Elle était amoureuse, parfois, et celui qui l’aimait ne veut rien oublier. Alors il note, tout : un geste, une attitude, une parole. Il se souvient de leur première rencontre et de son dernier SMS, des livres qui la dévoraient et de sa mélancolie, de ces bottes hors de prix qu’elle n’a jamais portées, de son goût déraisonnable pour le Scrabble et le café froid, de ses copies qu’elle ne corrigeait jamais ailleurs que dans les bars, de son incapacité à se laisser bercer par le murmure de la vie comme elle vient…

« Le baume du temps qui cicatrise les blessures, je ne connais rien de plus répugnant. »

Le portrait d’une absente, sensible et bouleversant.

Presse

Il y a quelque chose de porté jusqu’à l’incandescence dans ce bref texte, impeccable de solitude altière et comme innervé de chagrin.
Olivier Mony, Livres Hebdo.

Un portrait tout en finesse. Un hommage senti et profond à la vie amoureuse.
Elisabeth Lord, Les Méconnus (Québec).

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Entre les rounds

Entre les rounds

À propos du livre

Nora est infirmière, elle s’approche de la bretelle d’autoroute qui mène à l’hôpital. Elle ne la prendra pas.
Le mari de Wanda, lui, tourne le dos à son morne quotidien, il part à travers l’Amérique, à la recherche du discret écrivain Cormac McCarthy.
Loin de l’agitation du monde, Sam s’offre un break dans un motel au pied des Rocheuses. Sur l’écran de sa télévision apparaît Henry Fonda dans les Raisins de la colère.
Fatigués mais debout, tous sont à des moments charnières de leur existence, à la croisée des chemins et prêts à tout recommencer. Ils sont « entre les rounds ». Comme dans un film d’Altman, les destins se croisent au gré des mini-séismes de l’existence.

Chez Rodolphe Barry, pas de mélo pathétique, ni de bonheur en Technicolor, juste des vies simples qui se réinventent avec courage et touchent au cœur.

« Il avait plu pas mal de mauvais coups ces dernières semaines, et cette accalmie avait la douceur d’un temps mort entre deux rounds. »

Presse

Esquisses de vies minuscules aux enjeux si familiers, ces rounds sont fidèles à l’œuvre de Carver, capturant l’indicible dans le quotidien, l’éclat poétique dans le pas de côté.
Marc Bertin, Sud Ouest.

 

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En attendant Bojangles

En attendant Bojangles

À propos du livre

Sous le regard émerveillé de leur fils, ils dansent sur «Mr. Bojangles» de Nina Simone. Leur amour est magique, vertigineux, une fête perpétuelle. Chez eux, il n’y a de place que pour le plaisir, la fantaisie et les amis.
Celle qui donne le ton, qui mène le bal, c’est la mère, feu follet imprévisible et extravagant. C’est elle qui a adopté le quatrième membre de la famille, Mademoiselle Superfétatoire, un grand oiseau exotique qui déambule dans l’appartement. C’est elle qui n’a de cesse de les entraîner dans un tourbillon de poésie et de chimères.
Un jour, pourtant, elle va trop loin. Et père et fils feront tout pour éviter l’inéluctable, pour que la fête continue, coûte que coûte.
L’amour fou n’a jamais si bien porté son nom.

L’optimisme des comédies de Capra, allié à la fantaisie de L’Écume des jours.

 

Prix littéraires

Grand Prix RTL / Lire
Le Roman des étudiants France Culture / Télérama
Prix roman France Télévisions
Prix Emmanuel-Roblès
Prix de l’Académie de Bretagne
Prix Hugues Rebell
Prix Segalen

Presse

Retenez bien le nom de cet inconnu: Olivier Bourdeaut. A 35 ans, il sera bientôt fameux et son premier roman va faire un tabac. […] Dans une prose chantante, il fait sourire les larmes et pleurer l’allégresse. Il mérite le succès qui va fondre sur cette fable extravagante et bouleversante.
Jérôme Garcin, L’Obs.

Dans ce roman, la fantaisie règne en maître. L’auteur nous plonge dans un capharnaüm joyeux et plein d’esprit, où l’on se délecte.
Sandrine Mariette, Elle.

C’est le pari de LIRE en cette rentrée: un premier roman friandise, gai comme un jour de fête, doux comme un bon bain chaud. Pour l’ambiance littéraire, imaginez Jacques Prévert, Raymond Queneau et Roald Dahl se dandinant autour du pianocktail de Boris Vian.
Estelle Lenartowicz, LIRE.

Voici un premier roman qui m’a emballé: c’est extravagant, c’est léger, c’est pétillant. Un coup de maître.
François Busnel, La Grande Librairie (France 5).

Les bons sentiments font parfois les bons livres, et c’est le cas de cette histoire drôle, inventive et touchante, dont le ton malin et personnel séduit à chaque page.
Baptiste Liger, Technikart.

Ce roman se lit comme un cocktail de folie, de mélancolie, de poésie ; il vous fera passer par les stades les plus délicieux de l’ivresse.
Augustin Trapenard, Boomerang (France Inter).

Olivier Bourdeaut entre en littérature avec une histoire simple, belle, folle et triste. Son récit navigue entre la légèreté du Vian de « l’Écume des jours » et le roman d’apprentissage à la Salinger.
Bruno Corty, Le Figaro.

On retrouve ici le sens du rythme et de la prose imagée de « l’Écume des jours » de Vian, et la légèreté du désespoir de « Tendre est la nuit » de Fitzgerald. À l’instar des deux classiques, « En attendant Bojangles » se lit comme une belle histoire d’amour fou.
Léonard Billot, Les Inrockuptibles.

Bien rythmé, ce livre a tout pour plaire sans avoir l’air de le vouloir. Eh oui, il plaît. Et mieux: il touche.
Valérie Marin La Meslée, Le Point.

Ce livre a tout du petit bijou fédérateur. Dans la lignée de Boris Vian, l’inventivité et le style chamarré d’Olivier Bourdeaut font mouche.
Baptiste Liger, L’Express.

Olivier Bourdeaut fait swinguer son premier roman. L’événement rassérénant de la rentrée de janvier est le succès surprise de ce primo romancier.
Johanna Luyssen, Libération.

Dans cette fable pétillante comme une flûte de champagne, la mort est un mensonge et devient prétexte à poésie.
Christine Ferniot, Télérama.

Un premier roman d’une loufoquerie d’autant plus irrésistible qu’elle est intelligente et maîtrisée. L’écriture est faussement simple, en vérité pleine d’arabesques, de formules épatantes, de bonheurs de style. Le lecteur est aussi de la fête.
Bernard Pivot, Le Journal du dimanche.

Sous la pointe de sa plume farfelue, l’écrivain délivre une manière de voir nos années folles, une philosophie qui va comme un gant à notre époque.
Olivia de Lamberterie, Elle.

Il y a quelque chose qui, à chaque page, rappelle joliment la légèreté du Vian de l’Écume des jours. Tout pour plaire en somme, et à tout lecteur de 7 à 77 ans.
Olivier Mony, Livres-Hebdo.

C’est bouleversé, bien que le cœur toujours léger, que vous refermerez En attendant Bojangles. Avec l’envie de danser jusqu’au bout de la nuit sur la voix de Nina Simone.
Bernard Lehut, Laissez-vous tenter (RTL).

Une fable pétillante et émouvante.
Claire Chazal, Entrée libre (France 5).

Un roman audacieux et rythmé dans lequel les influences de Vian et Lewis Carroll se marient avec talent.
Point de vue.

Olivier Bourdeaut signe un roman exceptionnel, d’une force incroyable.
Valérie Trierweiler, Paris-Match.

Quel plaisir de découvrir un premier roman aussi poétique et aussi original !
Jessica Nelson, Au fil de la nuit (TF1).

Un roman bouleversant, très drôle. Une très belle découverte.
Nicolas Carreau, Europe1

Un livre qui aurait pu s’appeler « la Vie est une fête ».
Ilana Moryoussef, Journal de 13h de France-Inter.

C’est irrésistible, ça pétille et ça pique les yeux à la fin. Un livre qui fait penser à Vian qui aurait rencontré Wes Anderson.
Olivia de Lamberterie, Télématin (France 2)

Je n’avais pas lu depuis longtemps quelque chose d’aussi savoureux que En attendant Bojangles. Un charme fou.
Pierre Assouline, la république des livres.

Entre bonheur et tragédie, des phrases malicieuses poussent au bord des chemins.
Isabelle Potel, Madame Figaro.

Dans l’écriture même, on ressent ce mélange de folie et de raison qui fait le sel du roman.
Caroline Broué, la Grande table (France Culture).

On s’amuse, follement; puis on pleure, douloureusement. Olivier Bourdeaut est la révélation de la rentrée littéraire.
Stéphanie Gatignol, Pleine Vie.

Un joyau, une histoire triste et drôle, tragique et étincelante. Une tonitruante révélation.
M.-L. Kubacki, La Vie.

Ça swingue. Que du bonheur !
Femme actuelle.

Ce livre, qui réconcilie avec le bonheur de vivre et de lire, est une petite merveille. […] C’est la découverte d’une écriture si délicate qu’elle réussit à alléger les drames et à donner du poids aux bonheurs éphémères.
Jérôme Garcin, La Provence.

Ce premier roman est d’une originalité folle. Un petit bijou au style inventif et poétique.
Anne Michelet, Version fémina.

Le style virevolte et la magie opère.
Télé 7 jours.

Un premier roman merveilleux écrit dans une langue étourdissante.
Femmes d’aujourd’hui.

Un style pétillant. Des scènes épatantes, de grands éclats de vie, de joie.
Centre France.

Un premier roman drôle et tragique à la fois, très bien construit.
Le Télégramme.

Un court roman rocambolesque, mélancolique et plein de charme.
Voici.

Un premier roman pétillant, et qui fait parler de lui.
Pierre Maury, le Soir.

Un récit prenant, enchanteur, déjanté.
La Tribune de Genève.

En empruntant à Boris Vian son sens du rythme et de sa prose imagée, à Fitzgerald la légèreté du désespoir, Olivier Bourdeaut raconte l’amour fou qui vire au délire, croque le naufrage de la raison.
Olivier Billot, Glamour.

Un roman gracieux, insouciant et nostalgique, d’autant plus profond qu’il semble léger comme une bulle de champagne.
Sophie Joubert, L’Humanité.

Un délicieux roman à ranger tout près des livres de Boris Vian!
Le Quotidien.

Une magnifique histoire d’amour qui ne manque pas d’originalité.
Téléstar jeux.

Ça swingue : que du bonheur !
Femme actuelle

Un délicieux roman à ranger tout près des livres de Boris Vian.
Le Quotidien

C’est vraiment irrésistible et on repense à cette histoire encore longtemps après avoir refermé le livre.
La Voix du Nord

Un premier roman qui sonne juste et nous entraîne dans un tourbillon de folie et de fraîcheur.
Le Courrier de l’Ouest

Un premier roman fort, fou et flamboyant.
Presse Océan

C’est dingo, c’est frais, c’est étincelant d’imagination.
Jacques Lindecker, l’Alsace.

Au chaud dans cette ode à l’amour fou et à la liberté, l’imaginaire poétique s’épanouit, bercé par la chanson de Nina Simone.
Le Maine libre.

Merveilleux hymne à l’amour, ce roman a des allures de conte moderne.
Sébastien Le Jeune, Direct Matin.

On est séduit dès les premières pages par ce roman enlevé et plein d’humour, qui nous emporte dans un tourbillon de fantaisie, dans la mouvance d’un Boris Vian ou d’une comédie de Blake Edwards.
Paris-Normandie.

Les libraires

C’est une simple histoire d’amour qui vous arrache des larmes, un livre étonnant qui m’a à la fois bouleversé et bluffé.
Librairie St-Christophe, à Lesneven.

La vie semble si belle quand on y met un peu de folie. Bojangles résonne encore et encore après avoir fini ce livre tout simplement merveilleux.
Librairie la Manœuvre, à Paris.

C’est une vraie curiosité, un grand bonheur de lecture, une écriture tourbillonnante… bref, un livre parfait, drôle et bouleversant, étonnant et bourré d’énergie. Merci encore pour cette jolie pépite.
Librairie la Colline aux livres, à Bergerac.

Il y a quelque chose de Breakfast at Tiffany’s dans cette fable d’amour virevoltante racontée à hauteur d’enfant. Les traits de l’héroïne se confondent parfois avec le minois d’Audrey Hepburn dont l’animal de compagnie serait un oiseau de paradis. En attendant Bojangles est un roman-champagne premier cru. En digne héritier de Boris Vian et de Blake Edwards, Olivier Bourdeaut parvient nous faire rire, rêver et pleurer à la fin.
Librairie le Millepages, à Vincennes.

Un délicieux tourbillon, dont on ressort béat et le sourire aux lèvres pour un petit moment ! Ce livre est l’heureuse découverte de cette rentrée littéraire de Janvier 2016.
Librairie Sauramps, à Montpellier.

C’est un livre tellement drôle, attachant et tendre; l’écriture est très belle, je suis bluffée.
Librairie Chapitre 8, à Strasbourg.

Il y a dans ce livre tout pour vous séduire et vous entraîner dans un tourbillon de fantaisie.
Librairie Charlemagne, à Hyères.

Fantaisiste et sautillant, d’une langue délicieuse et musicale, un livre qui prend le parti de « botter le cul à la raison », pour notre plus grand plaisir !
Librairie Bookstore, à Biarritz.

On a l’impression de danser un boogie avec Boris Vian, de swinguer avec Fitzgerald.
Coup de cœur de la librairie Actes Sud, à Arles.

 

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Vacances surprises

Vacances surprises

À propos du livre

Un immeuble dans un quartier populaire, à Paris, dans les années 50. Voilà le décor. La concierge, Madame Hortense, connaît son monde : la dactylo du deuxième, le plombier du troisième, et sous les toits un écrivain, Marc Bernard, sa femme et ses canaris. C’est Paris, c’est animé, ça râle, ça court, ça bavarde. L’écrivain observe, amusé, et raconte. Parfois, il boucle ses valises, et c’est l’Espagne, l’Angleterre, le Portugal :

« C’est d’une façon innocente, sans mesurer l’impor­tance de mes paroles, que j’avais dit à Else : “ L’amusant dans le voyage devrait être la surprise, de partir, mais sans savoir où l’on va. Une affiche aperçue au coin d’une rue, un nom de ville aux sonorités étranges décideraient du prochain but. On pourrait faire ainsi le tour du monde. ” J’étais loin d’imaginer ce qu’il pouvait y avoir d’imprudent dans un tel vœu. Le voici réalisé, au-delà de tout espoir. »

Des « surprises » savoureuses et pleines de fraîcheur. C’est drôle, c’est enlevé, c’est beau comme du Henri Calet.

Presse

Cent cinquante pages d’une fraîcheur absolue. C’est un régal.
Thierry Clermont, Le Figaro.

Une manière idéale, parce que légère, mutine, de découvrir Marc Bernard.
Jérôme Garcin, L’Obs.

Un délice de remarques vécues, sur le ton complice, piquant et faussement naïf d’un Calet.
Éric Dussert, le Matricule des anges.

 

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De quelques amoureux des livres

De quelques amoureux des livres

À propos du livre

Il y a tant de raisons possibles pour qu’un livre ne voie jamais le jour, qu’il semble quasi miraculeux qu’un beau matin quelqu’un ait pris la plume et soit parvenu à en écrire un.

Avec une délicieuse fantaisie, Philippe Claudel passe en revue une litanie d’écrivains en devenir, de malheureuses victimes de la littérature, soumises à de pathétiques aléas, à des imprévus aussi cocasses que farfelus.

 

Presse

Une merveille de malice, de profondeur, de poésie. Un délice.
Augustin Trapenard, Boomerang (France Inter).

Un livre drôle, ironique, délicieusement fantaisiste. Je le place très haut dans ce que vous avez écrit.
François Busnel, La Grande Librairie (France 5).

Un petit ovni dont le titre est tout un poème. Lisez-le, c’est une merveille.
Augustin Trapenard, Le Grand Journal (Canal+).

Dans ce recueil drôle et délicat, Ph. Claudel rend hommage avec humour et tendresse aux victimes de la page blanche. […] Borges n’est pas loin, Alberto Manguel non plus...
Christine Ferniot, Télérama.

Le plus drôle et sans aucun doute le plus audacieux des livres de Philippe Claudel. […] Il se régale, et nous aussi.
Olivier Mony, Livres Hebdo.

C’est Borges égaré au pays de Woody Allen. Un ouvrage enlevé, cruel, beau, profond et fantaisiste.
François Busnel, L’Express.

Ce livre, brillant, ne manque pas de panache ni de cocasserie.
Baptiste Liger, Lire.

Là, la littérature se déploie en creux, à travers les multiples figures de son impossible naissance.
Jean Birnbaum, Le Monde.

Les «quelques amoureux des livres» de Claudel sont des personnages à la Sempé.
Jérôme Garcin, L’Obs.

Une influence vient vite à l’esprit: Borges.
L.-H. de La Rochefoucauld, Technikart.

Un ouvrage à l’esprit fantasque et souriant.
Mohammed Aïssaoui, Le Figaro.

Ça paraît drôle, et ça l’est. Mais c’est surtout très poétique.
Philibert Humm, Paris-Match.

Avec talent et humour, Ph. Claudel raconte des histoires drôles et tristes de victimes de la littérature.
J.-Cl. Vantroyen, Le Soir.

Un livre réjouissant.
Version femina.

Une sotie follement originale.
J.-Cl. Raspiengeas, La Croix.

Une série de miniatures savoureuses, concentrés d’humour et d’absurde.
Bernard Quiriny, Le Magazine littéraire.

Un exquis petit ouvrage, cocasse et désopilant.
Isabelle Bunisset, Sud Ouest.

Il y a un petit côté Borges chez Claudel qu’on ne soupçonnait pas, mais qu’on découvre avec plaisir dans ce délicieux petit livre.
François-Guillaume Lorrain, Le Point.

A lire d’urgence avant d’ouvrir votre logiciel Word, si par hasard vous étiez tenté(e) par l’écriture.
Thierry Gandillot, Les Echos.

Petit bijou d’humour incongru et de cabrioles littéraires, à mettre dans sa poche, pour rire sous cape et en douce n’importe où.
Guylaine Massoutre, Le Devoir (Québec).

Les libraires

Un formidable petit inventaire d’échecs littéraires. Mais qu’est-ce qu’un échec ? Pour un auteur, et pour une vie ? Tout dépendra de ce qu’on attend. De lui ou d’elle.
On se délecte de cet ouvrage plein d’humour et de passion, pas loin d’un Borges qui se parerait d’un sourire taquin, ou de l’application littérale de la fameuse citation de Beckett: «Essayer. Rater. Essayer encore. Rater encore. Rater mieux.»
Grégoire Courtois, Librairie Obliques à Auxerre.

Un OVNI percutant la biblio du grand Philippe Claudel qui se lit, une fois n’est pas coutume, le sourire aux lèvres ! 
Librairie Vaux-livres.

Histoires cocasses, amusantes, tristes, horribles, très courtes, un petit moment de bonheur.
Le club des incorrigibles lecteurs.

C’est un parfais « livre de toilettes » qui en jette ! mais on le préfère en parfait « livre qui traîne l’air de rien sur la table basse du salon » que les invités vont ouvrir par curiosité.
Blog Animal lecteur.

 

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L’appel de la forêt

L’appel de la forêt

À propos du livre

L’Appel de la forêt est le livre le plus célèbre de Jack London, celui qui lui valut une immense renommée dès sa première publication en 1903. Roman du Grand Nord, né de sa vie de chercheur d’or au Klondike, l’histoire du chien Buck a bouleversé des générations de lecteurs. Mais au-delà du roman d’aventure, London affirme ici sa vision du monde, où l’hérédité sauvage triomphe de la civilisation corruptrice.

La brillante traduction de Jean-Pierre Martinet (auteur de Jérôme aux éditions Finitude) permet de redécouvrir ce grand texte dans une version dont le rythme et les fulgurances sont au service de l’écriture ardente de Jack London.

 

Presse

Enfin une traduction à la hauteur de l’immense Jack London. […] A l’aune de ce chef-d’œuvre, que peut bien peser notre petite rentrée littéraire ?
Marc Bertin, Sud Ouest.

Le rêve d’un état sauvage que la main de l’homme n’aurait pas souillé.
Clara Dupont-Monod, France Inter.

Sous la plume inspirée de Jean-Pierre Martinet, Buck, héros d’une des plus belles aventures animales jamais écrites, reprend du poil de la bête.
J.-L. Germain, Le Télégramme.

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Entrer dans des maisons inconnues

Entrer dans des maisons inconnues

À propos du livre

Faulkner a envie d’une nouvelle veste et Apollinaire fait la vaisselle, Conrad embarque pour la première fois, Char arpente les collines, Mishima va au gymnase et Perros au café, Pessoa s’interroge sur la réalité de l’existence et Hemingway bougonne.
À chaque fois Christian Garcin était là…

Presse

Un petit ouvrage malicieux et délicieux. Christian Garcin entre dans la vie de vingt écrivains, il s’attache aux petites choses anodines de la vie, un détail, un objet, un instant partagé. […] Un régal à partager de toute urgence !
Bruno Corty, Le Figaro.

Christian Garcin s’écarte des sentiers battus, zoome sur un détail. En se précisant, le portrait élargit notre champ de vision.
Virginie Bloch-Lainé, Libération.

Des instantanés intimistes et fantaisistes.
Christine Ferniot, Télérama.

Chaque texte ne compte que deux ou trois pages mais ces esquisses de portraits, ces conversations à bâtons rompus sont de parfaites évocations. Les écrivains nous apparaissent dans le plus simple appareil critique, pourrait-on dire, loin des mythes et légendes qui se sont attachés à leurs personnes et à leurs vies.
Eric Chevillard, Le Monde.

Une douce incitation à la lecture.
Éric Dussert, Le Matricule des anges.

Un hymne à la littérature, à la lecture. Une véritable merveille.
Anthony Clément, librairie Caractères (Mont-de-Marsan), sur France 3 Aquitaine.

Un enchantement, au sens le plus magique du terme, que ces infimes machines à démonter le temps.
Jean-Luc Germain, Le Télégramme.

Des instants qui semblent volés, une intimité dans laquelle on entre avec délectation, tout en finesse.
Camille de Lapoyade, Sud Ouest.

 

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L’existence précaire des héros de papier

L’existence précaire des héros de papier

À propos du livre

Les personnages de Jean-Pierre Enard n’en mènent pas large. C’est lui qui tire les ficelles, le marionnettiste, le seul maître à bord : il fait et défait leur vie avec malice, il les affuble de noms ridicules, il les assassine ou les sauve au gré de ses envies. Pas facile d’être un héros de papier entre de telles mains.
Humour décapant, amour passionné, intrigues improbables, le roman-feuilleton n’est pas très loin et sert de prétexte à une plongée jubilatoire dans la France du début des années 80 : minitel, belles moustaches et Guy Lux à la télé.

 

Presse

Le style Enard est là. Phrases courtes, sens du détail, dialogues au cordeau. Un bonheur !
Bruno Corty, Le Figaro.

Un petit bijou.
Alexandre Fillon, Livres Hebdo.

 

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